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Le Conseil des organisations non gouvernementales d’appui au développement (Congad) a réalisé une étude sur la gouvernance du foncier agricole et l’exercice des droits des femmes et des jeunes pour l’accès à la terre dans le cadre de la réforme foncière du Sénégal.
Organisé par le Congad, en partenariat avec l’organisme international Oxfam, ce rendez-vous a pour objectif de partager les résultats et les recommandations du rapport final de l’étude avec les décideurs publics, notamment les députés, les élus locaux et les conseillers économiques. Il vise aussi à recueillir la perception des décideurs publics sur les résultats de l’étude.
Cette rencontre de partage qui s’est tenue ce mercredi 1 avril à Dakar se justifie par le fait que les communautés rurales sont confrontées à des difficultés dans le cadre de la gestion des terres qui leur a été confiée par l’Etat sur la base de la loi N° 64-46 du domaine nationale promulguée le 17 juin 1964, du fait de la coexistence avec des règles coutumières. A cela s’ajoutent, la spéculation foncière et l’accaparement des terres pour des intérêts mercantiles et de clientélisme politique.
2 Commentaires
Binat
En Avril, 2015 (13:28 PM)Loi Criminelle
En Avril, 2015 (14:24 PM)C'est ce qu'on fait tous les pays collectivistes au moment de la chute de l'URSS et de la fin des états marxistes. C'est aussi ce qu'à fait la France après la révolution Française et ce qu'ont fait les USA avec leur Homestead Act. Aujourd'hui ces pays font partie des plus grandes puissances agricoles de la planète.
Le problème de l'agriculture au Sénégal est un problème structurel mais nos dirigeants refusent de le voir ou d'y remédier.
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