
Trente deux ans que dure le conflit casamançais. Avec ses hauts dans la recherche de la paix, et ses bas en termes de pertes en vies humaines. Des tentatives de relance du processus de paix difficiles, avec son lot de morts, de mutilés ou autres victimes tombés sous les balles de l’armée ou des rebelles indépendantistes. Victimes aussi des mines antipersonnel et leur conséquences fâcheuses sur la santé des populations.
Le mouvement rebelle miné par les démons de la division d’une part, où chacun cherche à faire de ce conflit un gagne-pain. Et d’autre part l’Etat du Sénégal et l'inadéquation des politiques successives des différents régimes dans la prise en charge de ce dossier, la multiplicité des acteurs, la place de l’argent, autant d’interrogations autour d’une machine grippée de la paix qui fait courir les autorités de l’Etat depuis trois décennies.
En ce 26 décembre 2014, jour anniversaire du déclenchement du conflit, la paix si présente dans les déclarations dans les médias peine à se matérialiser dans le quotidien des habitants d’une partie du pays souvent victimes d’attaques, de vols, de braquages, une violence qui n’a pas sa raison d’être et qui n’a que trop duré. Ce qui dénonce d'un manque de sincérité des parties prenantes, qui peinent à se tenir mutuellement un langage de vérité. Trente deux ans après, on a envie de dire une seule chose : le conflit, ça suffit !
Le mouvement rebelle miné par les démons de la division d’une part, où chacun cherche à faire de ce conflit un gagne-pain. Et d’autre part l’Etat du Sénégal et l'inadéquation des politiques successives des différents régimes dans la prise en charge de ce dossier, la multiplicité des acteurs, la place de l’argent, autant d’interrogations autour d’une machine grippée de la paix qui fait courir les autorités de l’Etat depuis trois décennies.
En ce 26 décembre 2014, jour anniversaire du déclenchement du conflit, la paix si présente dans les déclarations dans les médias peine à se matérialiser dans le quotidien des habitants d’une partie du pays souvent victimes d’attaques, de vols, de braquages, une violence qui n’a pas sa raison d’être et qui n’a que trop duré. Ce qui dénonce d'un manque de sincérité des parties prenantes, qui peinent à se tenir mutuellement un langage de vérité. Trente deux ans après, on a envie de dire une seule chose : le conflit, ça suffit !
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