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Le groupe UBA lance officiellement ses opérations bancaires au Royaume-Uni

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Le groupe UBA lance officiellement ses opérations bancaires au Royaume-Uni

Londres, le 1er mars 2019: Trois semaines après le lancement par le groupe UBA de sa filiale au Mali, la ville financière mondiale de Londres a accueilli jeudi 28 février 2019 un rassemblement des dirigeants de haut niveau des secteurs privé et public, alors que la nouvelle franchise de UBA, UBA Royaume-Uni (UBA R-U), est officiellement née avec de grandes attentes.

Lors de la cérémonie haut de gamme qui s'est tenue dans le prestigieux Shard de Londres, UBA R-U a été formellement présentée aux chefs d’entreprise d’Europe et d’Afrique avec l’engagement du Groupe UBA de sa préparation à renforcer le dynamisme des échanges commerciaux entre l’Europe et l’Afrique.

Le lancement officiel fait suite à l’octroi de l’agrément de banque de grande clientèle par l’Autorité de Régulation Prudentielle (PRA) et de l’Autorité de Bonne Conduite Financière (FCA) à UBA R-U pour effectuer des opérations bancaires au Royaume-Uni.

Avec ce lancement, le groupe UBA consolide son unique positionnement en tant que la première et seule institution financière de l’Afrique subsaharienne avec des opérations bancaires au Royaume-Uni et aux États-Unis, renforçant ainsi sa solide réputation de banque africaine de référence à l’échelle mondiale, Africa’s global bank, facilitant les échanges et les flux de capitaux entre l’Afrique et le reste du monde.

S’exprimant lors de l’événement, le Président du Groupe UBA, Tony Elumelu, a fait part de l’enthousiasme suscité au sein du groupe par l’agrément accordé par les autorités de régulation compétentes du Royaume-Uni à UBA pour renforcer ses opérations et réaliser son aspiration de participer à la croissance des flux commerciaux et des investissements entre l’Afrique et l’Europe.

“Le renforcement de nos activités au Royaume-Uni est très opportun et mutuellement bénéfique pour les entreprises africaines et européennes, ainsi que pour les gouvernements respectifs. Les gouvernements britannique et européens, recherchant de nouvelles mesures améliorées pour développer leurs relations commerciales avec l’Afrique, nous sommes enthousiastes quant à notre positionnement et à nos capacités à accompagner les entreprises et les institutions gouvernementales à réaliser ces aspirations ambitieuses, qui, à notre avis, sont pertinentes pour la croissance durable des deux continents“.

M. Elumelu a exprimé sa grande satisfaction car UBA vit son mantra de banque africaine de référence à l’échelle mondiale, Afica’s global bank, et se positionne pour soutenir les investisseurs dans les principaux centres financiers à travers le monde.

S’exprimant également lors de l’événement, Kennedy Uzoka, Directeur Général du Groupe, a déclaré: “Le Groupe UBA est la passerelle la plus efficace facilitant aux entreprises et aux institutions européennes l’accès à l’Afrique, étant donné l’étendue du réseau de la banque sur la plupart des marches à impact du continent et sa connaissance approfondie de l’environnement des affaires en Afrique. Selon lui, “simultanément, nous répondons aux besoins en échanges et en capitaux de nos clients africains, qui recherchent une exposition aux marchés européens. Avec le renforcement des opérations de UBA R-U, nous sommes ravis de renforcer notre soutien aux clients existants tout en offrant aux nouveaux clients le moyen de traiter efficacement leurs transactions transfrontalières via le réseau du groupe UBA”.

De son côté, le DG de UBA R-U, Patrick Gutmann, a déclaré: “Nous nous trouvons maintenant sur des bases plus solides, car l’agrément de PRA et de FCA pour un modèle commercial renforcé nous donne l’opportunité de renforcer notre capital et notre bilan, ainsi que le réseau du groupe UBA en Afrique dans son ensemble. Nous souhaitons la bienvenue à nos clients existants et à nos nouveaux clients dans ce nouveau monde d’opportunités sans frontières, alors que nous mettons la créativité au service de nos clients pour répondre à leurs besoins en matière de transactions internationales”.

