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La justice sénégalaise ne va pas chômer en ce début d‘année 2023 avec une série de procès annoncés. C‘est dire que nos confrères qui sont chargés des rubriques judiciaires dans les médias ne vont pas chômer. Ils seront sollicités pour des comptes rendus d‘audiences très professionnels. En effet, dans un procès, l’avis des journalistes n’intéresse personne. Ils doivent suivre les règles de le métier comme stipulées dans leur éthique et leur déontologie. L’impartialité doit toujours être de rigueur et tant que le jugement définitif n’est pas prononcé, l’accusé bénéficie toujours de la présomption d’innocence.
Il n‘est pas donné à n‘importe qui d‘animer une rubrique judiciaire. C‘est pourquoi, Il est recommandé dans ces cas, de bien maîtriser le vocable judiciaire pour mieux informer les citoyens. C’est le moment pour ceux-là, désignés pour suivre ces différents procès, de se rapprocher des spécialistes en Droit Pénal, pour passer en revue certaines subtilités du Droit, qui n’est pas une science exacte, comme tout le monde le sait. C’est une matière où les interprétations soulèvent toujours des polémiques, souvent animées par des profanes ou des experts en....Tout, mais spécialistes de.....Rien ! C’est de cette confusion que naissent des discussions inutiles qui mènent, très souvent à des violences gratuites.
Le premier procès annoncé, est l‘affaire opposant le Ministre Mame Mbaye Niang et le leader de PASTEF Ousmane Sonko. Ce dernier accuse Mame Mbaye Niang d‘être épinglé par un rapport de l‘Inspection Générale d‘Etat sur le PRODAC quand il était Ministre de tutelle du cette entité. Ce que le Ministre a réfuté catégoriquement c‘est pourquoi, il lui a servi une citation directe. L‘affaire sera en jugement le 2 Février prochain.
Le deuxième procès, concernant toujours Ousmane Sonko, est relatif à la plainte de la dame Adji Sarr qui accuse le leader de PASTEF, de viol présumé et menaces de mort. Le Doyen des Juges, Oumar Maham Diallo, qui vient de boucler le dossier, l‘a transmis pour jugement, au Juge Ameth Sy, qui a exercé pendant longtemps au Tribunal d‘Instance de Rufisque.
Ce procès attendu par les Sénégalais depuis 2021, est celui qui est le plus redouté par tous. Le leader de PASTEF se dit prêt à la résistance suivant la Constitution, après la transmission à la Chambre Criminelle par le Doyen des juges qu’il considère désormais comme « un adversaire...politique » Il l’a dit au cours d’une conférence de presse après l’annonce de son renvoi devant la Chambre Criminelle du tribunal de Dakar.
Le journaliste Cheikh Yerim Seck, risque lui aussi d‘être attrait devant la justice par le leader de PASTEF, Ousmane Sonko, qui s’est senti diffamé après la publication de son livre Macky SALL face à l’histoire. Ousmane Sonko lui aurait servi une citation directe.
On se demande qu‘est-ce que la vie privée d‘un citoyen a à figurer dans un livre qui nous parle de Macky SALL.
Et puis, comme le dit si bien mon ami, le Professeur Lat Soukabe Mbow, «l’auteur d’une publication qui expose la vie privée des autres ne peut pas s’attendre de leur part à des réactions inspirées par la sérénité ou fondées sur l’objectivité . »
Cheikh Yerim Seck doit méditer ces termes car, les réactions que suscitent sa publication sont multiples et variées car certaines personnes se sentent offensées et leurs réactions peuvent être violentes dans les termes ! Donc Cheikh Yerim peut s‘attendre à une série de plaintes comme celle que lui a servi le leader de Pastef.
Décidément, ce premier trimestre de 2023 risque d‘être un peu trop judiciaire !
Le pays retient son souffle, quand on annonce qu’on pourrait revivre ce qui s’était passé en Mars 2021, après la convocation de Ousmane Sonko, suivie d’une manifestation ayant occasionné 14 morts. Ces rumeurs ne doivent pas prospérer parce que personne n’y gagne au contraire, c’est le Sénégal qui va y laisser des plumes.
Les droits de l’hommistes autoproclamés, devraient se lever pour appeler au calme. Où sont ceux qui parcourent le pays pour appeler à la paix et à l‘apaisement dans les relations politiques? J’interpelle mon ami et camarade de promotion au Lycée Gaston Berger ( actuel Lycée Valdiodio Ndiaye de Kaolack) Alioune Tine, de mener une campagne de dissuasion auprès des jeunes pour qu‘ils gardent leur calme pendant et après tous ces procès annoncés. Leur avenir n’est pas dans la rue.
Il ne faut pas attendre qu‘il y ait des émeutes pour s‘émouvoir. N‘est ce pas Seydi Gassama, Moundiaye Cissé et les autres autoproclamés Société Civile ! Donc Réveillez vous ! Pour reprendre les Témoins de Jehovas! C’est maintenant qu’il faut agir et non après.
