Je suis attristé par l’épisode ou la vidéo virale relative à la pouponnière de la présumée ndella madior… c’est vraiment un choc de voir un ange ou des anges dans cette situation dégradante et abandonnés à eux mêmes.
Pourtant quand j’ai vu récemment les belles images très inspirantes et stimulantes de la pouponnière , moi même et je sais que je suis pas le seul , j’ai écrit pour encourager l’initiative.
Selon moi l’idée est simple, Ndella a mis en place cette agence matrimoniale pour récupérer les enfants en état de délaissement parental.
Quelle belle idée, qui du coup allait constituer une stratégie pour décourager les «infanticides». Ah oui les prisons sont bondés de pauvres ou malheureuses mamans criminelles ou passibles d'infanticides (désolé à la gente féminine pour le ton).
Je dois dire que je devais pas m’arrêter à ce constat, il fallait recommander au département en charge de la famille à accompagner ces initiatives à travers les outils institutionnels de prise en charge tels que les services du développement communautaire.
En tant que travailleur social ou bien acteur de la société civile ayant intervenu à l’intérieur du Sénégal dans un projet de prise en charge de la petite enfance, le mal être m’a envahi.
Pourtant l'Etat du Sénégal abrite énormément d’organisations ou d’organismes associatifs ,nationaux , sous régionaux ou internationaux de prise en charge de la petite enfance.
D’ailleurs la gestion des structures similaires aux pouponnières , garderie d’enfants, crèches ou parc de jeux pour enfants, est transversale entre le ministère de l’éducation, de la famille et probablement du développement communautaire.
On a pourtant connu des prémices annonciatrices ou prémonitoires de dysfonctionnements dans des structures pareilles : Décès d’un bébé de 9 mois : La polémique crèche à la «Cigogne bleue », l’accident tragique d’un enfant au magic land, le cas du bébé mort à Abass Ndao dans une machine à laver récemment…
Dans toutes ces situations, il y’a la responsabilité de l'Etat qui est garant du bon fonctionnement de ces établissements qui accueillent du public.
L'Etat a l’obligation à travers ses services centraux compétents à contrôler en amont le processus de délivrance des agréments et en aval le contrôle du fonctionnement correct de ces structures. La main courante administrative de ces structures permet de constater le fonctionnement correct de ces services.
Il y’a aussi des enquêtes sur l’état psychologique , psychique et mental des responsables ou initiateurs.
Parfois il y’a des vices derrière la tête des initiateurs , des malades psychopathes, pyromanes, pédophyles, détraqués mentaux. Pour le cas de la pouponnière de Mbour, si les faits sont consécutifs à de la négligence suspecte, l'Etat doit sévir conformément à la réglementation.
En même temps les conséquences de responsabilité administrative doivent être tirées si les services centraux habilités au contrôle ont failli.
Je ne suis pas d’accord sur la causalité qui a été établie sur l’appartenance avec un candidat à l’élection présidentielle. J’invite solennellement le ou les candidats cités à apporter un démenti et que justice soit apportée et rétablie. C’est très léger, vicieux et subversif comme élément de langage et suspect .
Je ne sais pas ce que l’enquête va révéler, mais au Sénégal il y’a une responsabilité des médias à vendre des contre valeurs ou des vendeurs d’illusions. Les malades foisonnent dans les plateformes sociales médiatiques.
Dans toutes les sociétés les établissements d’accueil de la petite enfance sont organisés, le Sénégal a une très longue tradition de gestion publique et privée de ces organisations et ne déroge pas à la règle .
Que justice soit rendue!
Banda DIOP
Citoyen sénégalais
-@followers
@à la une
Pourtant quand j’ai vu récemment les belles images très inspirantes et stimulantes de la pouponnière , moi même et je sais que je suis pas le seul , j’ai écrit pour encourager l’initiative.
Selon moi l’idée est simple, Ndella a mis en place cette agence matrimoniale pour récupérer les enfants en état de délaissement parental.
Quelle belle idée, qui du coup allait constituer une stratégie pour décourager les «infanticides». Ah oui les prisons sont bondés de pauvres ou malheureuses mamans criminelles ou passibles d'infanticides (désolé à la gente féminine pour le ton).
