Il nous a trompés, il nous a roulés dans la farine et n'est pas gêné le moins du monde de nous montrer, chaque jour qui passe, qu'elle est sa vraie nature. Dans ce pays qui est au bord du précipice physique comme moral, la langue de bois ne doit plus être de mise. L'homme que nous avons élu le 25 mars 2012 est pire que tout. Après six ans et demi de gouvernance, il a pris goût au pouvoir et s'y accroche de toutes ses forces Il ne reculera devant aucune vilenie pour se faire réélire par tous les moyens, y compris par les plus illégaux. Cette réélection est pour lui et pour son clan une question de vie ou de mort. Sa nauséabonde gouvernance a tellement accumulé de scandales qu'il craint comme la peste d'être battu. Car, il sait que, dans ce cas, ce sera la pire des catastrophes pour lui et les siens. Son vieux prédécesseur a sur lui l'avantage de l'âge: le Sénégal se mettrait toute la communauté internationale sur le dos, s'il embastillait un vieillard de 90 ans. Lui, le président politicien est relativement jeune.
En cas de défaite, il sait ce qui l'attend, lui, sa famille, ses amis responsables APR, et nombre de membres de sa très soumise coalition. Il mettra donc tout en œuvre pour éviter cette lugubre perspective. Il a commencé d'ailleurs à mettre en place les stratégies les plus tordues pour être réélu dès le premier tour. Il compte déjà sur trois chevaux boiteux pour réaliser ces vilaines stratégies : le parrainage, la pauvreté et l'analphabétisme pour près de 50% de nos populations. Avec le parrainage, il va faire invalider – si on le laisse faire évidement – toutes les candidatures qui sont susceptibles de constituer des rivaux sérieux capables de lui compliquer la tâche. Pour cela, il peut compter sur un Conseil constitutionnel dont la majorité de nos concitoyennes et de nos concitoyens considèrent que ses membres lui sont soumis. Et tout indique qu'ils ont raison, si considère certains antécédents. Le président-politicien compte sur d'autres magistrats impliqués, par leurs fonctions, dans le processus électoral.
Outre ce mur pratiquement infranchissable pour les candidats qui peuvent le gêner, il enfourchera le second cheval : la pauvreté de nos populations, du moins de nombre d'entre elles. C'est devenu un secret de polichinelle qu'il est assis sur un énorme trésor de guerre alimenté, pour l'essentiel, par nos pauvres deniers. Il est pratiquement sûr que c'est avec l'argent qu'il va se faire plus facilement réélire. Comme son vieux prédécesseur et sosie, il croit que nous avons tous un prix. C'est quand même ce vieux prédécesseur qui l'a allaité pendant huit mois avant de le sevrer. Le successeur et ''fils'' a bien retenu la leçon et emprunté la même voie. Depuis plusieurs mois, il fait montre d'une ''générosité'' déferlante et débordante. Au vu et au su de tout le monde, il reçoit des délégations au palais de la République et distribue des millions de francs à tout va. Ses ministres et autres directeurs généraux et directeurs lui prêtent main forte tous les vendredis, quand ils "descendent sur le terrain", conformément à ses instructions. Son épouse n'est pas en reste : elle étonne, elle aussi, par sa "générosité" sans borne.
Le président-politicien exploite aussi sans état la pauvreté de nos populations par ses bourses dites familiales qui sont une véritable escroquerie politique. Le montant de cette bourse est de 25000 francs CFA que reçoivent, tous les trois mois, des chefs de familles triés sur le volet. En d'autres termes, en un an, nos "privilégiés", à la tête d'une famille qui peut compter jusqu'à 20 à 30 membres, perçoivent 100000 francs CFA. Cent mille francs tous les ans, distribués à la tête du client ! Et on les menace de perdre ce "privilège" s'ils ne votent pas le moment venu pour le "généreux" président-politicien car, s'il n'était pas réélu, les nouveaux gouvernants supprimeraient la bourse familiale dès les premiers mois de leur gouvernance. Il faut insister surtout sur l'escroquerie politique que constitue cette fameuse bourse de sécurité familiale. Rappelons que le montant est de 25000 francs par trimestre, 25000 francs de nos impôts, de notre sueur ! Pendant ce temps, le ministre du président-politicien reçoit pour seule indemnité représentative de logement, un million de francs CFA par mois, sans compter son salaire dont le montant est de trois millions de francs. Je ne m'attarde pas sur les véhicules rutilants, le carburant qui coule à flots, et les autres nombreux avantages invisibles.
