Ayant relevé le défi de la mobilisation horizontale des forces vives de la nation, le Mouvement du 23 Juin (M23) a réussi un tour de force à la fois tactique , stratégique et opérationnel.
Tactiquement, il a esquivé la provocation des va-t-en-guerre du régime libéral et réussi le test central de la jonction entre les partis politiques de l’opposition et les mouvements et organisations de la société civile dérrière des mots d’ordre clairs et tranchants : “Touche pas à ma Constitution”, “Non à un 3e mandat”, “Elections transparentes et sincères”.
Sur le plan stratégique, le M23 a déplacé l’ordre de préséance des priorités politiques du moment de la diversité et la profondeur de la demande sociale au recentrage du débat politique autour du respect de la Constutution et des règles du jeu politique communément admises quant à la durée et la nature du mandat présidentiel, de la succession du Chef de l’Etat et de la réinvention de l’Etat par rapport à la gouvernance, à l’emploi et à la justice sociale.
Les découpages administratifs intempestifs ainsi que le gaspillage des deniers publics et la prégnance de la corruption n’ont pas été perdus de vue par une jeunesse prédominante en nombre et choquée par l’enfermement économique et social qui la confine dans les marges et non au centre de la prétendue stratégie de “croissance accélérée” portée par la vision droitière du tout marché parrainée par les institutions de Bretton Woods et adoptee par la famille libérale.
Quelle que soit la décision qu’ils seront amenés à prendre, soit en reconnaissant la candidature d’Abdoulaye Wade soit en la rejetant, les Sages du Conseil Constitutionnel sont dorénavant perçus comme le point névralgique de l’ordonnancement institutionnel sénégalais. En rencontrant clandestinement le Chef de l’Etat à l’extérieur du pays, le Président du Conseil Constitutionnel a soulevé une suspicion légitime alors qu’on lui reprochait déjà une trop grande proximité avec l’Exécutif. L’écrasante majorité des constitutionalistes Sénégalais ayant déjà rejeté la possibilité d’une troisième candidature, il faudra s’attendre à terme, après les élections, à un changement de ses missions fondamentales et de ses prérogatives. Il pourrait en être de même de la Commission Electorale Nationale Autonome paralysée par la latitude donnée au Chef de l’Etat de ne pas renouveler, à temps, le quota de ses membres sortants. Pour cette dernière institution, l’opposition va sans doute exiger immédiatement sa réforme de sorte qu’elle soit en mesure de gérer l’entièreté du processus électoral.
Le succès opérationnel de la journée du 23 Juillet tient au fait qu’une conscience citoyenne mature a préféré s’exprimer en dehors des clichés de violence parfois indiscriminée telle qu’on l’a vue s’exprimer le 23 Juin à travers la provocation outrageuse des fantassins du PDS et du lumpenprolétariat.
L’argument selon lequel les pressions externes auraient placé Abdoulaye Wade au ban de la communauté internationale est certes important mais il n’est pas déterminant dans l’évolution de la dynamique politique et sociale à travers laquelle les Sénégalais engagent aujourd’hui la lutte pour la dignité et le bien-être. C’est en cela aussi que les évènements du 23 Juin ont marqué de façon indélébile les destinées du Sénégal face à ses ressorts propres et aux complexités de la géopolitique mondiale.
Les élites sénégalaises et ses forces vives sont désormais sommées de faire face. Le Président Abdoulaye Wade est interpelé par l’histoire : au crépuscule de sa trajectoire, le peuple lui demande de se contenter d’une vie remplie par 26 ans d’opposition, 12 années de chefferie d’Etat et des séjours parsemés dans les prisons de ses adversaires politiques. Le peuple lui demande aussi de laisser à d’autres volontés, d’autres trajectoires le soin de reprendre le gouvernail du pays et de lui éviter le fracas contre les récifs menaçants qui le guettent à l’horizon.
Il faut que les compagnons directs du Président du PDS aient perdu toute capacité d’indignation pour accepter de se faire houspiller en permanence par l’homme au nom de qui ils ont consenti, pour certains, des sacrifices considérables, cependant que d’autres ont saisi l’opportunité de s’enrichir de façon éhontée. Dans leur entendement, n’y aurait-il pas lieu de veiller à démocratiser en profondeur leur parti et à assurer la relève ?
