Le dialogue national a été convoqué sur sur l'initiative de son Excellence Monsieur le Président de la République Macky SALL pour asseoir la paix et la stabilité sociale dans notre pays.
Ainsi, après deux semaines d'intenses discussions au sein de la commission politique et des autres commissions, des consensus forts ont été trouvés entre les différents acteurs.
Le rapport de synthèse sera soumis à l'appréciation du Chef de l'Etat.
En tout état de cause, des avancées notables ont été enregistrées allant dans le sens du renforcement de nos acquis démocratiques.
En effet, sur les 16 points discutés, il y a eu 12 qui ont fait l'objet de consensus contre 4 qui font l'objet d'un désaccord.
Des questions importantes comme, entre autres, le parrainage, la caution, l'éligibilité des candidats sous le coup d'une condamnation, vieille doléance de l'opposition, ont pu être réglées pour une amélioration de notre système politique et démocratique.
Toutefois aucun esprit bienveillant ne saurait accepter l'idée selon laquelle le président Macky Sall ne doit pas se présenter à la présidentielle du 25 février 2024.
Mais ma foi, on ne peut pas vouloir une chose et son contraire !
On ne peut pas demander d'être rétabli dans ses droits et exiger que d'autres ne puissent pas jouir des droits que leur confère notre Charte fondamentale.
Tout le monde sait que la validité juridique des candidatures à l'élection présidentielle est du recours exclusif du Conseil Constitutionnel, comme stipulé dans le Code électoral, en son article L.121: "Au plus tard trente-cinq (35) jours avant le scrutin, le Conseil constitutionnel procède à la publication de la liste des candidats."
La candidature du président Macky SALL passera comme lettre à la poste car cette question relativement à une troisième candidature est un faux débat car déjà réglé sur le plan juridique par les sages du Conseil Constitutionnel depuis leur Décision 01/2016/C du 12 février 2016.
Dans cette Décision, il est explicitement dit :" Le mandat en cours au moment de l'entrée en vigueur de la nouvelle loi, par essence intangible, est hors de portée de la loi nouvelle."
Voilà qui est clair sur la légalité de la candidature du Président Macky Sall.
Quid maintenant de sa légitimité ?
Autant la candidature est légale, autant elle légitime.
Elle est légitime si on se fie :
- Au bilan réalisé à la tête du Sénégal depuis 2012. Le président Macky Sall, sans exagération, aucune a fait mieux en 12 ans ce que les présidents Senghor, Abdou Diouf et Abdoulaye Wade n'ont pu faire en 52 ans dans le domaine de la construction d'infrastructures sanitaires, scolaires, universitaires, sportives, des autoroutes, des routes, autoponts, ponts, de électrification, de la construction de forages pour l'alimentation des populations en eau potable, etc.
C'est un bilan exceptionnel visible de tous et partout.
" Weddi guiis bokku ci" disent les wolofs.
- Aux succès diplomatiques remportés par le Sénégal sous son magistère avec son élection à la tête de l'Union Africaine et les combats qu'il a menés et gagnés pour plus de reconnaissance du continent africain dans les grandes instances internationales.
- Aux perspectives qui s'offrent à notre pays qui doit rester dans la paix et la stabilité et éviter la malédiction du pétrole avec l'exploitation très prochaine des importants gisements découverts grâce à son ingéniosité d' ingénieur géologue.
- A la confiance placée en lui par la Coalition Benno Bokk Yakaar et le peuple sénégalais qui voient en lui l'homme parfait pour gérer cette étape décisive dans la marche de notre pays vers l'émergence, voire le développement économique et social.
La diaspora française l'a très bien compris, elle qui vient de lui réserver un accueil très chaleureux lors de sa tournée européenne lui déroulant ainsi le tapis rouge pour 2024.
Le Sénégal de Cheikh Ahmadou Bamba, de El Hadji Malick Sy, de Thierno Mountaga, de Mame Limamoulaye, de Boucounta Ndiassane, de Baye Niass ne connaît que la paix et la stabilité choses sans lesquelles aucune œuvre de construction nationale n'est possible.
Le Président Macky SALL représente sans nul doute l'espoir et le ciment le plus solide qui vont faire triompher notre Nation avec au premier chef sa jeunesse appelée non à la destruction mais à l'édification d'un Sénégal riche et prospère.
Ibrahima Baba SALL
Premier vice-président à l'Assemblée nationale
Député Maire de Bakel.
Ainsi, après deux semaines d'intenses discussions au sein de la commission politique et des autres commissions, des consensus forts ont été trouvés entre les différents acteurs.
Le rapport de synthèse sera soumis à l'appréciation du Chef de l'Etat.