Je ne passerai pas sur les trois ministres d'État qui tournent les pouces auprès du président-politicien. Outre leur indemnité de logement d'un million, ils perçoivent un salaire mensuel de quatre millions de francs et nous coûtent ainsi annuellement 240.000.000 de francs (eux trois). Presque pour rien. Pour rien d'ailleurs, sinon pour mobiliser les militants.
Combien de ministres sont-ils nommés par le président-politicien ? Combien de ministres conseillers ? Combien de conseillers spéciaux ? Combien de chargés de mission ? Combien d'ambassadeurs dits itinérants qui ne sortent pratiquement jamais du pays ? Lui-même, qui nomme, ne le sait pas. Combien sont-elles, les agences nationales dont les directeurs généraux parfois venus de nulle part, perçoivent des salaires mensuels de cinq à six millions, sans compter des budgets substantiels qui ne sont sûrement gérés de façon vertueuse ? Dans ces conditions-là, est-il seulement décent de nous tympaniser avec cette maigre bourse dite familiale ? C'est de la pure escroquerie politique.
Notre président-politicien exploite aussi à fond l'analphabétisme de nos populations, en les manipulant et en frappant leur imagination à longueur d'années, en particulier lors de ses interminables inaugurations d'infrastructures. De ces infrastructures coûteuses et pratiquement sans impacts positifs significatifs sur la majorité des populations. Si on commençait par l'autoroute ‘Ila Touba'', qui va nous coûter 416 milliards de francs CFA ! Elle relie Thiès et Touba, distantes de seulement 112 km, à travers un terrain sablonneux et avec comme seuls obstacles quelques rares arbres. Quand elle sera terminée, elle sera sûrement exploitée à leurs seuls profits par les Marocains, les Turcs, les Français, les Chinois, etc.
Si les populations de la ville de Touba avaient à donner leur avis, elles n'auraient sûrement pas choisi cette autoroute-là. Différentes télévisions nous ont présenté Touba, lors des pluies diluviennes de ces cinq ou six derniers jours. Pratiquement, toutes les maisons, les commerces, les stations d'essence, etc., étaient envahis par les eaux de pluie mélangées aux eaux usées nauséabondes. Beaucoup de gens sont sortis de leurs maisons ? Pourtant, combien de milliards le politicien sénior et le politicien Jr ont-ils déclaré avoir investis dans l'assainissement de la ville ? Où sont-ils passés, ces milliards-là ? L'assainissement est un véritable problème pour Touba, une véritable priorité. Une autoroute, même de dernière génération – la trouvaille de nos politiciens – n'était sûrement pas la préoccupation des populations. A la place, elles préfèreraient de loin l'assainissement de leur ville. Elles opteraient probablement pour l'eau potable qui leur fait terriblement défaut. Une ville comme Touba avec, dit-on, deux à trois millions d'habitants sans eau potable alors que, à quelques encablures, à Touba Bogo exactement, git une abondante nappe phréatique d'eau douce. Elles choisiraient aussi sans hésitation la réhabilitation, l'équipement des infrastructures sanitaires, et leur dotation en médicaments et en personnels qualifiés et en nombre suffisant. L'hôpital de Matlaboul Fawzéni serait alors prioritaire.
Comme ‘'Ila Touba'', le président-politicien a opté pour un autre investissement de prestige, un investissement lourd. Il s'agit de ce fameux Train Express régional (TER) régional qui va nous coûter les yeux de la tête : plus 1000 milliards francs CFA pour relier l'Aéroport international de Diamniadio à Dakar, sur 54 km. Un TER dit de dernière génération alors que, pour tout patrimoine en matière de chemin de fer, nous n'avons que le branlant ‘'petit train bleu''. Ces deux infrastructures, ‘'Ila Touba'' et le TER, sans doute fortement surfacturées, ne nous coûteront pas moins de 1500 milliards de francs CFA, qui auraient pu être orientés plus utilement ailleurs.
