Aujourd’hui, indifféremment, comme dit Claudel : «Un point c’est tout, trois points ce n’est pas tout». Car dans l’absolu, cette «victoire» du Oui, c’est aussi celle du Non. Ou pour le dire autrement, c’est une non-victoire, un non-événement. Dans la perspective de l’histoire et à l’échelle des peuples, les événements véritables sont des avènements, des révolutions. Or, comme l’affirme Senghor, «toute révolution digne de ce nom est surgissement de conscience : conscience de soi, conscience du monde.» De ce point de vue, la conscience historique ne devrait servir qu’à ne point rater le train de l’histoire. Mais à l’aune de notre pays, la double fin du 20e siècle et du cycle socialiste en 2000, ne nous aura ouvert qu’une nouvelle positivité, d’une nouveauté purement chronologique.
En effet, la défaite des socialistes marque aussi le début d’une rumination presque jubilatoire des vieilleries socialistes. Avec lesquelles paradoxalement, obstinément, nos libéraux prétendent rajeunir et moderniser notre démocratie. C’est que dans leur «conception antiquaire de l’histoire», la démocratie, c’est le pouvoir : toujours démocratiquement conquis, mais que l’on se donne ensuite pour unique mission de conserver par tous les moyens. «Les socialistes ont passé 40 ans au pouvoir ; nous (les libéraux) y passerons au moins 50 ans», avait défié le Président Wade. C’est ainsi que depuis 4 ans, la promesse électorale de Macky Sall résonne en écho à celle de Wade et tient tout le pays en haleine. Avant de se raviser, pour comprimer et cacher sa parole d’honneur derrière la raide autorité de deux syllabes : «Avis». Depuis lors, les avis d’experts s’amoncellent sur celui du Conseil constitutionnel. Et, le plus doctement du monde, chacun prétend expliquer au peuple ce que l’un ou l’autre mot (Oui ou Non) a de si «vital» pour sa survie en tant que peuple, de si «révolutionnaire» pour notre démocratie.
Exactement comme en France (notre modèle) au 17e siècle, où une vive querelle a éclaté autour de la conjonction de coordination «Car». On eût cru que de ce mot en trois lettres, dépendait la survie de la langue et de la culture françaises. Aujourd’hui, avec toute cette effervescence autour de la campagne référendaire, au gré de leurs pérégrinations à travers le pays, nos gouvernants nous ont littéralement enfermés dans une parenthèse spatiotemporelle de festivités. Or, la fête, comme le souligne Roger Caillois, provoque toujours des «rassemblements massifs qui favorisent la naissance et la contagion d’une exaltation qui se dépense en cris et en gestes incitant à s’adonner sans contrôle, aux impulsions les plus irréfléchies. (…) Il n’y a pas de fête, même triste, qui ne comporte au moins un début d’excès.»
On croirait qu’une victoire du Oui ou du Non transformerait les députés en véritables représentants du peuple qui les a élus, et non de simples pions d’un parti qui les fait agir selon ses intérêts. Comme si à l’issue de cette consultation, Macky Sall prendrait conscience que désormais, il est «Son Excellence Monsieur le président de la République (soumis à un devoir d’excellence)», cesserait d’être chef de son parti, pour n’être plus que celui de l’Etat. Quant à nos 5 Sages, ils sont si sages qu’ils ne se laisseront jamais écorchés par des mots aussi pointus que Oui ou Non.
La Constitution est leur forteresse imprenable. Mais cette situation a quelque chose de tragiquement amusant et pédagogique à la fois : elle nous ramène à nos premières années d’apprentissage scolaire. En nous initiant à la langue française, nos aînés débitaient souvent cette sentence : «Anticonstitutionnellement, c’est le mot le plus long…!» Aujourd’hui avec notre regard d’adulte et à l’épreuve des faits de démocratie, nous constatons que la longueur est moins dans ce mot que dans son radical : Constitution. C’est en effet ce substantif qui est indéfiniment extensible. De sorte qu’en régime prétendument démocratique, il sert, en toute légalité, à fonder et justifier tous les abus, toutes les manipulations des gouvernants, dont les envies de pouvoir sont aussi élastiques que le mot et ses dérivés, y compris le plus antidémocratique d’entre eux : «anticonstitutionnellement !»