Parmi les invités présents, figurent le Président du Groupe Dangote, Alhaji Aliko Dangote; le Président d’Afreximbank, Dr. Benedict Oramah; S.E. Shaukat Aziz, ancien Premier ministre du Pakistan; Rt. Lord Anthony Tudor St. John, Membre de la Chambre britannique des lords et membre du comité exécutif d Groupe Parlementaire Multipartite pour l’Afrique, etc.

L’événement était riche en divertissements et l’un des principaux artistes africains, Dbanj, s’y est produit à l’admiration de nombreux invités dont la vedette, Whiz Kid.

United Bank for Africa Royaume-Uni, ancien UBA Capital Europe, offre une gamme complète de produits de trésorerie, de gestion de trésorerie, de correspondance bancaire, de crédit aux entreprises et de dépôts de grande clientèle aux professionnels et aux contreparties éligibles. En outre, UBA R-U offre toutes formes de financement structuré et de financement du commerce; d’émission, d’acceptation, de confirmation et de refinancement de lettres de crédit de différentes variations, y compris les lettres de crédit stand-by.  



17 Commentaires

  1. Auteur

    En Mars, 2019 (09:32 AM)
    Arnaque … ne répondez pas au commentaire ci-dessus …. n'envoyez pas d'email…



    UBA bon courage

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  2. Auteur

    En Mars, 2019 (14:37 PM)
    UBA à un problème de jugement. C’est l’une des banques africaines qui avait des problèmes de capitalisation réglementaire. They did not have adequate regulatory capital due to massive losses that overwhelmed their their ALLL. Maintenant que toutes les grandes banques du monde, de JPMorgan, BofA, Citi, Morgan Stanley, Holdman Sachs, etc fuient Londres à cause des conséquences de Brexit ou plus précisément d’un no deal sur leurs opérations au Royaume Uni, UBA prend ce risque sans perdre la conséquence sur ses activités. Le défaut de passporting rights est un des risques que les banques veulent éviter car les sanctions de l’UE vont peser sur la rentabilité des opérations bancaires au Royaume Uni.
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    Auteur

    Maryam

    En Mars, 2019 (17:45 PM)
    Témoignage: je me nomme Mariam je suis algérienne d'origine mais je vie en France ; mère de 3 enfants. Je vivais avec mon mari avec un grand amour, il est tombé sur le charme d'une jeune fille dans son boulot , mon mari a changé du jour au lendemain , il ne dors plus à la maison , il ma même dit en face qu'il ne veut plus de moi qu’il ne m'aime plus ,je ne fais que pleurer chaque jour,j'ai consultée des marabouts sur le net sans résultat.DIEU merci j'ai parlé de ma situation à un collègue de travail qui m'a donné le contact d'un Grand Maitre au nom de AZE CHANGO,il vit au Bénin dans un petit Village c'est lui qui m'a ramené mon homme très amoureux et nous sommes très heureux,Mon mari est revenu à la maison apres 3jours de travaux magique.Sincèrement je n’arrive pas à y Croire qu’il existe encore des personnes aussi terrible, sérieux et honnête dans ce monde, et il me la ramené, c’est un miracle.Je ne sais pas de quelle magie il est doté mais tout s’est fait en moins d’une semaine, il est fort dans tous les domaines.Vous aurez tous ces contacts sur son siteWeb:

    Voici son site : https://www.grand-marabout-retour-affectif.fr
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    Auteur

    En Mars, 2019 (21:55 PM)
    Ceux qui disent que le problème de capitalisation n’est pas un vrai problème et que seul le risque de produits est le problème des banques ne connaît rien au metier de la banque.

    They know nothing about banking!

    Va relire Basel III pour comprendre l’importance du capital réglementaire et son rôle dans la banque. Une banque qui ne dispose pas d’assez de capital réglementaire fait l’objet d’une enforcement action lui imposant de remédier à ces insuffisances en 90 jours où se voir confisquer son banking charter. Aux États-Unis such a violation calls for a capital restoration plan under the FDIC 2% letter (FDIA Act). Le risque de produits ne tombe que sous le BSA/AML compliance et not sous safety and soundness. Le capital sert à absorber les pertes non anticipées et pour cette raison aucune banque ne sera autorisée à opérer avec une insuffisance de capital. Et Basel III met l’accent sur la quantité et la qualité du capital ainsi que sur la liquidité (Liquidity Coverage Ratio and the Net Stable Funding Ratio).
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    Auteur