Le président-politicien a malheureusement d'autres préoccupations, à ses yeux de loin prioritaires : terminer les deux infrastructures et d'autres, pour les inaugurer en janvier 2019. Le président-politicien va mobiliser alors toute la République. Il saisira l'opportunité pour manipuler comme il sait le faire en pareilles circonstances. Il va, en particulier, frapper fortement l'imagination des populations les moins averties avec son TER et l'Autoroute ‘'Ila Touba'' flambant neuf. On imagine parfaitement l'ampleur que prendront ces deux cérémonies et l'impact qu'elles pourront avoir sur des populations analphabètes et même sur d'autres, qui ne s'attarderont pas sur les coûts exorbitants, les probables fortes surfacturations de ces deux infrastructures. Celles-ci ne nous coûteront pas, nous l'avons déjà indiqué, moins de 1500 milliards de francs CFA, qui auraient pu servir bien plus utilement à relier Dakar et Ziguinchor par voie de train et/ou réhabiliter les chemins de fer Dakar-Thiès, Thiès-Saint-Louis, Thiès-Kaolack, Kaolack-Guinguinéo, Louga-Linguère, etc. Une gare pourrait être construite alors à Diamniadio d'où partirait un embranchement de 34 kilomètres, qui rejoindrait l'Aéroport international Blaise Diagne. On se passerait ainsi de ce coûteux TER, au profit de la renaissance d'activités économiques tout au long des voies nouvelles ou réhabilitées. Tout au long de ces voies ferroviaires aujourd'hui mortes, les gares grouillaient de monde au moment du passage des trains, qui étaient l'occasion de déploiements d'activités économiques importantes. Nous aurions préféré ce choix lucide à quelque infrastructure de dernière génération que ce soit. Selon un proverbe wolof bien de chez nous, "ku sa ab sèr jottul, doo boot ay gamb". Traduit en français, ce proverbe donne : "Quand on ne dispose pas du minimum, on ne doit pas avoir l'outrecuidance de prétendre au maximum."
Nous devons donc rester vigilants devant les infrastructures du président politicien. Une gouvernance ne se réduit pas à construire des infrastructures. Une gouvernance, c'est aussi des valeurs, des principes. Et c'est lui-même qui faisait pareille déclaration lors de la campagne électorale de févier-mars 2012. Elu, il la jette par-dessus bord avec tous les autres engagements qu'il avait pris et toutes les promesses qu'il avait faites. Tout le monde se les rappelle et point n'est d'y insister. Le candidat devenu malheureusement Président de la république est tout autre : nos valeurs cardinales ne retiennent plus son attention. Il n'y croit même plus finalement. C'est du moins l'impression qu'il donne. En particulier, la parole donnée n'a plus pour lui aucune espèce d'importance. En tout cas, sa parole à lui ne vaut plus un copeck. Une expression est de plus en plus employée d'ailleurs chez nous : "Waxi Macky Sall, du ma ci dòor sa ma doom." En d'autres termes, dans les maisons, dans les bureaux, lors des manifestations, partout dans le pays, personne n'accorde plus aucune espèce d'importance à sa parole. Pas seulement d'ailleurs ! C'est sa propre personne qui est contestée maintenant. Il ne bénéficie plus du respect du à un Président de la République car, il ne se comporte plus comme tel, s'il s'est jamais comporté comme tel d'ailleurs. Il est tout le contraire de la sobriété, de la transparence, de la vertu. Il a désacralisé la fonction présidentielle comme d'autres fonctions importantes. Il a transformé le palais de la République en siège de son parti et de sa coalition. Des gens venus de nulle part y entrent et en sortent à longueur de journée. Parfois, il devient carrément une arène lutte où des gens se battent rageusement pour se partager l'argent qu'il leur a donné à l'issue de leur audience.
