La procédure de l’affaire d’abus sexuels de R Kelly a commencé et de nombreuses révélations ont été faites en peu de temps. Le médecin de R Kelly a récemment témoigné devant le tribunal et a confirmé que le rappeur souffrait d’herpès depuis presque 2007 dont il était au courant.
Les témoignages à charge à l’encontre de R. Kelly se multiplient. Au coeur du procès de R. Kelly, qui se déroule depuis la semaine dernière dans un tribunal de Brooklyn et dans lequel ce dernier fait face à de très nombreuses accusations, parmi lesquelles des faits d’extorsion, d’exploitation sexuelle de mineure, d’enlèvement, de corruption et de travail forcé entre 1994 et 2018, les victimes continuent de témoigner.
Les procureurs avaient allégué que Kelly avait intentionnellement propagé l’infection aux personnes atteintes de la MST (maladie sexuellement transmissible) qui est incurable. Le médecin du rappeur a parlé au tribunal du traitement de l’herpès génital par Kelly qui a commencé au moins en 2007.
Kelly, qui est également poursuivi pour pédopornographie, souffrait d’herpès dont il n’a pas informé ses partenaires sexuels, qui étaient des filles mineures. Par conséquent, le rappeur a également enfreint les lois sur la santé publique en vertu desquelles une personne sexuellement active, atteinte d’une maladie vénérienne infectieuse, est tenue de notifier ou d’informer ses partenaires sexuels de sa maladie et de son diagnostic.
Parmi les victimes, une dénommée Jerhonda Pace a notamment raconté ce qu’elle avait vécu il y a 12 ans, alors qu’elle n’avait que 16 ans, sur une durée de 6 mois. En plus de relations sexuelles à chaque fois filmées, elle a également évoqué la violence qu’elle avait subi, recevant des coups et parlant même d’étranglements lors de disputes, au point qu’elle se soit évanoui à plusieurs reprises. Enfin, elle a également accusé l’auteur du hit I believe I can fly de lui avoir transmis – évidemment sans l’avertir – un herpès génital, dont elle n’a jamais pu se débarrasser.
Les témoignages à charge à l’encontre de R. Kelly se multiplient. Au coeur du procès de R. Kelly, qui se déroule depuis la semaine dernière dans un tribunal de Brooklyn et dans lequel ce dernier fait face à de très nombreuses accusations, parmi lesquelles des faits d’extorsion, d’exploitation sexuelle de mineure, d’enlèvement, de corruption et de travail forcé entre 1994 et 2018, les victimes continuent de témoigner.
Les procureurs avaient allégué que Kelly avait intentionnellement propagé l’infection aux personnes atteintes de la MST (maladie sexuellement transmissible) qui est incurable. Le médecin du rappeur a parlé au tribunal du traitement de l’herpès génital par Kelly qui a commencé au moins en 2007.
Kelly, qui est également poursuivi pour pédopornographie, souffrait d’herpès dont il n’a pas informé ses partenaires sexuels, qui étaient des filles mineures. Par conséquent, le rappeur a également enfreint les lois sur la santé publique en vertu desquelles une personne sexuellement active, atteinte d’une maladie vénérienne infectieuse, est tenue de notifier ou d’informer ses partenaires sexuels de sa maladie et de son diagnostic.
Parmi les victimes, une dénommée Jerhonda Pace a notamment raconté ce qu’elle avait vécu il y a 12 ans, alors qu’elle n’avait que 16 ans, sur une durée de 6 mois. En plus de relations sexuelles à chaque fois filmées, elle a également évoqué la violence qu’elle avait subi, recevant des coups et parlant même d’étranglements lors de disputes, au point qu’elle se soit évanoui à plusieurs reprises. Enfin, elle a également accusé l’auteur du hit I believe I can fly de lui avoir transmis – évidemment sans l’avertir – un herpès génital, dont elle n’a jamais pu se débarrasser.
1 Commentaires
Anita
En Août, 2021 (10:47 AM)Participer à la Discussion