    En Mars, 2019 (12:47 PM)
    Les banques comme Uber et Google ne font pas partie des plus grandes banques. Le dispositif de Bâle III sur la réglementation du capital n’est pas un dispositif américain. C’est un cadre international provenant de BCBS. Lors de la dernière crise financière de 2008, les grandes banques soumises aux advanced models au lieu des modèles standardisés étaient apparemment well capitalized. Cependant, les pertes encourues lors de la crise ont vidé leurs provisions pour pertes et créances douteuses. Du coup, leurs capitaux propres ont été réduits de façon à rendre certaines banques en deçà du seuil de capitalisation adéquate. Et c’est pour cette raison qu’on en est aujourd’hui à Basel IV, sur la calibration du denomination ou Rsk-weighted Assets ou RWA.

    Les produits présentent certes des risques mais ces risques peuvent etre acceptés si la banque dispose d’une structure de gestion des risques adéquate. En d’aautres termes, if à bank has adequate internal controls and adequate risk management systems, les risques émanant des produits peuvent être bien gérés. Le problème majeur c’est lorsque la banque n’a pas suffisamment de capital pour absorber les pertes non anticipées.
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    Auteur

    En Mars, 2019 (13:44 PM)
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    Auteur

    En Mars, 2019 (14:00 PM)
    Je ne veux pas dire que les produits ne presentent pas de risques pour les banques. Si, ils en representment mais les produits font partie des autres moyens par lesquels un risque peut passer dans le bilan d'une banque. Les principales voies par lesquelles les risques entrent dans une banque sont: les produits, les services, les clients, et la geographie.



    1. Les produist et services: On peut citer par example les wire transfer services offerts par une banque. Et la il faut penser aux voleurs de deniers publics et aux trafficants de drogue qui cherchent a envoyer leur argent via ces services bancaires, donc ca represente un risque de blanchiment d’argent sale. On peut citer egalement d’autres produits comme les interest only mortgages et les “No Income, no Assets, No Job” connus sous le vocable “NINJA" loans ou prets hypothecaires sans documentation quelconque popularise avant la crise de 2007-2008.



    2. Les clients: Les trafficants de drogues et les voleurs de deniers publics, ainsi que les personnes qui cherchent a financer les organismes criminels et terroristes comme Al qaeda.



    3. La geographie veut dire l’endroit ou se trouve la banque comme par example les banques situees sur la Southwest border des Etats-Unis entre l’etat du Texas et le Mexique, un emplacement repute frequente par les traficants de drogue appeles aussi des High Intensity Crime Areas ou HIFCAs. La domiciliation des clients peut aussi causer un risque geograpghique.



    Toutes ces voies de trqansmission de risque doivent etre etudiees par une banque dans la matrice des risques (risk matrix) pour determiner son profil de risques et son exposition par rapport a ces risques. C’est seulement apres cette determination que la banque met en place les controles necessaires. Apres avoir mis les controles necessaires, la banque procede a une “independent testing” pour voir si les controles marchent bien, si non, le BSA Officer de la banque fait des ajustements necessaires. Les autres etapes qui suivent c’est de former le personnel sur ces risques de Bank Secrecy Act/Antimoney Laundering (BSA/AML), et sur la facon de remplir les Currency Transaction Reports (CTR) et les Suspicious Activity Reports (SARs).



    Bref, ce que je viens de decrire plus haut concerne surtout les risque de BSA/AML. Cependant, il faut garder a l'esprit que les banques sont surtout exposees au risque de credit (non paiement), au risque de liquidite, au risque de taux d'interests, au risque de concentration des credits, aux risques operationel, au risque de change (trading risk), et meme au risque de reputation.

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    Auteur

    Defenseur

    En Mars, 2019 (16:14 PM)
    Hé p.8 elle ne fait partie des plus grandes Banques d'où puisqu'au au sénégal ici si elle n'est pas 1ere donc sans doute 2eme
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    Auteur

    Gadaye

    En Mars, 2019 (19:38 PM)
    Very impress by the quality of the discussion from everybody. Bravo les gars

    ????