L’équipe idéologiquement disparate de Benno Siggil Sénégal a maintenant toutes les raisons de hâter le pas et de faire preuve d’une plus grande vigueur politique. Il est grand temps de se prononcer sur la candidature unique ou plurielle et d’adopter la posture opérationnelle qui sied le mieux à la stratégie adoptée. Les programmes devront être débattus sans concession et soumis sans démagogie à la santion électorale. Sur le recentrage du débat politique exigé par les “yenamarristes” et par les militants de “Benno” eux-mêmes, il sera difficile de ne pas répondre aux questions de l’heure.
Il y a une remise en cause fondamentale du postulat néo-colonial et de la domination française sur les destinées du Sénégal à laquelle il faudra nécessairement se livrer tout en précisant l’architecture économique, financière, agricole et infrastructurelle d’un pays qui a indéniablement régréssé au cours des dernières décennies.
Jacques Habib Sy
29 Commentaires
L
En Juillet, 2011 (15:16 PM)Wadiste Canada
En Juillet, 2011 (15:17 PM)que dieu lui garde contre vos mauvaise coeur incirconcier.
Misse
En Juillet, 2011 (15:27 PM)Peuls,
En Juillet, 2011 (15:39 PM)Reponse De Lamine F Suite
En Juillet, 2011 (15:49 PM)Ce processus de réhabilitation des tenants de l’ancien régime néocolonial UPS/PS a été mené de main de maître par une presse affairiste qui n’est pas toute la presse et des ONG extraverties qui font, aujourd’hui appel ouvertement à l’ingérence de l’impérialisme de la vertu civique dans les contentieux politiques au Sénégal.
Nous rappelions déjà dans notre dernier livre LES MERCENAIRES DE LA NOUVELLES MISSSION CIVILISATRICE que les pays africains faisaient face à la guerre cognitive la plus meurtrière de leur histoire et que celle-ci se déroule sous le couvert de l’action humanitaire, civique et citoyenne. Cette guerre cognitive s’appuyait sur une certaine presse affairiste et des ONG extraverties pour promouvoir une nouvelle mission civilisatrice qui doit renouveler le droit à l’ingérence des puissances de la mission civilisatrice et la légitimer au nom de la bonne gouvernance , des droits de l’ homme , et de la démocratie.
Les patriotes panafricains savent aujourd’hui que ce qui motive cette reconversion de l’impérialisme esclavagisto colonial est beaucoup plus dicté par des intérêts stratégiques qu’un humanisme nouveau et à double vitesse qu’il se découvre tardivement. L’intérêt stratégique de l’ICV est d’arriver à mieux faire face aujourd’hui à la perspective d’une montée en puissance irréversible des pays émergents que sont la Chine, l’Inde et le Brésil qui trouvent un avantage géopolitique et stratégique à tendre la main à l’Afrique pour une coopération gagnant-gagnant .
Reponse De Lamine F Suite
En Juillet, 2011 (15:53 PM)Refusons donc de trahir cette mission comme ces mercenaires de la nouvelle mission civilisatrice qui livrent l’Afrique à l’IVC sous la forme d’une zone d’opportunité stratégique qui lui permettra de reprendre l’initiative historique qu’il a perdue face aux pays émergents.
Refusons d’ accepter que l’IVC s’offre des axes d’intervention stratégiques en Afrique balisées par une presse affairiste antiwade et des ONG extraverties pour organiser la défaite de l’Afrique dans cette guerre cognitive qu’affronte Wade pour faire pièce aux APE, au projet d’incorporation de l’Afrique du nord dans l’espace économique européen et la destruction de l’espoir des Sénégalais de voir leur pays emprunter le chemin de l’émergence économique et des Etats-Unis d’Afrique
Faisons face à l’agenda caché qui s’abrite derrière les discours biaisés que les ONG extraverties tiennent sur les droits de l’homme, la démocratie et la bonne gouvernance et dont on sait que les objectifs inavoués sont de tuer dans l’œuf, toute velléité d’appropriation par les peuples d’Afrique de la maîtrise de leur destin sous la direction d’un leadership panafricain comme Maître Abdoulaye Wade.