Il est devenu comme un roi, un buur qui fait ce que bon lui semble. Il est particulièrement friand de louanges et est bien servi par la meute de griots et de minables courtisans qui l'accompagnent dans toutes les cérémonies, principalement lors des très folkloriques inaugurations d'infrastructures. Non content des tombereaux de louanges que ses griots déversent sur sa personne, il leur permet même de couvrir publiquement l'opposition d'injures. Demain, ils l'insulteront avec sa distinguée épouse et couvriront de louanges ses opposants qu'ils insultent aujourd'hui. C'est cela le Sénégal qu'il nous a construit pendant plus de six ans et demi.
Je ne terminerai pas, sans évoquer l'esquisse de quelques pas de danse, plus précisément sa danse lors de l'inauguration de l'Aréna, curieusement applaudi par les présidents d'institutions, les ministres, les députés et, pratiquement, par toute la République. Ses minables courtisans, prenant le devant des critiques qui n'allaient pas manquer, se sont mis rapidement à le défendre, avec l'argument peu convaincant que le Président Nelson Mandela dansait, que le Président Cyril Ramaphosa lui aussi danse. Les pauvres ne savent pas que nous sommes au Sénégal, pas en Afrique australe où la danse des chefs fait partie de la tradition. Au Sénégal, le chef, le buur, le kilifa ne dansent pas. Fii ci Senegaal, kilifa du fi fecc. Xel nangu wu ko fi. Jekkul, rafetul.
On m'a raconté qu'un Damel du Kayor dont je ne me souviens plus du nom, aurait été destitué pour avoir seulement esquissé publiquement quelques pas de danse. Notre président-politicien, grisé par le pouvoir et préoccupé au plus haut point par sa réélection, ne sait plus faire la distinction entre la décence et l'indécence, le licite et l'illicite, lu xel nangu ak lu xel nangu wul. Nguru rek a ko ñor.
Dakar, le 04 septembre 2018
34 Commentaires
Anonyme
En Septembre, 2018 (19:46 PM)DE 2 ,QUAND ON VEUX QUELQUE CHOSE ,IL FAUT ALLER JUSQU AU BOUT.MACKY A RAISON.IL NE VA PAS CEDER CE PAYS A DES LOOSERS.
DE 3,JE SUIS JEUNE ET POUR L INSTANT ON EST SATISFAIT PLUS OU MOINS.
DE 4,ON VEUX LE CALME
Anonyme
En Septembre, 2018 (19:54 PM)Anonyme
En Septembre, 2018 (20:01 PM)Anonyme
En Septembre, 2018 (20:05 PM)Anonyme
En Septembre, 2018 (20:08 PM)Anonyme
En Septembre, 2018 (20:11 PM)Anonyme
En Septembre, 2018 (20:11 PM)Anonyme
En Septembre, 2018 (20:41 PM)Vous voulez mettre mettre l'article de Soro mais il vaut faudrait pour cela avoir publié le premier. Je ne comprends pas à que jeu vous jouez, cela fait longtemps que vous ne publiez plus les articles de Mody Niang, comme par hasard vous le publier parce-qu'il y'a quelqu'un qui critique ses articles
Anonyme
En Septembre, 2018 (20:56 PM)Connard De Jules Diop
En Septembre, 2018 (20:57 PM)Connard
En Septembre, 2018 (21:02 PM)Anonyme
En Septembre, 2018 (21:12 PM)Mirko
En Septembre, 2018 (22:09 PM)Mirko
En Septembre, 2018 (22:09 PM)Jeng
En Septembre, 2018 (22:35 PM)Anonyme
En Septembre, 2018 (23:04 PM)Ridicule
En Septembre, 2018 (00:19 AM)Anonyme
En Septembre, 2018 (00:27 AM)Réponse : copinage avec Nafi Ngom.
Anonyme
En Septembre, 2018 (01:05 AM)Anonyme
En Septembre, 2018 (01:05 AM)Anonyme
En Septembre, 2018 (01:05 AM)Anonyme
En Septembre, 2018 (01:06 AM)Anonyme
En Septembre, 2018 (01:07 AM)wala da amoul legui rek motakh mou dieul sa plume
Anonyme
En Septembre, 2018 (03:30 AM)Les bourses sont dévoyées de leur objectif.