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    Auteur

    2

    En Mars, 2019 (12:01 PM)
    Ce qui est bien de debattre avec un auditeur il te parle de normes de regles etc ... c est bien mais ce n est jamais assez. Tous les scandales de ces dernières années ont montré les limites de l audit traditionnel ... ils ne sont pas curieux.. pas suffisament en tout cas pas comme ils le devraient

    Le monde est au lendemeain d une grave crise et ça tout le monde le sait ... les banques n ont jamais été autant spéculatives et elles savent que rien ni personnes ne pourra les arreter dans leur folie destructrice... et s il ya casses les Etats vont mettre la main a la poche sinon c est une grave crise économique qui s ensuit ... et s il ya une crise ... elles attendent que la vague passe et elles rachetent tout ( parce que ce n est qu une seule activité qui sera frontalement touchée) : aeroport societes nationales port rail ... tout ...

    donc je reviens a ce que je disais

    ... le danger vient plus des produits ( non visible ou pas suffisament compris pour en mesurer le danger) que de la structuration financière ( ce qui est visible et ce sur quoi les auditeurs et autres executants vont justifier et valider la fiabilité ) ...

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    Auteur

    En Mars, 2019 (12:49 PM)
    Les produits dont tu parles n’ont plus la même ampleur aujourd’hui qu’avan’y la crise de 2007. Avant la crise, il y avait de nouveaux produits résultant dérivés dont les régulateurs bancaires comme OCC, FDIC et la FED ne maîtrisait oak tous les risques. Certains de ces produits n’avaKent pour objectif que de contourner les règles en matière de capital réglementaire. Par exemple, sous le dispositif de Basel II, si une banque retient sur son bilan un prêt hypothécaire comme un mortgage loan, la banque doit maintenir du capital égale à 8%x50% ou 4% de risk weighted assets si le prêt est de catégorie 2 est de 8% x 100% ou 8% de regulatory capital si c’edt catégorie 2. . Mais si le prêt est titrise ou securitized et transformé en Mortgage -backed securities ou MBS en utilisant la plateforme de Fannie Mae ou Freddie Mac le risk weight est de 20% seulement et même ça peut tomber à zéro pour cent si c’est garanti par Ginnie Mae. Si c’est une titrisation privée hors Fannie ou Freddie, le risk weight pouvait tomber jusqu’a 7%. Donc les banques procédaient à un arbitrage réglementaire pour éviter le capital réglementaire supplémentaire requis. Mais tous ces subterfuges ont été éliminés après la crise. De nos jours meme si une banque titrise ses prêts et les transferts dans un véhicule comme un SPV ou special purpose vehicle, Elle doit maintenir du capital réglementaire comme si les prêts n’avaKent pas quitte son bilan. Pourquoi? Eh bien parce que le FASB ou Financial Standard Accounting Board, l’équivalent de IASB sur le plan international a émis des normes comptables comme FAs 167 and FAS 168 qui rendent ces subterfuges extrêmement difficiles. De plus les nouvelles normes comptables sur les VIEs ou Veriable Interest Entities exigent que ces structures financières rentrent dans le périmètre de consolidation des @prinary beneficial owners », et du coup élément leur de consolidation. Je dis tout ça juste pour t’explIquer les nouveaux changements comptables, financiers et réglementaires post-crisis.
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    Auteur

    En Mars, 2019 (13:07 PM)
    Je voulais apporter quelques clarifications sur ce que je viens de mettre ci dessus sur le capital réglementaire requis pour les prêts hypothécaires de catégories 1 et 2.



    Pour les prêts immobiliers de catégorie 1, le risk-Ségur ou la pondération est de 50% alors que pour les prêts immobiliers de catégorie 2, la pondération est de 100%. Piur les prêts dits High volatility Commercial Real Estate loans ou HVCRE, la pondération est de 150%. Donc avec un capital total de 8% établi depuis Le dispositif de Bâle 2 et maintenu sous Bâle II et Bâle III, si une banque a des prêts catégorie 1 d’un montant de, disons 100 millions de dollars, le capital requis se calcule comme suit:

