Après le non respect du délai du 31 Octobre, Benno semble plus que jamais sous le risque d’implosion que ses adversaires de dedans comme du dehors attendent impatiemment.
Heureusement, Benno
regorge de suffisamment de forces lucides qui ne donneront pas ce plaisir à ces
détracteurs.
Pour cela, il est
nécessaire de lever trois obstacles qui le plombent encore pour baliser le
chemin du choix du candidat.
Ce sont :
- le critère du « parti
le plus représentatif » ;
- le traitement de
la « feuille de route » de Benno ;
- l’obsession
encore tenace de la « Présidence ».
1) Le critère du « parti le plus
représentatif »
Ce critère, agité par
des cadres du PS pour désigner le candidat de Benno, soulève trois objections
qui devraient les faire revenir à plus de circonspection.
En effet, dans les
critères de Benno du 17 Septembre, ce principe n’est annoncé ni pour constituer
l’ « équipe », ni pour le choix du « candidat ».
C’est ainsi que pour le
choix de l’ « équipe », le 5ème critère
stipule « qu’elle doit être dirigée par les principales forces de
Benno ayant un poids politique et électoral ».
De même, pour le choix
du « candidat de l’unité et du rassemblement », le 10ème
critère dispose qu’il « doit être
issu des partis et des organisations les plus représentatives de Benno, ou être
porté par les forces les plus représentatives sans exclusive ».
D’ailleurs, si pour le
choix de l’ « équipe », le « poids électoral » est
explicitement mentionné, il ne l’a été nulle part, dans les critères de choix du «
candidat ».
Pourquoi donc en faire un « casus bellis », et un prétexte
d’implosion de Benno ?
Pourtant, le PS a eu
l’intelligence de recourir aux critères
de Benno pour organiser ses « primaires » de désignation de leur
candidat à la candidature.
Mais, s’il avait eu recours au principe du «
plus représentatif » pour les organiser, il n’est pas évident que de grosses pointures de ce
Parti n’iraient pas briguer, comme en France, le suffrage des militants.
Mais le PS a évité ce
spectacle lourd de conséquences pour son unité et sa cohésion.
Des cadres de ce Parti,
acquis au principe du « parti le plus représentatif », peuvent légitimement en vouloir à leurs mandataires au Séminaire
du 17 Septembre pour n’avoir pas pu faire prévaloir ce principe dans les
critères, mais leur parti, en temps que signataire du consensus sur les critères, devrait se garder de les suivre.
Ce serait
incompréhensif de la part de ce Parti, qui a refusé
de recourir à ce principe pour
occuper le « poste de Chef de l’opposition » avec tous les honneurs
et les avantages qui lui sont liés, et qui, lors des élections locales de 2009,
ne l’a pas érigé en principe de
constitution des listes électorales de Benno.
Aujourd’hui, il ne
devrait en aucun cas le brandir pour se mettre ouvertement en porte à faux avec
le consensus.
Mais surtout, ceux qui
agitent ce principe, ne semblent pas
avoir mesuré sa portée politique.
En effet, ce faisant,
le PS aurait le contrôle sur la Présidence, l’Assemblée nationale et la
Primature!
Ce serait alors un
retour au monopole exclusif du pouvoir, que non seulement ses partenaires de
Benno ne sauraient accepter, mais, ce serait aussi, en contradiction avec les conclusions des
Assises nationales et, notamment, avec la « Charte pour la Bonne
gouvernance ».
Le PS et son Secrétaire
Général devraient donc éviter de s’enfermer dans ce piège, qui non seulement ne
les grandit pas, mais risque de les isoler politiquement, en faisant
d’eux une cible politique facile.
Le PS et ses dirigeants
avec lesquels nous avons bravé les foudres du pouvoir depuis 2000, ne méritent
pas un tel sort.
Cependant, ces
obstacles auraient pu être évités, si le
« Comité de facilitation » n’avait pas choisi d’inverser la démarche
de Benno pour la « candidature, qui est pourtant clairement transcrite dans la Déclaration du 17
Septembre qui constitue sa « feuille de route ».
2) le traitement de la feuille de
route.