C’est au regard de tous ces éléments que nous considérons que cette AG constitutive du M23 est loin d’être une affaire sénégalo sénégalaise. Elle a son inscription dans un plan de diplomatie secrète. Elle est concoctée avec des milieux anti panafricains pour structurer les initiatives des mercenaires sénégalais de la nouvelle mission civilisatrice. Elle cherche à créer les provocations politiques les plus graves et irresponsable dont la plus insignifiante répression par le régime panafricain de Wade doit servir de prétexte à une intervention extérieure sous le couvert d’un droit d’ingérence pour la sauvegarde de la démocratie, des droits de l’homme et de la bonne gouvernance au Sénégal.
Reponse De Lamine F Suite
En Juillet, 2011 (15:55 PM)C’est au regard de tous ces éléments que nous considérons que cette AG constitutive du M23 est loin d’être une affaire sénégalo sénégalaise. Elle a son inscription dans un plan de diplomatie secrète. Elle est concoctée avec des milieux anti panafricains pour structurer les initiatives des mercenaires sénégalais de la nouvelle mission civilisatrice. Elle cherche à créer les provocations politiques les plus graves et irresponsable dont la plus insignifiante répression par le régime panafricain de Wade doit servir de prétexte à une intervention extérieure sous le couvert d’un droit d’ingérence pour la sauvegarde de la démocratie, des droits de l’homme et de la bonne gouvernance au Sénégal.
Cette AG constitutive du M23 est bel et bien la mise en perspective d’une jonction entre les tenants d’un ordre politique et économique anti panafricain avec leurs relais sénégalais dans but b déconstruire le leadership panafricain contemporain de maitre Wade.
Ils cherchent ensemble à retarder encore une fois l’Afrique en lui imposant des élites acquis à l’idéologie de la veille citoyenne. La caractéristique majeure de ces d’élites est que :
1- ils font prévaloir un état de service dans le réseau de défense de la vertu civique au plan local et international,
2- 2- ils ont tourné le dos aux intérêts de l’Afrique et
3- ils sont prêts à assumer des missions restauration des modèles économiques et des choix stratégiques anti panafricanistes battus en brèche scientifiquement et politiquement par le président Wade.
Reponse De Lamine F Suite Et F
En Juillet, 2011 (15:57 PM)1- ils font prévaloir un état de service dans le réseau de défense de la vertu civique au plan local et international,
2- 2- ils ont tourné le dos aux intérêts de l’Afrique et
3- ils sont prêts à assumer des missions restauration des modèles économiques et des choix stratégiques anti panafricanistes battus en brèche scientifiquement et politiquement par le président Wade.
Waa Senegal
En Juillet, 2011 (16:11 PM)NIOUNE WADE LA NIOU BEUGUE
MOM LAGNI WOTEL
TOPLEEN FEULE
Jalo
En Juillet, 2011 (16:27 PM)Kals
En Juillet, 2011 (17:21 PM)Cheikh Samb
En Juillet, 2011 (17:33 PM)Enregistrez l'article :
CHEIKH MBACKÉ SAMB , SUITE AUX ACCUSATIONS DE COMPLOTER CONTRE LE CONSUL DE NEW YORK
« Je m’en fous »
Un coin du voile s’est levé sur les auteurs de la cabale menée depuis le Consulat de New York pour faire débarquer le Consul général du Sénégal à New York, Cheikh Niang. Le chef du bureau de passeport, par ailleurs, patron des libéraux des Usa, cité, ne nie pas. Cheikh Mbacké Samb, que nous avons joint hier au téléphone, a tonné sans ambages : « je m’en cire les godasses ». Comme pour dire que le Consul, un des plus brillants diplomates du pays, est dans le viseur du chef des libéraux.