Anonyme
En Septembre, 2018 (06:48 AM)Posez la grille ethnique et vous lirez Maky facilement.
60 milliards à Maky pour une carte par personne qui ne viendra jamais. . 60 milliards investis sur des cartes pour voler les élections.Wade, avec 15 milliards, a produit 2 cartes par personnes dans le temps et dans l’espace. Maky qui avait promis 3191 milliards de FCFA avec les conseils délocalisés et 500 mille emplois aux jeunes, est volontairement incapable de nous livrer sans discrimination régionalo-ethnique des cartes d’électeur.
Le processus électoral est miné de A à Z comme dans le maquis. Comble de népotisme, de clanisme et de combinazione, c’est Aliou SAll DG de la caisse des dépôts et de consignations, frère de Maky, qui reçoit la caution des adversaires de Maky ! Pour la petite histoire Maky a taillé sur mesure le poste pour son frère de sang à la veille de sa nomination, en arrachant à l’ARMP, un droit de regard sur ce qui se passe à la CDC. Maky manipule la Constitution pour empêcher à Wade de se présenter à une élection présidentielle, avec un âge max pour les candidats. Maky invente le parrainage citoyen universel, avec 53.457 signatures au minimum, pour éliminer des adversaires qu’il n’ose pas affronter démocratiquement. Macky parraine des candidats fantoches aux différentes élections. Maky choisit et élimine les candidats de son choix à toutes les élections en manipulant la mackystrature ; demandez à Karim et Khalifa. Le parrainage permet à Maky de faire le tri de ses adversaires qui réussiront à passer après le tamis de la justice. Maky choisit les électeurs en sabotant l’inscription, la fabrication des cartes, leur distribution, la fabrication des bulletins, leur acheminement, l’organisation du vote, la proclamation des résultats. Seuls Maky et les 40 voleurs du suffrages du peuple détiennent le fichier électoral. Lors des législatives de juillet 2017, Maky a délibérément saboté les élections à Dakar, Touba, en milieu wolof, mouride et dans les zones non favorables. Aucun problème dans les régions toucouleur ou de sa belle-famille du Sine. Des mauritaniens de son ethnie franchissent le fleuve pour s’inscrire en masse sur les listes électorales. Farba ngom dit que le Fouta est le titre foncier de Macky. Maky avait 5 ans pour préparer les législatives de 2017. Il organise la fraude industrielle en confisquant la voix du peuple comme avec son wakh wakhééte sur un mandat de 5 ans. Les 6.210.000 électeurs votent ou pas comme Maky le veut. Les 90.000 électeurs de 200 bureaux de vote à Touba n’ont pas voté parce que Maky n’en voulait pas. Le vote a démarré à 18 heures à Touba, telle fut la volonté de Maky.1.021.502 électeurs n’ont pas vu la couleur de leur carte. 1 million 500 sénégalais, des sans-papiers, n’ont pas voté par sabotage organisé car Macky qui avait voté par force sans pièces à Fatick en 2007 l’a voulu ainsi. Relisez Althusser. Maky a confié l’appareil répressif de l’Etat à Abdoulaye Daouda Diallo, l’appareil idéologique confié à Yaya Abdoul Kane ministre des télécoms, chargé en plus du centre national d’Etat civil qui manipule les données démographiques avec fichage de tous les sénégalais dès la naissance, Chérif Diallo Directeur des TIC, Elhadji Ndiaye 2S TV PCA de la société sénégalaise de télédiffusion, Racine Talla à la RTS, ARTP avec le DG Abdou Karim Sall et le PCA Abou Abel Thiam, l’opérateur de téléphone Hayo couvrant le Fouta, Tigo à Yérim sow qui avait mis l’hôtel Radisson à la disposition de Maky pendant la présidentielle de 2012, comme Alassane Ouattara avec l’hôtel Ivoire d’Abidjan, pour lui servir d’Etat-major de guerre au cas où Wade refuserait de céder le pouvoir. La RTS, Youssou Ndour le ministre bodio bodio, en conflit d’intérêt avec son Groupe Falaat Maky, 2 S TV, le Quotidien, Libération, etc., font le reste du travail de propagande digne de la radio des mille collines du Rwanda. L’appareil économique étatique est sous la botte de son ethnie. Tout le Ministère de l’Economie dirigé par Amadou BA, est au service de son ethnie. Pour acheter les consciences, Maky invente soudainement en vue de la présidentielle de 2019, la délégation à l’entreprenariat rapide(DER) avec un budget officiel de 30 milliards de FCFA par an. La corruption de masse est en marche, arrachant ainsi toute dignité à l’électeur. L’OFNAC est une grosse arnaque, et ce n’est pas l’IGE Nafi Ngom Keita qui avait osé convoquer Aliou Sall le frère de Maky qui dira le contraire.
