Début décembre 2010, la justice française, sur une plainte de l'Ong Transparency international, ouvre une enquête sur ce qui est devenu l'affaire des " biens mal acquis " contre trois chefs d'Etat africains et leurs proches : Denis Sassou Ngessou, feu Omar Bongo et Téodoro Obiang Nguema. En février, les deux juges d'instruction français chargés de l'enquête, perquisitionnent l'hôtel particulier du fils de ce dernier, Toedoro Obiang Nguema Mangue, Theodorin pour ses compatriotes. L'hôtel est situé dans le XVI arrondissement parisien, sur l'avenue Foch. Une saisie record y est alors effectuée : 200 mètres cube d'objets de valeur (sic !). Selon Charlie Hebdo, repris par Libération, un mandat d'arrêt international avait été lancé par les juges d'instruction, à charge pour le parquet parisien de le valider ou non, devant le refus des autorités équato-guinéénnes de laisser Theodorin répondre à la convocation de la justice française.
5 Commentaires
Julom
En Mars, 2012 (16:17 PM)Demarrons Donc Les Audits
En Mars, 2012 (16:39 PM)Wassalam!
Aristide J.s.pereira
En Mars, 2012 (16:50 PM)Merde!!!!!!!!
En Mars, 2012 (15:11 PM)Est ce que Transparency international a tenté de poursuivre Monsieur Juppé qui est tout aussi impliqué que Chirac dans cette affaire???
Et de l'affaire clearsteam, et des fonds de campagne de Pmopidou, et de l'implication des dirigeants français dans les scandales internationaux, et de l'irangate et tant d'autres scandales??? Vous n'y verrez jamais cette Association ou du moins avec la même implication!!
Alors qu'ils nous foutent la paix!! Pourquoi la Belgique et la france pensent qu'elles devraient etre les justiciers des africains alors qu'elles ont sucé nos ressources naturelles et combattu les dignes fils africains!!
Pour tout ça je leur dis MERDE!!!!!!
Ivan
En Juillet, 2012 (12:39 PM)Participer à la Discussion