Qui en veut au Consul général du Sénégal à New York ? Cela ne fait plus l’ombre d’un doute pour beaucoup à New York, que le responsable de la fédération Pds de New York est l’auteur des manœuvres relayées, ces derniers jours, par la presse dakaroise. En effet, Cheikh Mbacké Samb, ancien brigadier de police, bombardé, à la stupéfaction générale, chef de la direction du passeport, veut la tête du Consul selon ses accusateurs. Il aurait saisi le palais d’un rapport alléguant que Cheikh Niang aurait reçu l’ancien Premier ministre, Macky Sall, lors de sa dernière visite aux Usa. Une information toutefois erronée en ce sens que les deux hommes se sont rencontrés au Consulat pour la dernière fois lors d’une visite de Macky Sall, en sa qualité de Président de l’Assemblée nationale. On ne sait pas les véritables motivations du mis en cause, mais certains de nos interlocuteurs, soutiennent que le Consul a instauré une gestion saine des moyens du Consulat. Le Consul Cheikh Niang est un fonctionnaire apolitique, ayant gravi tous les échelons dans la diplomatie. Ancien conseiller diplomatique d’Abdou Diouf, il était ministre Conseiller à la mission sénégalaise auprès des Nations Unies à New York. D’ailleurs le poste qu’il occupe actuellement apparaît comme une punition. Selon nos informations, il y a été nommé « pour régler le Consulat de New York » objet de convoitise des libéraux dont Cheikh Mbacké Samb. Ce dernier accusé d’être le comploteur était pressenti pour être nomme vice-consul, mais les diplomates de carrière ont dû rappeler à Wade les dispositions juridiques en la matière, en y adjoignant une menace de ruer dans les brancards, pour faire reculer le chef de l’Etat qui y tenait comme à la prunelle de ses yeux. Finalement, il s’est ravisé et l’a nommé chef du bureau passeport, poste traditionnellement occupé par un officier supérieur de police. Mais comme sous Wade, le premier critère est l’appartenance au Pds, il trône majestueusement à ce poste et écrase tout sur son passage. On lui prête tellement de pouvoir auprès du chef de l’Etat qu’il toise son ministre de tutelle, Cheikh Tidiane Sy, selon ses contempteurs. Joint hier tard dans la soirée pour lui demander s’il était impliqué dans le complot pour faire débarquer le Consul, il déclare : « Je m’en fous, je vous dis que je m’en cire les godasses, je m’en cire les godasses ». Le langage à lui seul traduit le degré de confiance de l’homme, qui, dans la même veine, refuse de se prononcer au sujet des relations exécrables qu’il entretient avec les responsables de la « Génération du concret » de New York.Un des responsables de ce mouvement, sous le sceau de l’anonymat, révèle qu’il leur met les bâtons dans les roues : « Il nous a dit que le Président Wade ne connaît pas la Gc et la Gc n’existe pas, il ne va pas vous recevoir ». Depuis lors, le Pds se serait vidé de ses militants au profit de Macky Sall et de la Gc explique-t-on chez les amis de Karim Wade. Le présumé comploteur du Consul malheureusement compte, comme plus haut diplôme dans son Cv, le certificat d’études primaires. Ancien brigadier, M.Samb est à l’image de plusieurs libéraux qui ne brillent pas par la force de leurs arguments intellectuels. C’est peut-être ce qui explique que l’homme n’ait pas bonne presse auprès des libéraux de New York qui l’accusent très souvent de faire main basse sur les fonds octroyés par le Président Wade lors de ses nombreuses visites au pays de Barack Obama. D’ailleurs, le responsable de la Gc cité plus haut nous affirme que Samb n’a pas associé les membres de la Gc aux bénéficiaires des ressources financières que le Président Wade met à la disposition des militants lors de ses voyages au pays de l’Oncle Sam. Côté politique, Cheikh Mbacké Samb, une véritable armoire à glace, avait, tout comme Babacar Gaye, l’actuel dircab de Wade, rejoint Me Ousmane Ngom pour créer le Parti libéral sénégalais (Pls) avant de revenir lorsque les vaches libérales sont devenues grasses.