Case Rebeuss, il n’y a que les wolofs qui y séjournent dont les candidats sérieux que sont Karim Wade et Khalifa, victimes de méthodes et procès dignes du nazisme et du stalinisme. Mamadou Dia avait même, selon RFI, tenté un coup d’Etat depuis Dakar contre Sekou Touré dans les années soixante pour soutenir ses parents peul fouta de la Guinée. Senghor couplé à Mamadou Dia et Diouf avec son dauphin Tanor, ont initié cette coalition ethnique depuis 1960. Maky la perpétue avec le PM Dione. Cissé Lo avait déjà théorisé la coalition toucouleur et sérére. 517.770 bénéficiaires des bourses familiales politico-ethniques qui ne travaillent pas ont reçu 258.885.000.000 F CFA à raison 100.000 FCFA par ménage et par trimestre de 2013 à 2018. Une milice d’ASP politico-ethnique cooptée sans concours au nez et à la barbe de la police nationale et de la gendarmerie. En plus de la toucoulorisation à outrance de la république par des nominations, Maky veut changer la donne démographique du Sénégal en inscrivant en masse les peuls Fouta de la Guinée sur les listes électorales. Maky veut brûler ce pays où la coexistence des peuples et religions était incontestable. La mackystrature récite une dictée sous contrôle de Maky. Attention Maky est dangereux !
Chers compatriotes, réveillez-vous !
Les sénégalais ont tranquillement vaqué à leurs occupations le lendemain des défaites de Diouf et de Wade, pour le pouvoir, rien que pour le pouvoir, pour tout le pouvoir. Le PSE ce sont les Petrotimbo faye gaz Sall émergents. Maky fait tout pour immerger le Sénégal dans un océan de larmes, de feu, de sang, de cimetières.
Attention danger, l’ethnicisme émerge !
Anonyme
En Septembre, 2018 (06:53 AM)Réveillez-vous sénégalais !coup d’état politique, coup d’Etat électoral permanent !sabotage organisé des élections, Karim comme khalifa traqués pour des raisons politiques et ethniques, avez-vous vu maky traquer un poular ou un membre de l’Alliance des poulars de la Ripoublique APR? Nafi OFNAC virée pour avoir osé convoquer Aliou sall. Aliou Sall DG de la CDC, Maky arrache à l’ARMP un droit de regard sur ce que fait son frère qui gère des milliards exempts de contrôle. Pour maky, il faut éliminer avant la présidentielle les candidats wolofs sérieux en oubliant la leçon de Moïse dégageant le pharaon. Le verdict de Maky est dans la poche du juge. Tout le reste c’est théâtre et mackillage juridique de sa Mackystrature destinés à la consommation des moutons, à l’explosion de l’audimat des medias manipulés et aux frais d’honoraires des avocats. Maky délivre aux organismes de contrôle comme l’IGE, la Cour des comptes, ARMP, OFNAC des ordres de mission ciblée vers ses adversaires, reçoit les rapports, fait le tri, met le coude sur les dossiers de son clan, sélectionne et dicte la conduite à la justice qui organise un simulacre de procès.
La mackystrature ne rend pas la justice, elle rend service à Macky
Hé Maky qui a construit Arène nationale et Dakar Aréna !