Ainsi va le Sénégal depuis 1960. Du temps historique, par lequel les grandes nations se forgent de grands destins, nos gouvernants ne retiennent et ne nous font retenir que sa dimension chronologique. En effet, au gré de la conquête, de la conservation ou de la reconquête du pouvoir, notre vie de citoyens est par eux réglée sur une horloge dont les uniques repères sont les périodes électorales. Si bien que finalement, nous sommes presque programmés pour vivre en permanence dans le souvenir d’une élection et l’attente d’une autre. Ce referendum participe de cette logique implacable. Quant au peuple, même démobilisé et démoralisé, il est toujours au rendez-vous et accomplit son devoir. Comme toujours, pour toujours.
La conscience de la durée se fait ainsi bonne conscience, et entretient indéfiniment l’espoir. C’est pour cette raison que depuis toujours, en attendant la prochaine élection, invariablement, il attend, s’attend à un véritable «Yokute». En attendant un Président qui nous donne le goût du sublime, pour la conquête de l’essentiel : un «Yokute» solidaire et partagé, et non solitaire et partisan… En attendant…
30 Commentaires
Anonyme
En Mars, 2016 (11:20 AM)Anonyme
En Mars, 2016 (11:23 AM)Anonyme
En Mars, 2016 (11:27 AM)Mamadou Ndiaye
En Mars, 2016 (11:32 AM)Immigrés xamul tapale su begee am teranga
Tangh Khol
En Mars, 2016 (11:32 AM)B
En Mars, 2016 (11:40 AM)En 2016 65% des inscrits n ont pas vote ( parout par exemple si 800 sont inscrits, 200 oseuls nt vote).
il reste 35 % des votants dont minmum 15 % ont vote NON.
ce qui fait 80 % des inscrit nont pas vote oui, seulement 20%
Et pour avoir ces 20 %, il fait qu utilise des methodes peu orthodoxes:
- eliminer 200 000 electeurs sous pretexe que la machine de Fabrication des cartes est tombee en Panne
- Tous les jeunes qui ont lAge de 18 ans le 20 mars jour du vote nont pas de carte d Electeurs
- comme il svait qu il perd Touba, ils ont melange les bureaux de vote habituels pour induire
en erreur les votants oubien les decourager
- Cest ce meme procede qui est utilise a LExterieur, les emigres (sauf APR) sont informes tres tard ou pas du tout informe.
- Au senegal achat de conscience,
-
vers 13 heures comme les tendances etaient favorable a NON et que les
jeunes se deplacent pour aller voter souvent lApres midi, ils ont
oriente le peuple vers Walfadjri et sadonner a leur jeu favori l achat
des conscience. Pape diop la vite remarque et fait appel aux seneglais
daller voter et de ne pas se laisser divertir et daller voter
malheureusement le mal etait deja fait.
Ce qui me donne encore
confiance d esperer cest Touba et Mbacke, malgre lHospitalite mouride
que APR et sa Presse voulaient faire passer comme un Ndigueul Touba et
Mbacke ont vote NON
Que Pagano sache que son projet ne passera pas.
je remercie Sidy Lamine Niasse et Xeme, Dieu ne pourra pas vous reprocher demain de navoir pas averti votre Peuple.
