Aujourd’hui, l’Afrique est à présent la « nouvelle frontière », au même titre que la Chine il y a une vingtaine d’années. Le monde entier regarde vers le continent qui affiche, depuis une quinzaine d’années, un taux de croissance économique moyen de 5% par an alors que les pays avancés montrent des signes d’essoufflement.
Les colloques et conférences sur l’Afrique attirent de plus en plus de décideurs occidentaux qui proposent enfin un discours optimiste débarrassé des habituelles et déprimantes postures misérabilistes. La Chine, l’Inde, la Turquie, le Brésil… déploient une stratégie offensive sur le continent, défiant les partenaires historiques de l’Afrique que sont la France, la Grande-Bretagne et les États-Unis. Les fonds souverains des pays du Golfe affluent avec leurs immenses capacités de financement. À Paris, quelques champions du CAC 40 placent désormais l’Afrique dans leurs radars, aidés en cela par la multitude d’études portant sur le décollage économique africain (FMI, Banque mondiale, McKinsey, World Economic Forum…). Les plus grands patrons et financiers internationaux multiplient les interventions publiques sur l’essor du continent. Ils étaient auparavant iconoclastes, ils sont désormais « tendance ».
De la même manière, les grands médias commencent à sortir des sentiers battus des guerres, des maladies et des crises africaines. Ils accordent progressivement de la place à d’autres sujets plus en phase avec la réalité du continent (bond économique, émergence de nouvelles puissances, lancement de grands projets d’infrastructures, apparition d’une classe moyenne, bonds technologiques, nouvelle génération de décideurs, boom de certaines industries…). Dans ce contexte, les journalistes ont besoin de dirigeants et d’experts africains pour commenter, décrypter et valider les dynamiques africaines à l’oeuvre.
« Leadership métier et de plaidoyer »
Dans ce contexte, alors que le Groupe Wari constitue une authentique réussite africaine avec une projection internationale, dans un secteur d’activité en plein développement et qui incarne la transformation à l’oeuvre du continent, le Groupe et son fondateur, Kabirou Mbodje, sont en mesure d’assurer un « leadership métier et de plaidoyer » sur les périmètres africains et internationaux.
En effet, les secteurs financiers et technologiques bénéficient tout particulièrement de cette « nouvelle donne » médiatique. Plateforme digitale de services financiers et non financiers pour le grand public, assurant depuis Dakar plus de 1 million de transactions par jour et disposant d’un réseau unique de plus de 500 000 points de services directs et partenaires dans plus de 60 pays, Wari est à la confluence de ces deux secteurs qui sont tout simplement en train de bouleverser la donne africaine.
Paiement de factures, recharge crédit, versement de pensions, bourses ou salaires, transfert d’argent, jeux et loteries, compte digital et carte multiservices..., les solutions Wari valident le dynamisme du continent et la performance des modèles technologiques africains adaptés aux marchés locaux tout en étant aux standards internationaux. Grâce à ces nouvelles technologies, les prémices d’une révolution financière sont visibles en Afrique, notamment dans le domaine des paiements et micro-paiements mobiles. La fintech, qui n’existait pas en Afrique il y a encore quelques années, devient l’un des secteurs les plus porteurs, dans le sillage des opérateurs telcos qui ont tous investi dans ce domaine.
Incarner le nouveau récit africain
Alors que le taux de bancarisation classique reste faible, la fintech est finalement la réponse africaine à ces barrières à l’entrée et la plus récente illustration du leapfrop technologique. Dans le sillage de la téléphonie mobile, et grâce à la démocratisation extrêmement rapide de l’usage des smartphones, la fintech est un sujet qui valide un « nouveau récit africain ».
L’enjeu est maintenant d’incarner ce sujet, de manière fiable et crédible, et d’en assurer le leadership.
Les opérateurs telcos (Orange Money, M-Pesa, Airtel, MTN...) fonctionnent depuis une dizaine d’années mais par effets d’annonce et en peinant souvent à opérationnaliser pleinement leurs activités ou à atteindre une masse critique suffisante. Dans ce contexte, Wari a un coup à jouer. Pour les médias, cet acteur est séduisant par nature en proposent une alternative à la saturation marketing des mastodontes telcos. Là où les opérateurs télécom saturent les médias, là où les acteurs historiques comme Western Union ou les banques statutaires de la place n’ont pas encore réussi leur transformation digitale, la place est à prendre pour Wari, un opérateur crédible et performant de la fintech en Afrique.
Passer d’une société prometteuse à un Groupe leader incontesté
Pour ce faire, Wari doit crédibiliser son modèle pour asseoir une existence. Jusqu’à présent, c’est l’angle startup qui a été utilisé. Avec plus d’un million de transactions enregistrées par jour, soit plus de 5 milliards de dollars de flux annuel, plus de 300 collaborateurs dans près de 60 pays et plus de 45 000 emplois créés, la communication de Wari peut maintenant évoluer vers une nouvelle phase : l’institutionnalisation de son modèle, la crédibilité de ses dirigeants et la labellisation de sa marque.
L’esprit pionnier que Wari a su mettre en avant depuis le démarrage de ses activités en 2008, pays par pays, a été sa prime à l’innovation. En Afrique, Wari est déjà une marque s’adressant au grand public. Elle doit maintenant devenir un label.
Wari opérateur panafricain et international, décryptage d’un secteur en perpétuel mouvement et leadership de son président Kabirou Mbodje.
Les angles éditoriaux:
- L’expertise Wari, la sécurisation de cette nouvelle économie numérique.
- L’inclusion financière en Afrique, modèle de développement du continent.
- Le leapfrog technologique qu’autorise le modèle Wari.
- Le modèle Wari a été porté par un leader, Kabirou Mbodje, qui incarne l’énergie
entrepreneuriale en Afrique.
2 Commentaires
Well Done !
En Février, 2017 (19:58 PM)Bonne chance!
Anonyme
En Février, 2017 (21:51 PM)De la part d'un....concurrent :)
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