Saint- Louis: seules 46.000 tonnes de tomates enlevées sur un objectif de 75.000 tonnes

4 Commentaires

1. 

   Jeanmalick

   En Juin, 2014 (21:19 PM)

   Le probleme de la tomate au Senegal est que pour les industriels la production locale c'est juste un alibi . Les industriels se font plus d'argent avec le triple concentré qu'ils importent . La Socas prenait plus de 50000 tonnes . Maintenant elle prend 20000 tonnes et pourtant sa production n'a .pas diminuée. Il faut que l'etat limite l'importation du triple concentré .

   Répondre +0 -0

   Signalier Permalink

Waalo-waalo
En Juin, 2014 (10:14 AM)
A l'heure du bilan aucune faute ne devait plus être tolérée dans l'engagement des industries de tomate . voici une décennie que ces braves producteurs de la vallée rencontrent énormément des difficultés en donnant toute leur force pour un grand rendement de la production de tomate qui est leur principale activité de génératrice de fond .Mais malheureusement ,ils finissent toujours a être poursuivi pour des rembourrement ,des dettes a payer a la place de recevoir leur peine de huit mois de travail ,ce qui est très désolent Chaque année c'est la même situation qui s'installe depuis des années. Ils n'ont jamais eut satisfaction sur leur revendications qui sont très fondées .Soit le financement arrive tardivement, le pire cette année ,des que la production est a 90% les industries ont mis en place une forme de rétention des camions de transports qui devaient évacuer la tomate ,ce qui a fait que 40% de la récolte a pourrie dans les champs .Alors le paysan , observe sa production pourrir est ses dettes s'accumulent au niveau des banques. Les industries s'en félicitent d' avoir fait une un bon chiffre d'affaire en détruisant complètement la bravoure et la dignité de ce paysan, Maintenant on se demande est ce que les représentants ou porte parole défendent l'intérêts du paysan ou son propre intérêt en collaborant avec les industries et se camouflant dans deux casquettes (Devant le paysan on lui fait croire qu'on lutte pour ses intérêts .et devant l'industriel on ficelle l'stratégie de l'aider a réussir son coup qui sera fatale au paysan) L'industrie a son avocat qui défend ses intérêts quand ils sont menacés et malheureusement on a jamais suggérer le paysan de chercher lui aussi son avocat. Malgré tout on coupe le paysan des taxes d'assurances qui on ignore sur qu'el domaine on l'assure. Que l'état avec la collaboration de la SAED revoie sa politique de l'agriculture dans la vallée surtout pour la tomate parce que cela génère non seulement beaucoup d'économie mais du travail.
Répondre +0 -0
Signalier Permalink
{comment_ads}

Waalo-waalo
En Juin, 2014 (13:16 PM)
L'état doit revoir sa politique agricole en collaboration avec la SAED dans la vallée. Non seulement la production de la tomate génère des fonds économiques mais maintien des jeunes dans la zone .C'est la culture de tomate qui appuie celle de l'ognon, et même d'autres production. Les industries ont des avocats qui protègent leurs intérêts quand ils sont menacés. Mai pourquoi pas on suggère le paysan a chercher son avocat. De ce fait si des conflits apparaissent les avocats se mettrons a table pour trouver une solution équitable des intérêts des deux parties. On impute les paysans des taxes d'assurance, et que ce dernier ne savent même pas a quel domaine leur production est assurée ,pire ils ne savent même pas a qui s'adresser en cas de besoin.
Répondre +0 -0
Signalier Permalink
{comment_ads}

Esprit777
En Juin, 2014 (15:37 PM)
fatty donne ton avis
Répondre +0 -0
Signalier Permalink
{comment_ads}