Anonyme
En Mars, 2016 (11:48 AM)Anonyme
En Mars, 2016 (11:51 AM)Les Ides De Mars
En Mars, 2016 (11:54 AM)Idibus marsis
Les Ides de Mars
Idibus marsis
Les Ides de Mars
Idibus marsis
Les Ides de Mars
Idibus marsis
Mamegorko
En Mars, 2016 (11:55 AM)Mais on comprend, c'est ce qui vous fait vivre.... ce n'est que vous qui créent les tensions
Anonyme
En Mars, 2016 (12:05 PM)Anonyme
En Mars, 2016 (12:12 PM)Ces Mbacké -mbacké qui se cachent derrière le nom de Bamba pour faire de la politique doivent comprendre que si c'est le Magal nous sommes avec eux mais quand il s'agit du destin de tous les senegalais, ils sont seront toujours battus s'ils s'allient autres pour l'argent. Car Serigne Touba n'aimait même pas ces histoires de politique.
Momo
En Mars, 2016 (12:29 PM)Anonyme
En Mars, 2016 (12:34 PM)Anonyme
En Mars, 2016 (13:35 PM)Dada
En Mars, 2016 (13:35 PM)Attention!!!!
En Mars, 2016 (13:57 PM)Anonyme
En Mars, 2016 (14:11 PM)Le Doulisme est donc minoritairement majoritaire : il n'y a donc pas de quoi pavoiser !!!
Je pense que la Société Civile doit, dès à présent, se retrousser les manches et travailler à la base pour s'allier avec cette majorité silencieuse et l'encadrer afin d'aller résolument et victorieusement à :la conquête du Pouvoir pour sauver le Sénégal plus que jamais en très grand danger ...
NON au Doulisme !!!
Vive le Sénégal !!!
Foulbés,
En Mars, 2016 (14:26 PM)Là, il est question de REFERENDUM: Vote de l'ensemble des citoyens pour approuver ou rejeter une mesure proposée par le pouvoir exécutif (Le Petit Robert 2012).
Alors, certains-es-certainement-certains-es, il ne s'agit pas d'une élection. Il s'agit donc d'une démarche républicaine, démocratique, visant uniquement à permettre aux peuples sénégalais, en réalité réelle les seuls vrais souverainement souverains, d'exprimer librement leurs opinions-choix librement libres.
Au lieu d'applaudir chaudement le Président de la République du Sénégal, Son Excellence, Ingénieur Macky Sall, Peul pure Souche, donc éternellement digne-noble-courageux atavique,
pour ses rigoureuses-vigoureuses-permanentes démarches-actions destinées à valoriser-consolider-honorer les Institutions de la République, à fortifier-blinder les démocratie, laïcité, socialité de la République du Sénégal, gage de développement endogène du pays,
certains-es-certainement-certains-es exhibent encore des sottes sottises pour déguiser leurs frustations-angoisses-peurs-haines-racismes déguisés déclenchés par le succès du référendum dans tout le Sénégal,
sauf dans le funeste axe de tous les maux-affluents, chez les sinistres "êtres", de là-bas, sinistrement déguisés en religieux, bouffeurs insatiables de harams-ribas, cruels adeptes de l'exploitation sordide de la Foi religieuse à des fins purement mercantilistes.
Avec le succés brillant de ce REFERENDUM les quelques traces de souillures souillées qui souillaient encore l'image-l'honneur-bonheur de la République du Sénégal sont enfin désséchées et nettoyées, intégralement.
Si les dignes-nobles peuples sénégalais avaient été bien informés dés l'annonce du Référendum, sur ces raisons, ses objectifs, les résultats seraient à la soviétique.
Malheureusement, les grandes-puantes gueules, les traitres-menteurs-falsificateurs-tricheurs-usurpteurs, les méchants-haineux-racistes déguisés, les corrompus-prédateurs-trafiquants-magouilleurs-criminels, les revanchards-jaloux-envieux, les cruels adeptes de combines-complots-pactes diaboliques-manoeuvres-manipulations, avec la complicité d'une certaine "presse",
ont encore une fois usé-abusé lâchement des misères-ignorances-incultures-paresses mentales de certains-es certainement certains-es pour leurs funestes desseins.