Hé Macky, si t’es garçon , ose affronter Karim et Khalifa !
Karim , deuxième après les lègislatives truquées, wolof , maky l’exclut
Khalifa, troisième après des législatives truquées , wolof maky l’exclut
Attention danger avec l’ethnicisme émergent
Anonyme
En Septembre, 2018 (06:58 AM)Eé »’&é »Sabotage organisé des élections ou décryptage du maquis
Posez la grille ethnique et vous lirez Maky facilement.
60 milliards à Maky pour une carte par personne qui ne viendra jamais. . 60 milliards investis sur des cartes pour voler les élections.Wade, avec 15 milliards, a produit 2 cartes par personnes dans le temps et dans l’espace. Maky qui avait promis 3191 milliards de FCFA avec les conseils délocalisés et 500 mille emplois aux jeunes, est volontairement incapable de nous livrer sans discrimination régionalo-ethnique des cartes d’électeur.
Le processus électoral est miné de A à Z comme dans le maquis. Comble de népotisme, de clanisme et de combinazione, c’est Aliou SAll DG de la caisse des dépôts et de consignations, frère de Maky, qui reçoit la caution des adversaires de Maky ! Pour la petite histoire Maky a taillé sur mesure le poste pour son frère de sang à la veille de sa nomination, en arrachant à l’ARMP, un droit de regard sur ce qui se passe à la CDC. Maky manipule la Constitution pour empêcher à Wade de se présenter à une élection présidentielle, avec un âge max pour les candidats. Maky invente le parrainage citoyen universel, avec 53.457 signatures au minimum, pour éliminer des adversaires qu’il n’ose pas affronter démocratiquement. Macky parraine des candidats fantoches aux différentes élections. Maky choisit et élimine les candidats de son choix à toutes les élections en manipulant la mackystrature ; demandez à Karim et Khalifa. Le parrainage permet à Maky de faire le tri de ses adversaires qui réussiront à passer après le tamis de la justice. Maky choisit les électeurs en sabotant l’inscription, la fabrication des cartes, leur distribution, la fabrication des bulletins, leur acheminement, l’organisation du vote, la proclamation des résultats. Seuls Maky et les 40 voleurs du suffrages du peuple détiennent le fichier électoral. Lors des législatives de juillet 2017, Maky a délibérément saboté les élections à Dakar, Touba, en milieu wolof, mouride et dans les zones non favorables. Aucun problème dans les régions toucouleur ou de sa belle-famille du Sine. Des mauritaniens de son ethnie franchissent le fleuve pour s’inscrire en masse sur les listes électorales. Farba ngom dit que le Fouta est le titre foncier de Macky. Maky avait 5 ans pour préparer les législatives de 2017. Il organise la fraude industrielle en confisquant la voix du peuple comme avec son wakh wakhééte sur un mandat de 5 ans. Les 6.210.000 électeurs votent ou pas comme Maky le veut. Les 90.000 électeurs de 200 bureaux de vote à Touba n’ont pas voté parce que Maky n’en voulait pas. Le vote a démarré à 18 heures à Touba, telle fut la volonté de Maky.1.021.502 électeurs n’ont pas vu la couleur de leur carte. 1 million 500 sénégalais, des sans-papiers, n’ont pas voté par sabotage organisé car Macky qui avait voté par force sans pièces à Fatick en 2007 l’a voulu ainsi. Relisez Althusser. Maky a confié l’appareil répressif de l’Etat à Abdoulaye Daouda Diallo, l’appareil idéologique confié à Yaya Abdoul Kane ministre des télécoms, chargé en plus du centre national d’Etat civil qui manipule les données démographiques avec fichage de tous les sénégalais dès la naissance, Chérif Diallo Directeur des TIC, Elhadji Ndiaye 2S TV PCA de la société sénégalaise de télédiffusion, Racine Talla à la RTS, ARTP avec le DG Abdou Karim Sall et le PCA Abou Abel Thiam, l’opérateur de téléphone Hayo couvrant le Fouta, Tigo à Yérim sow qui avait mis l’hôtel Radisson à la disposition de Maky pendant la présidentielle de 2012, comme Alassane Ouattara avec l’hôtel Ivoire d’Abidjan, pour lui servir d’Etat-major de guerre au cas où Wade refuserait de céder le pouvoir. La RTS, Youssou Ndour le ministre bodio bodio, en conflit d’intérêt avec son Groupe Falaat Maky, 2 S TV, le Quotidien, Libération, etc., font le reste du travail de propagande digne de la radio des mille collines du Rwanda. L’appareil économique étatique est sous la botte de son ethnie. Tout le Ministère de l’Economie dirigé par Amadou BA, est au service de son ethnie. Pour acheter les consciences, Maky invente soudainement en vue de la présidentielle de 2019, la délégation à l’entreprenariat rapide(DER) avec un budget officiel de 30 milliards de FCFA par an. La corruption de masse est en marche, arrachant ainsi toute dignité à l’électeur. L’OFNAC est une grosse arnaque, et ce n’est pas l’IGE Nafi Ngom Keita qui avait osé convoquer Aliou Sall le frère de Maky qui dira le contraire.