A cet égard, il est
utile de rappeler la démarche de Benno, qui est reprise dans la Déclaration du
17 Septembre qui porte création du « Comité de facilitation ».
En effet, dans cette Déclaration,
il est stipulé que, « pour parvenir à ces résultats sur les
accords ainsi scellés, le Séminaire a pris la décision de mettre en place un
groupe de facilitation pour nouer les contacts,
recueillir les intentions et positions des uns et des autres, en vu d’un consensus sur l’équipe et le
candidat ».
Cette démarche n’a fait
que rappeler, que Benno a toujours
privilégié la mise en place d’une « équipe consensuelle », avant de se pencher sur la désignation du
« capitaine » qui devrait l’animer. La recherche de cette « équipe »
devrait être précédée par un consensus sur les « Institutions », et sur
les « mesures d’urgence » à mettre en œuvre dés la victoire,
en application du programme élaboré sur la base des conclusions des Assises
nationales.
C’est cette démarche de
Benno, qui lui a valu le départ de jëf jël qui voulait que l’on s’accorda
d’abord sur le principe de la candidature unique.
Ensuite, ce fut le tour de certains partis de Benno, en
alliance avec des organisations et personnalités de la société civile, de
mettre en place « Benno Alternative 2012 » pour choisir le candidat avant l’ « équipe ».
Dans ce contexte, il
est incompréhensible que le « Comité de facilitation » ait mis, lui
aussi, l’accent sur le choix du « candidat », en négligeant l’ « équipe », renversant
ainsi la démarche de Benno.
Il n’a même pas pris le
soin d’explorer les possibilités d’avoir un « candidat porté par les
forces les plus représentatives sans exclusive », comme une alternative aux difficultés rencontrées
dans le choix d’un « candidat issu
des organisations ou partis les plus représentatifs », comme le prévoit le
10ème critère pour le choix du candidat.
En agissant ainsi, il
est manifeste que le « Comité de facilitation » ait subi
inconsciemment, ou non, l’influence de « Benno alternative 2012 » en
la matière, au point de mettre, aujourd’hui, Benno dans un « cul de sac », avec de
graves risques d’implosion.
Benno était conscient
depuis longtemps, que sans une
« équipe consensuelle », il n’y aurait pas de
« candidat » par consensus.
Cette mise au point
n’est pas faite pour jeter la pierre sur le « Comité de
facilitation », composé d’hommes choisis pour leur patriotisme, leur sens
élevé de l’éthique, et leur engagement républicain et démocratique.
C’est juste un rappel,
à tous, pour calmer les esprits, afin de
sauver ce qui peut encore l’être, dans le choix des personnalités devant
incarner Benno, qui est pour l’opinion, la seule et véritable alternative au
régime de Wade.
Cependant, ce renversement
de la démarche de Benno n’aurait certainement pas été possible, si l’obsession
de la « Présidence » n’était
pas encore si tenace dans la conscience de la plus part des prétendants
déclarés à la mandature aux élections de 2012.
3) l’obsession de la Présidence de
la République.
Il est, aujourd’hui,
effarent de constater, qu’après la tenue des Assises nationales et la
publication de la « Charte pour la bonne gouvernance », que
l’engouement, pour être Président de la République, soulève encore autant de
passions.
Cela est
particulièrement vrai dans les rangs de Benno, qui a vécu le positionnement des
leaders de jëf jël , de l’APR et de FSBJ, qui ont présenté leur candidature, la
démarche de « Benno Alternative 2012 », qui est en procédure de
sélection de son candidat, et la « bipolarisation » de Benno au tour
de deux candidats à la candidature.
Cela est aussi remarqué
dans la prolifération des candidats indépendants issus de la société civile,
parmi les quels, le « Groupe des 4 », ou (G4), qui peine à tomber d’accord sur un candidat.
Pourtant, tout ce beau
monde, à des nuances près, déclare
publiquement vouloir en finir avec le
« Présidentialisme », et s’engage à appliquer les conclusions
des Assises nationales, ou s’en inspirer !
Depuis que Benno et
« Benno Alternative 2012 », ont adopté un projet de
Constitution en accord avec les Assises nationales, cette attitude est d’autant
plus surprenante de leur part, puisque la réalité du pouvoir exécutif est transférée, des mains du Président de la
République, aux mains d’un Premier Ministre, désigné par la majorité à
l’assemblée nationale, qui désormais détermine la Politique de la Nation, et choisit ses Ministres sous l’approbation de
la majorité des Députés.