Amadou BA
Dieu
En Mai, 2022 (09:16 AM)Kossiguine
En Juillet, 2011 (18:24 PM)tout ce que vous dites sur WADE avec le soit -disant IVC est faux;vous oubliez k ce qui ont amené WADE au pouvoir sont ceux qui vont le faire partir;LIVC dont vous parlez ne peut pas réemmerger EN afrique du moins ,dans la mesure où les dirigeants actuels du PS sont des hommes de gauche venus du PAI ,de la LDMPT ET AJ PADS et qu'actuellement les éléments déterminents du M23 le PIT ET de l"émiettement des partis de gauche.on comprend bien votre soit disante inquiétude ;le monde a changé et rien ne peut arréter l'émergence des pays issus des pays du tiers monde
Beug Sarew
En Juillet, 2011 (19:01 PM)Weddi guiss boccou thi!!!
3abdoul Hakîm
En Juillet, 2011 (19:14 PM)Okkk
En Juillet, 2011 (19:24 PM)l’opposition est entrain d'arpenter un chemin sinueux et sans issu. les discours n'ont jamais amélioré le quotidien du bas peuple . ce concert du 23 juillet 2011 organisé par "l'op po sition", toute tendance confondue (pseudo société civile etc), montre encore une fois une classe politique en perte de vitesse et qui utilise les moyens non conventionnels pour arriver à leur fin. j'aimerais leur rappeler que le Président de la république est une institution qui mérite respect . l'islam a toujours prôné le respect des dirigeants et des chefs. donc j'invite tout un chacun à faire montre de maturité et de retenu pour qu'ensemble, nous construisons notre pays dans la paix et le concorde.merci
Reponse De Lamine Faye
En Juillet, 2011 (19:50 PM)Les coups d’Etat ne sont plus armés dans les pays où la démocratie est avancée comme le Sénégal. La faiblesse de la démocratie dans un pays pauvre comme le Sénégal réside dans le fait qu’il est possible d’utiliser plus facilement la guerre cognitive pour défaire des dirigeants gênants comme Abdoulaye Wade. Il suffit pour cela de contrôler des ONG fortes et le quatrième pouvoir qu’est la presse pour atteindre un tel objectif.
Ailleurs, on a cherché à liquider Lula au Brésil avec l’arme des scandales pour lui enlever le bénéfice politique des réformes qu’il avait introduites et qui ont fait la promotion des pauvres et des Noirs dans ce pays démocratique. On a tenté de faire échouer l’investiture d’Obama par les mêmes méthodes en tentant de l’entacher par le scandale qui a frappé le sénateur de Chicago. Avec les prétendus scandales que nous présentent des mercenaires comme Abdou Latif Coulibaly des puissances extérieures peuvent espérer faire échec à l’alternative wadienne au régime socialiste néocolonial qui a affaibli leurs anciens relais locaux.
Le nouvel axe de coopération qu’Abdoulaye Wade a ouvert avec les Arabes, les Chinois, les Indiens les Américains, les Brésiliens et les Arabes est vu d’un mauvais œil par les théoriciens européocentristes qui pilotaient de l’extérieur les politiques économiques africaines sous le régime socialiste néocolonial.
Les idées de Wade, ses propositions et ses réalisations au plan politique, économique en faveur de son pays et de l’Afrique font de lui le leader intellectuel contemporain du panafricanisme qui assume l’héritage des pères fondateurs du projet de construction des Etats Unis d’Afrique. On peut donc comprendre pourquoi il serait dangereux pour certains théoriciens du nouvel ordre mondial qui veulent exclure l’Afrique de la gestion de sa gouvernance qu’on laisse un Abdoulaye Wade consolider son leadership panafricain avec la réussite de tous ses projets structurants qui sortent de terre au Sénégal.
On veut arriver, avec des antipatriotes qui trompent les Africains en jouant, comme Abdou Latif Coulibaly, à l’excès la fibre patriotique sur des thèmes galvaudés à tout faire pour qu’Abdoulaye Wade ne soit pas l’exemple à suivre pour les dirigeants africains. Le syndrome de la liquidation de Nkrumah menace aujourd’hui son disciple Abdoulaye Wade à travers les attaques de mercenaires comme Abdou Latif Coulibaly.