Je dois dire que je devais pas m’arrêter à ce constat, il fallait recommander au département en charge de la famille à accompagner ces initiatives à travers les outils institutionnels de prise en charge tels que les services du développement communautaire.
En tant que travailleur social ou bien acteur de la société civile ayant intervenu à l’intérieur du Sénégal dans un projet de prise en charge de la petite enfance, le mal être m’a envahi.
Pourtant l'Etat du Sénégal abrite énormément d’organisations ou d’organismes associatifs ,nationaux , sous régionaux ou internationaux de prise en charge de la petite enfance.
D’ailleurs la gestion des structures similaires aux pouponnières , garderie d’enfants, crèches ou parc de jeux pour enfants, est transversale entre le ministère de l’éducation, de la famille et probablement du développement communautaire.
On a pourtant connu des prémices annonciatrices ou prémonitoires de dysfonctionnements dans des structures pareilles : Décès d’un bébé de 9 mois : La polémique crèche à la «Cigogne bleue », l’accident tragique d’un enfant au magic land, le cas du bébé mort à Abass Ndao dans une machine à laver récemment…
Dans toutes ces situations, il y’a la responsabilité de l'Etat qui est garant du bon fonctionnement de ces établissements qui accueillent du public.
L'Etat a l’obligation à travers ses services centraux compétents à contrôler en amont le processus de délivrance des agréments et en aval le contrôle du fonctionnement correct de ces structures. La main courante administrative de ces structures permet de constater le fonctionnement correct de ces services.
Il y’a aussi des enquêtes sur l’état psychologique , psychique et mental des responsables ou initiateurs.
Parfois il y’a des vices derrière la tête des initiateurs , des malades psychopathes, pyromanes, pédophyles, détraqués mentaux. Pour le cas de la pouponnière de Mbour, si les faits sont consécutifs à de la négligence suspecte, l'Etat doit sévir conformément à la réglementation.
En même temps les conséquences de responsabilité administrative doivent être tirées si les services centraux habilités au contrôle ont failli.
Je ne suis pas d’accord sur la causalité qui a été établie sur l’appartenance avec un candidat à l’élection présidentielle. J’invite solennellement le ou les candidats cités à apporter un démenti et que justice soit apportée et rétablie. C’est très léger, vicieux et subversif comme élément de langage et suspect .
Je ne sais pas ce que l’enquête va révéler, mais au Sénégal il y’a une responsabilité des médias à vendre des contre valeurs ou des vendeurs d’illusions. Les malades foisonnent dans les plateformes sociales médiatiques.
Dans toutes les sociétés les établissements d’accueil de la petite enfance sont organisés, le Sénégal a une très longue tradition de gestion publique et privée de ces organisations et ne déroge pas à la règle .
Que justice soit rendue!
Banda DIOP
Citoyen sénégalais
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5 Commentaires
Il y a de cela qielques années, sur un plateau de télé, elle disait des choses indignes d une personne responsable, jusqu a faire réagir sa propre fille qui s était finalement vontentée d un "yallah na yallah yokk sutura".
Je ne suis d aucun bord politique,ni aucune affaire personnelle ou autre intention de nuire,mais je suis plus que dégouttée des actes et comportements de certains compatriotes qui, malheureusement, envoient un trés mauvais exemple a nos filles et garçons.
Les jeunes d aujourd hui sont les responsables de delain, ils nous incombent donc,surtout nous les adultes a bien éduqué, donné de bons exemples a nos progénitures.
Wassalam
Pathé
En Décembre, 2023 (20:29 PM)un ancien de plan international
Ousmanous
En Décembre, 2023 (22:18 PM)Aaa
En Décembre, 2023 (00:31 AM)Reply_author
En Décembre, 2023 (04:13 AM)Cette affaire est l'occasion pour l'Etat de créer un cadre légal pour toutes les ouvertures d'établissement quelque soit le domaine d'activité. Pour le social et l'éducation précisément, les pouponnières et les daaras, il faut demander une autorisation... Un contrôle périodique et inopiné peut être effectué par des services de l'État.
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