Mieux, dans le chronogramme
des réformes à mettre en œuvre dès la victoire, figure un référendum pour l’adoption du Projet de Constitution, dont
l’organisation est retenue en juin au plus tard, soit, trois mois après la
prestation de serment du nouveau Président élu !
Voilà donc un Président
élu avec les pouvoirs exorbitants de Wade, dont il va se défaire au bout de trois mois!
Une question légitime
se pose donc de savoir, est ce qu’une telle Présidence vaut la peine
d’un tel acharnement pour la conquérir en payant même le prix fort de 65
millions ?
De deux choses
l’une : ou bien l’on a affaire à des gens qui, comme Wade, acceptent tout
pour accéder au pouvoir, pour faire ensuite à leur guise ? Ou bien, l’on a
affaire avec des gens qui n’ont pas encore pris conscience de la contradiction
entre leurs engagements publics, et leur positionnement actuel sur la «
Présidence », au point de risquer de faire imploser Benno.
Dans l’un comme dans
l’autre cas, il y a vraiment danger pour la réalisation des changements aux quels
aspire notre peuple en 2012.
4) Conclusion
Au terme de cette
analyse, il ressort que seul un sursaut au sein du « Comité de
facilitation » pour renouer avec la démarche de Benno, et une attitude des
leaders, plus conforme au consensus auquel ils sont parvenus, peuvent
préserver les chances d’un choix judicieux d’une « équipe » et d’un
« candidat de l’unité et du rassemblement ».
Le peuple nous écoute
Ibrahima Séne PIT/SENEGAL
41 Commentaires
Ksambe
En Novembre, 2011 (17:58 PM)Ctt
En Novembre, 2011 (17:59 PM)Oumar
En Novembre, 2011 (18:00 PM)Sekc
En Novembre, 2011 (18:01 PM)Pomkin
En Novembre, 2011 (18:02 PM)Un Passant
En Novembre, 2011 (18:02 PM)Tidiani
En Novembre, 2011 (18:05 PM)Par contre, en dépit de leur patriotisme incontestable, toutes les autres personnalités de l’opposition, traînent des casseroles ; en effet ils ont une responsabilité certaine, à des degrés divers, tant dans l’avènement de l’Alternance que dans son bilan. Et à vrai dire, les formations politiques qu’ils dirigent ne sont pas suffisamment structurées et implantées dans les masses ; elles ne tiennent que par le charisme de leurs chefs ; aucune d’elles ne peut sortir une dizaine de ministrables – tel fut le cas du PDS, lors de l’Alternance ; ce qui nous a coûté beaucoup d’errements, d’improvisations, de reniements, d’interminables remaniements et réaménagements ministériels. Et véritablement le seul fait de quitter l’attelage gouvernemental et de rallier l’opposition constitue un mea-culpa et donc une reconnaissance implicite de la légitimité de Tanor - le socialiste, comme le leader de l’opposition. Héritier de SENGHOR et de DIOUF, il a acquis une solide expérience d’homme d’Etat ; en plus de cet avantage certain, il a un âge idéal pour pouvoir, en un mandat, rebâtir la République, redresser la situation, avec la collaboration de tous les patriotes, toutes obédiences confondues – et de réaliser ainsi la réconciliation nationale, sans laquelle point de salut ; oui, pour les croyants que nous sommes, c’est de l’union des cœurs que jaillit toujours la miséricorde divine.
Certes, c’est Tanor qui est le candidat idéal ; mais c’est NIASSE seul qui peut le confirmer, en désistant ; s’il le faisait, il en serait grandi et le Sénégal lui en sera reconnaissant ; oui, il faut parfois savoir ‘’perdre pour gagner’’ ! L’urgence de la situation et l’importance des enjeux n’en valent-elles pas le sacrifice ?