Case Rebeuss, il n’y a que les wolofs qui y séjournent dont les candidats sérieux que sont Karim Wade et Khalifa, victimes de méthodes et procès dignes du nazisme et du stalinisme. Mamadou Dia avait même, selon RFI, tenté un coup d’Etat depuis Dakar contre Sekou Touré dans les années soixante pour soutenir ses parents peul fouta de la Guinée. Senghor couplé à Mamadou Dia et Diouf avec son dauphin Tanor, ont initié cette coalition ethnique depuis 1960. Maky la perpétue avec le PM Dione. Cissé Lo avait déjà théorisé la coalition toucouleur et sérére. 517.770 bénéficiaires des bourses familiales politico-ethniques qui ne travaillent pas ont reçu 258.885.000.000 F CFA à raison 100.000 FCFA par ménage et par trimestre de 2013 à 2018. Une milice d’ASP politico-ethnique cooptée sans concours au nez et à la barbe de la police nationale et de la gendarmerie. En plus de la toucoulorisation à outrance de la république par des nominations, Maky veut changer la donne démographique du Sénégal en inscrivant en masse les peuls Fouta de la Guinée sur les listes électorales. Maky veut brûler ce pays où la coexistence des peuples et religions était incontestable. La mackystrature récite une dictée sous contrôle de Maky. Attention Maky est dangereux !
Chers compatriotes, réveillez-vous !
Les sénégalais ont tranquillement vaqué à leurs occupations le lendemain des défaites de Diouf et de Wade, pour le pouvoir, rien que pour le pouvoir, pour tout le pouvoir. Le PSE ce sont les Petrotimbo faye gaz Sall émergents. Maky fait tout pour immerger le Sénégal dans un océan de larmes, de feu, de sang, de cimetières.
Attention danger, l’ethnicisme émerge !
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Anonyme
En Septembre, 2018 (08:09 AM)Anonyme
En Septembre, 2018 (11:41 AM)Voilà un vrai citoyen
merci mr Mody Niang
si ce type traître parvient à faire ces traîtrises c'est parce qu'il a aussi une partie du peuple traître qui l'accompagne
Mais tu oublie une chose un type sans dignité n'aura jamais honte. Ce type qui nous dirige est indigne il est né indigne et il le sera toujours
c'est le plus mauvais président sénégalais de tous les temps
a voir le comportement de son épouse, tu vois que ce sont de vrais badolos
Adama
En Septembre, 2018 (12:19 PM)Anonyme
En Septembre, 2018 (12:46 PM)Anonyme
En Septembre, 2018 (13:42 PM)En fait Macky Sall gouverne comme tous ses prédecesseurs : avec le fric , la transhumance ,les courtisans ......et les prochains Présidents feront pareil car en Afrique l'ethique , la morale , la bonne gouvernance , le respect des institutions n'ont jamais existé car le nègre est comme ça , indécrottable
Anonyme
En Septembre, 2018 (15:44 PM)Anonyme
En Septembre, 2018 (19:15 PM)Participer à la Discussion