Abdou GNINGUE
Journaliste Citoyen du monde rural
Il n‘est pas donné à n‘importe qui d‘animer une rubrique judiciaire. C‘est pourquoi, Il est recommandé dans ces cas, de bien maîtriser le vocable judiciaire pour mieux informer les citoyens. C’est le moment pour ceux-là, désignés pour suivre ces différents procès, de se rapprocher des spécialistes en Droit Pénal, pour passer en revue certaines subtilités du Droit, qui n’est pas une science exacte, comme tout le monde le sait. C’est une matière où les interprétations soulèvent toujours des polémiques, souvent animées par des profanes ou des experts en....Tout, mais spécialistes de.....Rien ! C’est de cette confusion que naissent des discussions inutiles qui mènent, très souvent à des violences gratuites.
Le premier procès annoncé, est l‘affaire opposant le Ministre Mame Mbaye Niang et le leader de PASTEF Ousmane Sonko. Ce dernier accuse Mame Mbaye Niang d‘être épinglé par un rapport de l‘Inspection Générale d‘Etat sur le PRODAC quand il était Ministre de tutelle du cette entité. Ce que le Ministre a réfuté catégoriquement c‘est pourquoi, il lui a servi une citation directe. L‘affaire sera en jugement le 2 Février prochain.
Le deuxième procès, concernant toujours Ousmane Sonko, est relatif à la plainte de la dame Adji Sarr qui accuse le leader de PASTEF, de viol présumé et menaces de mort. Le Doyen des Juges, Oumar Maham Diallo, qui vient de boucler le dossier, l‘a transmis pour jugement, au Juge Ameth Sy, qui a exercé pendant longtemps au Tribunal d‘Instance de Rufisque.
Ce procès attendu par les Sénégalais depuis 2021, est celui qui est le plus redouté par tous. Le leader de PASTEF se dit prêt à la résistance suivant la Constitution, après la transmission à la Chambre Criminelle par le Doyen des juges qu’il considère désormais comme « un adversaire...politique » Il l’a dit au cours d’une conférence de presse après l’annonce de son renvoi devant la Chambre Criminelle du tribunal de Dakar.
Le journaliste Cheikh Yerim Seck, risque lui aussi d‘être attrait devant la justice par le leader de PASTEF, Ousmane Sonko, qui s’est senti diffamé après la publication de son livre Macky SALL face à l’histoire. Ousmane Sonko lui aurait servi une citation directe.
On se demande qu‘est-ce que la vie privée d‘un citoyen a à figurer dans un livre qui nous parle de Macky SALL.
Et puis, comme le dit si bien mon ami, le Professeur Lat Soukabe Mbow, «l’auteur d’une publication qui expose la vie privée des autres ne peut pas s’attendre de leur part à des réactions inspirées par la sérénité ou fondées sur l’objectivité . »
Cheikh Yerim Seck doit méditer ces termes car, les réactions que suscitent sa publication sont multiples et variées car certaines personnes se sentent offensées et leurs réactions peuvent être violentes dans les termes ! Donc Cheikh Yerim peut s‘attendre à une série de plaintes comme celle que lui a servi le leader de Pastef.
Décidément, ce premier trimestre de 2023 risque d‘être un peu trop judiciaire !
Le pays retient son souffle, quand on annonce qu’on pourrait revivre ce qui s’était passé en Mars 2021, après la convocation de Ousmane Sonko, suivie d’une manifestation ayant occasionné 14 morts. Ces rumeurs ne doivent pas prospérer parce que personne n’y gagne au contraire, c’est le Sénégal qui va y laisser des plumes.
Les droits de l’hommistes autoproclamés, devraient se lever pour appeler au calme. Où sont ceux qui parcourent le pays pour appeler à la paix et à l‘apaisement dans les relations politiques? J’interpelle mon ami et camarade de promotion au Lycée Gaston Berger ( actuel Lycée Valdiodio Ndiaye de Kaolack) Alioune Tine, de mener une campagne de dissuasion auprès des jeunes pour qu‘ils gardent leur calme pendant et après tous ces procès annoncés. Leur avenir n’est pas dans la rue.
Il ne faut pas attendre qu‘il y ait des émeutes pour s‘émouvoir. N‘est ce pas Seydi Gassama, Moundiaye Cissé et les autres autoproclamés Société Civile ! Donc Réveillez vous ! Pour reprendre les Témoins de Jehovas! C’est maintenant qu’il faut agir et non après.
Abdou GNINGUE
Journaliste Citoyen du monde rural
6 Commentaires
Fama
En Janvier, 2023 (14:38 PM)Amsa
En Janvier, 2023 (15:05 PM)Vous nous avez trompez la premiere fois avec Karim Wade, la deuxieme fois avec Khalifa Sall et vous voulez encore le tenter pour Ousmane Sonko, l'adage a dit jamais deux sans trois..... raison pour laquelle nous refuserons cette fois de plier pour sauver la Nation Senegalaise toute entiere.
"Fool me once shame on you; fool me twice shame on me".
Alerte
En Janvier, 2023 (15:11 PM)Je prefere qu'on apporte des solutions à ce dossier ADJI SARR/SONKO
Il ne faut pas sous estimer les choses ou de faire la sourde oreille.
Il ne suffit pas d'etre anlyste ou guissanai pour le savoir
WASSALAM
Patriote
En Janvier, 2023 (18:10 PM)