Certes, on peut reprocher beaucoup de choses au parti socialiste, mais le fait d’avoir perdu très dignement et de s’opposer ensuite de façon très républicaine, préjuge d’une nouvelle prise de conscience et devrait leur donner un droit à l’absolution. Et en vérité, d’une croissance négative, les socialistes avaient, à force d’ajustements et de réajustements structurels, fini par assainir notre économie au plan macroéconomique ; d’importants projets étaient ficelés et avaient déjà trouvé un financement ; le trésor publique disposait de liquidités suffisantes et le pays d’une grande crédibilité au niveau des institutions financières internationales. Tel était l’état des lieux au moment de l’Alternance ; incontestablement, on était sur une pente ascendante, une trajectoire de développement harmonieux et donc d’émergence ; malheureusement l’Alternance est venue tout rompre, tout dérégler et tout déstructurer ; presque tout est géré de façon informelle. Incontestablement, les libéraux ont apporté un remède pire que le mal ! Il faut très sérieusement relativiser le bilan de l’Alternance, car les contextes ne sont pas identiques ; les socialistes étaient sous ajustement structurel (austérité imposée par le Fond monétaire International), alors que les libéraux avaient hérité d’une situation macroéconomique complètement assainie.
Certes l’espoir d’une délivrance est permis, mais avec ce régime, manœuvrant et rusant perpétuellement, il faut savoir se préparer à toutes les éventualités et concocter des plans alternatifs, en conséquence. C’est dire qu’on ne répétera jamais assez l’impérieuse nécessité d’un consensus sur une candidature unique de l’opposition - une exigence vitale !!!
B2b2
En Novembre, 2011 (18:05 PM)Bethio Benno
En Novembre, 2011 (18:19 PM)Faloi Diémé
En Novembre, 2011 (18:19 PM)Diop_ahmadou
En Novembre, 2011 (18:25 PM)[L’ethnisme de l’esbroufe]- Circulez, il n’y a rien à voir !
L’ethnisme non avoué, mais bien patenté de l’échiquier politique, du tigre de papier, s’érige en maquisard victimaire, imaginaire, amorphe, aphone sur les 7 mds de Taiwan, en duo avec le maître de la Cité du Rail, apparemment blanchi des faits historiques, semblent tous les deux bénéficier des larges extensibles d’une certaine liturgie, qui a décidément choisi son camp, contre le PS et l’Afp, présumés coupables avant l’heure. Sommes-nous dans une course de vitesse au point de plaire au vacarme titanesque ?
Macky Sall et son coreligionnaire, bien gloutonnés par le raccourci politique, de l’alternance de l’arnaque organisée semblent être respectables. C’est bien une anomalie de la démocratie qui a le vent en poupe dans ce pays. Nous y reviendrons dans nos prochaines contributions, inch allah.
Moundjou Kabalamba
En Novembre, 2011 (18:28 PM)Francmacon
En Novembre, 2011 (18:33 PM)A chaque fois que vous verrier un ouvrage des grands chantier du chef de l'état terminer, il y aura forcement 1 sacrifice humain. Donc surveiller bien vos arrières.
Parole de Franc maçon!
Bill
En Novembre, 2011 (18:36 PM)Ndela
En Novembre, 2011 (18:43 PM)A quoi bon chasser wade s'il faut mettre niass?
je ne vois pas la difference entre wade et niass
Gadiaga
En Novembre, 2011 (18:45 PM)Biim
En Novembre, 2011 (19:09 PM)Diop_ahmadou
En Novembre, 2011 (19:15 PM)L’ethnisme non avoué, mais bien patenté de l’échiquier politique, du tigre de papier, s’érige en maquisard victimaire, imaginaire, amorphe, aphone sur les 7 mds de Taiwan, en duo avec le maître de la Cité du Rail, apparemment blanchi des faits historiques, semblent tous les deux bénéficier des larges extensibles d’une certaine liturgie, qui a décidément choisi son camp, contre le PS et l’Afp, présumés coupables avant l’heure. Sommes-nous dans une course de vitesse au point de plaire au vacarme titanesque ?
Macky Sall et son coreligionnaire, bien gloutonnés par le raccourci politique, de l’alternance de l’arnaque organisée semblent être respectables. C’est bien une anomalie de la démocratie qui a le vent en poupe dans ce pays. Est-il besoin de rappeler que la candidature du maître de la supercherie, bien connue, n’a été déclarée qu’en octobre 1999.
Dans une interview du journal Enquête, en date du 15 septembre 2011-numéro 82, Abdoulaye Bathily, l’homme au franc parler qu’on lui connaît, déclare : « c’est en octobre 1999 qu’il est rentré de son exil volontaire. C’est là qu’on l’a mis en place. Nous sommes allés le voir à Paris pour lui demander d’être le candidat mais il n’était pas tout à fait convaincu. On savait qu’il était entrain de discuter discrètement avec le ps pour voir comment renoncer à sa candidature contre compensation. Et la campagne n’a réellement démarré qu’en novembre-décembre ».