    100 millions x 8% x 50% = 4 millions de capital réglementaire exigé. Donc si la banque fait 100 millions de dollars de prêts, la réglementation en vigueur exige qu’elle mette de côté 4 millions de dollars. Si les prêts sont de catégorie 2, levrisk wehjt passe à 100% au lieu de 50%, donc le capital réglementaire exige passé de 4 millions à 8 millions. C’est pour vous dire que plus il y a des risques plus le capital exige est élevé. C’est ce qu’on appelle « risk-based capital » régulation.
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    Auteur

    En Mars, 2019 (13:54 PM)
    Nous nous sommes eloignes de la'rticle en question, a savoir le fait que UBA ait decide de s'implante au Royaume Uni au moment ou la situation economique risqué de s'empirer dans ce pays a cause d'un Breit sans accord. A cet egard, je viens de lire un article du quotidian britanniqueThe Guardian, que j'ai pu faire traduire en francais par Google. En voice quelques extraits de l'article en question qui monrent que les choses se corsent chez les anglais:

    Les détaillants britanniques ont souffert des ventes les plus faibles le mois dernier, car l'incertitude croissante sur le départ du Royaume-Uni de l'UE a conduit les consommateurs à se méfier davantage de faire des achats plus importants avant le Brexit.

    Dans les dernières preuves que l'élan dans l'économie s'est estompe, au cours des dernieres semaines que la Grande-Bretagne est prévue de quitter formellement l'UE, le British Retail Consortium (BRC) et la firme de comptabilité KPMG ont déclaré que la croissance totale des ventes a chuté à 0,5% dans l'année en février, en baisse de 1,6% en glissement annuel.

    À l'exclusion des achats de denrées alimentaires, les ventes ont chuté de 0,4% au cours des trois mois jusqu'en février, ce qui est pire que la moyenne au cours de la dernière année, tandis que la croissance

    Les dernières preuves d'un ralentissement des dépenses de consommation suivent une reprise inattendue en janvier, lorsque les chiffres officiels suggèrent que l'actualisation abrupte avait contribué à encourager les acheteurs à acheter plus de volumes de marchandises après l'un des pires achats de Noël depuis une période de dix ans.

    Esme Harwood, le directeur de Barclaycard, a déclaré: «les dépenses discrétionnaires ont connu un déclin considérable – les dépenses des détaillants continuent de baisser, et même les hôtels, les pubs et les restaurants ressentent l'impact des compressions.»

    La moitié des adultes s'inquiétaient du fait que le Brexit endommagerait l'économie britannique, que leurs finances personnelles souffriraient et conduirait à des coûts plus élevés des articles quotidiens. Près d'un cinquième ont dit qu'ils stockaient des produits alimentaires essentiels pour se protéger contre les pénuries potentielles dans un avenir proche.

    Helen Dickinson, chef de la direction de la BRC, a déclaré: «les consommateurs étant de plus en plus conscients du risque d'un Brexit sans accord, il est probable que l'incertitude a entraîné cette approche prudente des dépenses de détail.

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    Auteur

    En Mars, 2019 (17:31 PM)
    Bon bougouma mou nekk discussion de sourds.

    Merci pour tes éclaircissements...

    Sinon ahmadou ba il va falloir le mettre en prison car il est en train de TUER notre économie à cause de ses Eurobonds et de ses commissions de rétrocessions ..

    Derrieres tous ces emprunts contractés par l etat du senegal ce mec là se gave comme un PORC ...

    Ahmadou bah en prison
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    Auteur

    En Mars, 2019 (20:27 PM)
    Vous voulez parler de rétrocommissions ?
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    Auteur

    En Mars, 2019 (20:57 PM)
    Rétrocession aussi existe. Ça vient du verbe rétrocéder. Par example quand un holding company like a Parent fait une levée de fonds,il peut les rétrocéder à sa filiale dans une transaction dite « downstreamed to its subsidiary” company.
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    Auteur

    En Mars, 2019 (12:23 PM)
    Et puis Amadou Ba, l’empruneut en chef de ce gouvernement, le fait tout le temps. Il emprunte des milliards de dollars et d’euros sur le dos des sénégalais, et une partie de l’argent emprunté est rétrocédée à la Poste et à l’IPRES pour éponger leurs déficits. Si vous lisez la 5ème et 6eme revue du FMI sur le PSE, vous y verrez noir sur blanc ce dont je parle.
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