
Selon Ibrahima Sagna, président des exploitants de la filière anacarde, l’enclavement, l’insécurité et l’absence de financement plombent la filière. Ibrahima Sagna déplore surtout l’inaccessibilité au foncier expliquant que jusque-là les terres sont occupées à titre provisoire. Il a exhorté les autorités à assurer la sécurité au niveau de la bande frontalière avec la Guinée-Bissau et à leur permettre d’accéder au marché international pour sauver les nombreux emplois que génère la filière.
0 Commentaires
Participer à la Discussion