Il est donc étonnant que ceux qui parlent, aujourd’hui, faisant croire à une implosion arbitraire de benno et tirent à boulets rouges inversent les rôles, en donnant des bons points de la médiocrité déconcertante représentée par Idy et son frangin naturel, abonné au profil bas sur les mds de Taiwan. Motus et bouche cousue. Etrange Sénégal ! Distillaient-ils la même musique concernant l’opposition de l’époque, en octobre 1999 ? Curieux !
Benno aura bien son candidat de l’unité pour gagner en février 2012.
Nous y reviendrons dans nos prochaines contributions, inch allah.
Ahmadou Diop
Le combat continue !
Diop_ahmadou
En Novembre, 2011 (19:25 PM)On savait qu’il était entrain de discuter discrètement avec le ps pour voir comment renoncer à sa candidature contre compensation. Et la campagne n’a réellement démarré qu’en novembre-décembre ».
Il est donc étonnant que ceux qui parlent, aujourd’hui, faisant croire à une implosion arbitraire de benno et tirent à boulets rouges inversent les rôles, en donnant des bons points de la médiocrité déconcertante représentée par Idy et son frangin naturel, abonné au profil bas sur les mds de Taiwan. Motus et bouche cousue. Etrange Sénégal ! Distillaient-ils la même musique concernant l’opposition de l’époque, en octobre 1999 ? Curieux !
Benno aura bien son candidat de l’unité pour gagner en février 2012.
Nous y reviendrons dans nos prochaines contributions, inch allah.
Ahmadou Diop
Le combat continue !
Boom
En Novembre, 2011 (19:28 PM)Paul Martin
En Novembre, 2011 (19:46 PM)Je souhaite que tout se passe dans la paix et je pri Dieu pour çà
Emigre
En Novembre, 2011 (19:46 PM)Quant a Tanor le mal qu'il a fait au Senegalais est encore frais dans les memoires.(Villas a donner aux driankes chemin de fer avec Mbaye Diouf,dilapidage de l'argent du contribualble etc...pour faire gagner Abdou Diouf en 2000.D'ailleurs ce dernier en digne homme a rendu le tablier lorsqu'il a perdu.Cependant Tanor ne l'ntendait pas de cette oreille.Il avait l'intention de faire un forcing.
Je ne suis ni pro Niass ,ni AFP;mais etant donne la situation qui prevaut Niass est tout designe pour le profile du Candidat de Benoo pour un mandat de 5 ans .Tanor pourra se presenter alors en 2017 pendant que les blessures du contribuables seront cicatrisees.
DE GRACE TANOR AIMES LE SENEGAL ET NON LE POUVOIR NE GATTES PAS UN PROJET BIEN CONCU
Marie Fall
En Novembre, 2011 (20:22 PM)Pour votre analyse, vous ne parlez pas de l'essentiel. Ca sent le parti pris. Bref, faites comme bon vous semble. Moi, ce Benno ne me fait point rêver.
Ne venez surtout pas nous parler de candidat de l'unité car vous êtes loin d'être unis...
J'ai comme l'impression que vos expériences politiques diverses ne vous servent à rien. Je me demande bien si le candidat choisi au bout du compte sera soutenu en toute sincérité par le reste... Vu vos blocages préliminaires, j'en doute...
Dembel
En Novembre, 2011 (21:06 PM)En effet, si l' equipe c' est le President de la Republique, le Premier Ministre et le President de l' Assemblee Nationale et qu' on doit nommer 3 membres de Benno pour occuper ces 3 postes sans avoir a preciser nommement celui a qui reviendrait chacun de ces postes, le jeu est fausse des le depart car Benno ne peut designer, au stade actuel tout au moins, que son candidat au poste de President de la Republique, les candidatures aux deux autres postes ne pouvant etre designees que par la structure qui aura remporte les elections legislatives si nous nous placons dans la perspective d' un regime parlementaire. qu semble etre l' option choisie.