Les positions panafricanistes de Wade et son influence dans les choix stratégiques des Etats africains hypothèquent sérieusement les projets d’asservissement de l’Afrique. En se portant à la tête d’une dénonciation des Accords de Partenariat Economique (APE) au sommet UE/Afrique tenu à Lisbonne et en proposant en lieu et place des Accords de Partenariat pour le Développement (APD) le président Abdoulaye Wade s’est mis au service des peuples africains. C’est pourquoi il battra comme Ignacio Lula et Barack Obama tous ses adversaires de l’intérieur comme de l’extérieur grâce au soutien du peuple sénégalais et africain.
Peuls,
En Juillet, 2011 (19:57 PM)Reply_author
En Mai, 2022 (11:17 AM)Reply_author
En Mai, 2022 (15:13 PM)Reponse De Lamine Faye
En Juillet, 2011 (20:04 PM)Le nouvel axe de coopération qu’Abdoulaye Wade a ouvert avec les Arabes, les Chinois, les Indiens les Américains, les Brésiliens et les Arabes est vu d’un mauvais œil par les théoriciens européocentristes qui pilotaient de l’extérieur les politiques économiques africaines sous le régime socialiste néocolonial.
Les idées de Wade, ses propositions et ses réalisations au plan politique, économique en faveur de son pays et de l’Afrique font de lui le leader intellectuel contemporain du panafricanisme qui assume l’héritage des pères fondateurs du projet de construction des Etats Unis d’Afrique. On peut donc comprendre pourquoi il serait dangereux pour certains théoriciens du nouvel ordre mondial qui veulent exclure l’Afrique de la gestion de sa gouvernance qu’on laisse un Abdoulaye Wade consolider son leadership panafricain avec la réussite de tous ses projets structurants qui sortent de terre au Sénégal.
On veut arriver, avec des antipatriotes qui trompent les Africains en jouant, comme Abdou Latif Coulibaly, à l’excès la fibre patriotique sur des thèmes galvaudés à tout faire pour qu’Abdoulaye Wade ne soit pas l’exemple à suivre pour les dirigeants africains. Le syndrome de la liquidation de Nkrumah menace aujourd’hui son disciple Abdoulaye Wade à travers les attaques de mercenaires comme Abdou Latif Coulibaly.
Les positions panafricanistes de Wade et son influence dans les choix stratégiques des Etats africains hypothèquent sérieusement les projets d’asservissement de l’Afrique. En se portant à la tête d’une dénonciation des Accords de Partenariat Economique (APE) au sommet UE/Afrique tenu à Lisbonne et en proposant en lieu et place des Accords de Partenariat pour le Développement (APD) le président Abdoulaye Wade s’est mis au service des peuples africains. C’est pourquoi il battra comme Ignacio Lula et Barack Obama tous ses adversaires de l’intérieur comme de l’extérieur grâce au soutien du peuple sénégalais et africain.
Reponse De Lamine Faye
En Juillet, 2011 (20:09 PM)Les positions panafricanistes de Wade et son influence dans les choix stratégiques des Etats africains hypothèquent sérieusement les projets d’asservissement de l’Afrique. En se portant à la tête d’une dénonciation des Accords de Partenariat Economique (APE) au sommet UE/Afrique tenu à Lisbonne et en proposant en lieu et place des Accords de Partenariat pour le Développement (APD) le président Abdoulaye Wade s’est mis au service des peuples africains. C’est pourquoi il battra comme Ignacio Lula et Barack Obama tous ses adversaires de l’intérieur comme de l’extérieur grâce au soutien du peuple sénégalais et africain.
