L’horreur absolue. Au Nigeria, deux enfants, un garçon de 11 ans et une fillette d’âge indéterminé, ont été enterrés vivants, après avoir enduré de véritables actes de tortures physiques, comme des brûlures à l’acide, parce qu’on les accusait d’être des « enfants sorciers », « responsables » de prétendus malheurs ou du décès de membres de leur famille ou de voisins. Des croyances meurtrières qui menacent des enfants parfois à peine âgés de 2 ans, et soulèvent l’indignation d’une partie du pays qui appelle à cesser ces actes de barbarie. Le calvaire de ces deux enfants assassinés n’est pas une exception : les ONG sur place ont répertorié cette année plus de 250 cas de tortures sur des mineurs accusés de sorcellerie.
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