Les IGNORANCES-INCULTURES-INCIVISMES-IMMORALITES-INDIGNITES-RAPACITES-AVIDITES-VORACISTES-CUPIDITES-LÂCHETES-PARESSES MENTALES
sont les causes-sources de toutes les misères-drames-malheurs-horreurs-terreurs-déshonneurs-HONTES
qui ravagent-dévastent-souillent-déchirent-humilient-abîment le Sénégal depuis le 01.01.1963, insérant dans les crânes désertiques, dans les coeurs en lambeaux de certains-es certainement certains-es leur abjecte-horrible mentalité exempte de valeurs universelles.
Alors, certains-es certainement certains-es, pour les biens-beaux-vrais-justes de tout le Sénégal, les valeurs de la République ont encore pris le dessus sur vos conneries connes, sur vos cochonneries cochonnes. Donc pliez-vous aux raisons républicaines! Becs cousus!
Basta les bavardages-arrogances-insolences-impolitesses-mensonges-falsifications-manoeuvres-manipulaions-combines-complots-pactes diaboliques pour des desseins macabres!
Au travail!
Au travail propre-bien fait, légalement-licitement, pour que le Sénégal, après 56 ans d'indépendance, sorte des misères misérables, intégre enfin, pour l'éternelle éternité, les clubs restreints des pays civilisés.
Yoonni, minables "êtres"!
Vive le Président de la République du Sénégal, Son Excellence, l'Ingénieur Macky Sall,
Vive la République laïque, démocratique, sociale du Sénégal éternellement archi-pluriel en tout de tout!
Foulbés.
Referendum
En Mars, 2016 (14:28 PM)Sénégalais n'écoutons pas trop les polticiens par exemple les soi disants opposants tous des trompeurs et des maitres chanteurs ils ont passé tout leur temps à vouloir faire croire au peuple que dans cette constitution macky voulais faire valider le droit des goor-djigueen c'est qui était archi-faux macky aura beau fait pour touba la considèration là bas est autre que politique les chiens aboient la caravane fait son chemin une caravane qui ne se fait pas aboyer par des chiens n'en est pas une allah protége le senegal macky thia kanam fa nga leen rawéé dou fii app dioulitt défay gueume ndogalou boromam soyez dignes parcequ'apresmacky sall y'aura quelqu'un d'autre ............mais pour aujourdhui acceptons que moom la fi yalla tégue le 20 mars est passé ceux qui des probléme ce 21 mars ce sont ceux qui n'ont comme métier que la politique et le s suiveurs de ces gens.
Quant à ABDOULAYE SALLI sall le fait de perdre SEEDO SEBBE n'en fait pas un drame un paquet de sucre dans l'océan ne fera jamais enlever le gout salé de l'eau de mer
Anonyme
En Mars, 2016 (14:28 PM)El Fettelero
En Mars, 2016 (14:45 PM)Anonyme
En Mars, 2016 (14:59 PM)Au Travail
En Mars, 2016 (15:08 PM)Anonyme
En Mars, 2016 (15:20 PM)La Wade-formula Dépassée!
En Mars, 2016 (15:52 PM)Mobiliser substantiellement de moyens financiers ;
Investir à fond dans l’électorat indigent;
Phagocyter intégralement la presse;
Impulser un marketing politique à outrance;
Huiler les religieux.
Avec un tel système, on ne peut que sortir victorieux à tous les genres de consultations. Au diable l'éthique et autres chinoiseries
Anonyme
En Mars, 2016 (16:02 PM)Anonyme
En Mars, 2016 (16:15 PM)Le référendum d’hier a été entaché par des dysfonctionnements et de heurts sur la majeure partie du territoire. Partout, les représentants du «Non» n’ont pas eu à leur disposition les listes d’électeurs. Au Plateau à Dakar, Grand-Yoff, Yoff, Parcelles assainies, Pikine, Rufisque, Kaolack et Touba, les citoyens et représentants politiques ont dénoncé ces manquements «imputables au ministre de l’Intérieur chargé de l’organisation du référendum». Pour Khalifa Sall, le maire de Dakar, qui a voté à Grand-Yoff, ces irrégularités peuvent être considérées comme des fraudes. Mais le plus grave, relève-t-il, «ces assesseurs et secrétaires de bureau qui ont voté à Grand-Yoff sans que leurs noms ne soient sur les listes, violent le droit de vote, car ce sont des électeurs que l’on nous impose». Le maire de Dakar chiffre ces «électeurs importés» dans sa localité à environ 200 votants supplémentaires.