Le peuple sénégalais sait qu’il a anticipé, en bon visionnaire, sur la crise économique mondiale consécutive à la flambée des prix du baril de pétrole en prenant l’initiative de réunir à Dakar le 27 Juillet 2006 tous les pays africains non producteurs de pétrole. Au cours de cette rencontre, réunissant tous les ministres de l’Energie des pays africains non producteurs de pétrole à l’hôtel Méridien-Président de Dakar, il a attiré leur attention sur le risque d’effondrement des économies africaines si une solution concertée n’est pas trouvée à cette hausse incontrôlée du prix du fuel et au partage juste de la rente pétrolière. Le peuple sénégalais sait donc qu’il a proposé comme solution la wade formula . Les peuples africains savent également qu’Abdoulaye Wade a été ainsi à l’avant garde de toutes les batailles en faveur du développement économique de l’Afrique et pour son unité politique en vue de créer les conditions de la réalisation des Etats Unis d’Afrique.
Reponse De Lamine Faye
En Juillet, 2011 (20:36 PM)Cette presse veut à l’évidence faire passer sans génie l’idée que le peuple ne veut pas de la candidature de Wade parce qu’il est vieux alors que le peuple souverain a montré à chaque rendez vous où il lui demandé de se prononcer pour ou contre Wade il exprimé son choix en toute liberté et avec détermination malgré les matraquages médiatiques qui ont cherché à le faire détester.
Ce qui semble être recherché avec un tel travail de haute communication utilisant de gros moyens et qui a tout l’air d’être bien planifié, c’est de manipuler les perceptions des sénégalais afin de les amener à conclure que Wade ne se présentera pas si on arrive faire douter l’électorat qui lui est favorable. Il apparaît de plus en plus claire à l’approche de la campagne officielle que les adversaires de Wade éprouvent de la difficulté à émettre comme lui sur l’onde des idées et des propositions novatrices pour le développement du Sénégal et de l’Afrique. C’est pourquoi l’infantilisation de l’électorats semble être l’hypothèse de travail de toute l’opposition cryptopersonnelle et revancharde pour vaincre wade..
Parce que sur le chapitre des idées novatrices et sur celui de la définition d’enjeux pertinents pour le développement du Sénégal et de l’Afrique aucun de ses adversaires n’a été incapable d’écrire un mot ou une phrase en alternative aux propositions wadiennes qui pourraient faire un livre.
La tactique du doute est donc la meilleure façon pour les mercenaires de la veille citoyenne coalisés avec l’opposition revancharde de brouiller les pistes
Patisco
En Juillet, 2011 (20:40 PM)Wade le Sénégal a encore besoin de toi pour son développement et sa stabilité vive le président wade
Wade le Sénégal a encore besoin de toi pour son développement et sa stabilité vive le président wade
Euleuk Cii Biir
En Juillet, 2011 (23:23 PM)Mame Fatime
En Juillet, 2011 (03:10 AM)Xxp
En Juillet, 2011 (07:37 AM)Laprès quelqu'un sauf le sait.
Mais il n'appartient pas à Jacques Habib Sy de cogiter ou d'imaginer ce qui se passera après Wade.
Pour nous autres citoyens conscient du bon travail que Wade est en train d'abattre à la tête du Sénégal, franchement, nous aurons aimé et souhaité qu'il reste encore à la magistrature suprème de notre cher GALSEN pour quelques années encore.
Laisser Jacques Habib Sy cogiter sur l'après WADE, Dieu seul sait qu'il sera surpris de la tournure des événements à la présidentielle de 2O12 parce que le meilleur candidat qui se trouve être le chef de l'Etat lla gagnera dès le 1er tour, in cha allah !
Bayal
En Juillet, 2011 (08:08 AM)Xxp
En Juillet, 2011 (11:27 AM)Voila un Ministre de la république qui travaillé pour son propre compte et tous les actes qu'il posait était de nature à faire son propre promotion.
Pendant, 11 ans, Gadio travaillé à tisser une reconnaissance internationale faisant fi royalement des préoccupations du peuple sénégalais .
Gadio, très franchement doit fermer sa grande gueule.
D'ailleurs, combien de citoyens sénégalais qui connqissaient ce Gadio là ?
Sincèrement, le ridicule ne tue plus au Sénégal et c'est triste et honteux.
Ce GADIO, n'a aucune dignité !
Rahne
En Juillet, 2011 (13:40 PM)Deco
En Août, 2011 (13:55 PM)Participer à la Discussion