Benno peut bien remporter l' election presidentielle sans etre majoritaire au Parlement meme apres de nouvelles elections.Dans ce cas de figure les membres de Benno pressentis maintenant pour etre respectivement Premier Ministre et President de l' Assemblee Nationale seraient victimes d' un veritable marche de dupes en s' etant laisses vendre la peau d' un ours qui n' aura pas encore ete tue.
Et c' est cela qui expliquerait et meme justifierait ce que M.Sene percoit comme " UNE OBSESSION POUR LA PRESIDENCE " .
En realite Benno aurait peche par exces de munitie en voulant utiliser une approche academique dans un domaine qui est tout sauf une science exacte.
Benno ne devrait pas s' evertuer a vouloir choisir le meilleur mais plutot chercher parmi ses membres celui qui aurait le plus de chances de l' amener a la victoire et qui ne serait pas forcement le meilleur mais celui sur qui l' electorat senegalais actuel, qui es ce qu' il est, donnerait le plus de voix.
A partir de la, sur la base des resultats obtenus par l' un et l' autre, en l' occurence Tanor et Niasse, dans les consultations electorales et les sondages parus depuis 2000 il serait plus facile de determiner le candidat de Benno qui lui donnerait le plus de chance de gagner les elections.
Dembel
En Novembre, 2011 (21:19 PM)[...]
Benno ne devrait pas s' evertuer a vouloir choisir le meilleur mais plutot chercher parmi ses membres celui qui aurait le plus de chances de l' amener a la victoire et qui ne serait pas forcement le meilleur mais celui sur qui l' electorat senegalais actuel, qui es ce qu' il est, donnerait le plus de voix.
A partir de la, sur la base des resultats obtenus par l' un et l' autre, en l' occurence Tanor et Niasse, dans les consultations electorales et les sondages parus depuis 2000 il serait plus facile de determiner le candidat de Benno qui lui donnerait le plus de chance de gagner les elections.
Citoyen 2
En Novembre, 2011 (21:32 PM)J'esperais alors un depassement au niveau de Benno avec l'envoi d'un signal fort au Senegalais qui cherchent a y
croire encore.
La je me rends compte que je m'etais fait des illusions et que finalement l'idee d'un Idy President semble plus realiste.
J'accepte de revenir a la raison et de voir les gens comme ils sont reelemen et non pas tels que moi je l'espere.
Dommage....J'avais vrament reve
Patisco
En Novembre, 2011 (21:58 PM)une candidature unique n'est pas possible et vous le savez par ce que nak wade est dans le coeur des sénégalais
vive wade et ses alliés 75% au premier tour
wade dolignou yow lagnou gueum ya niou doy thia kaw thia kanam rek
Mbour
En Novembre, 2011 (22:05 PM)cela prouve pourquoi bennoo ne peut pas avoir un candidat unique, le ciel est avec wade
vive wade et ses alliés 75% au premier tour
wade dolignou yow lagnou gueum ya niou doy thia kaw thia kanam rek
Ndiaganiao
En Novembre, 2011 (22:08 PM)"Un trait particulier de l'époque que nous traversons, c'est le désir de voir s' établir une union à la fois plus profonde et plus complète entre les croyants... On parle même d'abolir les divergences entre les nombreuses dénominations protestantes, qui formeraient entre elles une seule Eglise.." Ainsi s'exprimait le regretté R. Saillens, en septembre 1939. Il ajoutait aussitôt: "J'avoue qu'il me paraît difficile que cette aspiration soit réalisée pleinement. On ne peut unir que des choses qui sont de la même nature". Nous voici d'emblée au cour de notre sujet!
vive wade et ses alliés 75% au premier tour
wade dolignou yow lagnou gueum ya niou doy thia kaw thia kanam rek
Jurgen
En Novembre, 2011 (22:24 PM)Sartre
En Novembre, 2011 (22:31 PM)Abba
En Novembre, 2011 (22:37 PM)Benj
En Novembre, 2011 (23:46 PM)Cedaw
En Novembre, 2011 (00:18 AM)Diengu
En Novembre, 2011 (00:47 AM)Louis123
En Novembre, 2011 (01:20 AM)D.
En Novembre, 2011 (09:31 AM)that is the question ...........
Pschiit
En Novembre, 2011 (09:49 AM)Dimo
En Novembre, 2011 (12:33 PM)Fall
En Novembre, 2011 (14:43 PM)Bn
En Novembre, 2011 (15:18 PM)Participer à la Discussion