A Grand Yoff, une bagarre rangée a été notée entre les partisans de Khalifa Sall et ceux de Adama Faye, le frère de la Première dame. M. Faye a été accusé d’avoir recruté des nervis dans le but d’intimider le camp du «Non». Jets de pierre contre des armes blanches brandis. La police a dû intervenir pour séparer les deux camps. Des heurts sont notés à la Médina entre les partisans du maire de la Médina, Bamba Fall et ceux du porte-parole de l’Apr, Seydou Guèye. C’était à l’avenue Blaise Diagne. Tout est parti d’une banderole favorable au «Non» accrochée sur les grilles de la mairie de la Médina. Cette affiche a été déchirée par les partisans de Seydou Guèye. Ce qui a provoqué l’ire des partisans du maire Bamba Fall qui ont riposté par des jets de pierre. Le calme est revenu après l’intervention de la police.
A Guédiawaye, à Yoff, Touba, au Plateau, l’achat de conscience noté durant la campagne, s’est prolongé pendant le scrutin d’hier. A Sam-Notaire Badara Diouf du front du «Non» a accusé Adja Dieynaba Fall d’offrir de l’argent aux électeurs. Ce que cette dernière a nié. «Je ne dirais à personne de voter pour tel où tel camp», lance-t-elle. A Yoff, le même constat a été fait par El Hadji Ndiaye, chargé de la communication du front du «Non».
Des électeurs désorientés au Plateau
Les changements de lieux de vote au Plateau ont porté préjudice à certains électeurs. L’école Bibi Ndiaye, le plus grand centre de vote, a été transférée à l’école Malick Sy. Un changement qui a désorienté les électeurs. Beaucoup n’ayant pas eu l’information à temps, ont rebroussé chemin. Une influence au vote a été aussi notée. Avec des astuces simples, des responsables ont eu à donner des consignes de vote.
200 électeurs privés de vote à Touba
Les couacs semblent être plus énormes à Touba où des citoyens ont indiqué au micro du correspondant de Walf Tv, qu’ils ont été privés de vote. Les raisons ? Le centre de vote où ils devaient normalement accomplir leur devoir civique a été déplacé dans un lieu inconnu. «Nous avons été orientés dans un autre centre, arrivés là-bas, nos noms n’étaient pas sur les listes», relate un électeur. Cet incident s’est passé dans l’arrondissement de Sam Lam dans la commune de Touba. Selon Serigne Bara Doli, «c’est inacceptable et intolérable que des choses de ce genre se passe dans la ville de Touba». Autres problèmes soulignés dans cette commune à Darou au bureau de vote Serigne Niane, un nervi ayant à sa possession deux machettes a été menotté par la police. A Touba toujours, selon Mamadou Mactar Sarr, correspondant de Walf Tv, 30 bureaux de vote n’ont pas eu de président jusqu’à 13 heures. Un responsable de l’Apr dans cette localité exige à ceux qui avaient reçu de l’argent de la part du parti de rendre compte. Car pour lui, les électeurs n’ont pas été transportés pour accomplir leur devoir de vote. La mauvaise impression des bulletins de vote du «Non» a été dénoncée à chaque fois dans les centres de vote sur l’ensemble du territoire.
A cela s'ajoutent les nombreux signalements de Sénégalais basés à l'extérieur faisant état de bureaux de vote supervisés par les seuls représentants de l'Etat dans ces pays
Anonyme
En Mars, 2016 (17:25 PM)pauvre et triste Sénégal akk sene victoire bou gnoussou guey
Anonyme
En Mars, 2016 (19:48 PM)Participer à la Discussion