En tout état de cause, des avancées notables ont été enregistrées allant dans le sens du renforcement de nos acquis démocratiques.
En effet, sur les 16 points discutés, il y a eu 12 qui ont fait l'objet de consensus contre 4 qui font l'objet d'un désaccord.
Des questions importantes comme, entre autres, le parrainage, la caution, l'éligibilité des candidats sous le coup d'une condamnation, vieille doléance de l'opposition, ont pu être réglées pour une amélioration de notre système politique et démocratique.
Toutefois aucun esprit bienveillant ne saurait accepter l'idée selon laquelle le président Macky Sall ne doit pas se présenter à la présidentielle du 25 février 2024.
Mais ma foi, on ne peut pas vouloir une chose et son contraire !
On ne peut pas demander d'être rétabli dans ses droits et exiger que d'autres ne puissent pas jouir des droits que leur confère notre Charte fondamentale.
Tout le monde sait que la validité juridique des candidatures à l'élection présidentielle est du recours exclusif du Conseil Constitutionnel, comme stipulé dans le Code électoral, en son article L.121: "Au plus tard trente-cinq (35) jours avant le scrutin, le Conseil constitutionnel procède à la publication de la liste des candidats."
La candidature du président Macky SALL passera comme lettre à la poste car cette question relativement à une troisième candidature est un faux débat car déjà réglé sur le plan juridique par les sages du Conseil Constitutionnel depuis leur Décision 01/2016/C du 12 février 2016.
Dans cette Décision, il est explicitement dit :" Le mandat en cours au moment de l'entrée en vigueur de la nouvelle loi, par essence intangible, est hors de portée de la loi nouvelle."
Voilà qui est clair sur la légalité de la candidature du Président Macky Sall.
Quid maintenant de sa légitimité ?
Autant la candidature est légale, autant elle légitime.
Elle est légitime si on se fie :
- Au bilan réalisé à la tête du Sénégal depuis 2012. Le président Macky Sall, sans exagération, aucune a fait mieux en 12 ans ce que les présidents Senghor, Abdou Diouf et Abdoulaye Wade n'ont pu faire en 52 ans dans le domaine de la construction d'infrastructures sanitaires, scolaires, universitaires, sportives, des autoroutes, des routes, autoponts, ponts, de électrification, de la construction de forages pour l'alimentation des populations en eau potable, etc.
C'est un bilan exceptionnel visible de tous et partout.
" Weddi guiis bokku ci" disent les wolofs.
- Aux succès diplomatiques remportés par le Sénégal sous son magistère avec son élection à la tête de l'Union Africaine et les combats qu'il a menés et gagnés pour plus de reconnaissance du continent africain dans les grandes instances internationales.
- Aux perspectives qui s'offrent à notre pays qui doit rester dans la paix et la stabilité et éviter la malédiction du pétrole avec l'exploitation très prochaine des importants gisements découverts grâce à son ingéniosité d' ingénieur géologue.
- A la confiance placée en lui par la Coalition Benno Bokk Yakaar et le peuple sénégalais qui voient en lui l'homme parfait pour gérer cette étape décisive dans la marche de notre pays vers l'émergence, voire le développement économique et social.
La diaspora française l'a très bien compris, elle qui vient de lui réserver un accueil très chaleureux lors de sa tournée européenne lui déroulant ainsi le tapis rouge pour 2024.
Le Sénégal de Cheikh Ahmadou Bamba, de El Hadji Malick Sy, de Thierno Mountaga, de Mame Limamoulaye, de Boucounta Ndiassane, de Baye Niass ne connaît que la paix et la stabilité choses sans lesquelles aucune œuvre de construction nationale n'est possible.
Le Président Macky SALL représente sans nul doute l'espoir et le ciment le plus solide qui vont faire triompher notre Nation avec au premier chef sa jeunesse appelée non à la destruction mais à l'édification d'un Sénégal riche et prospère.
Ibrahima Baba SALL
Premier vice-président à l'Assemblée nationale
Député Maire de Bakel.
8 Commentaires
Sayfu
En Juin, 2023 (21:10 PM)Reply_author
En Juin, 2023 (21:14 PM)Vos déclarations nous agacent plus qu'autre chose. Soof guen torop.
Il n y aura pas de 3e mandat point barre.
Poseidon Badji
En Juin, 2023 (21:26 PM)Pour conserver vos avantages vous êtes capable de brûler ce pays en pensant naïvement que vous serez épargnés.
Reply_author
En Juin, 2023 (07:47 AM)Les Nervis A Plume
En Juin, 2023 (21:57 PM)PAS DE 3 EME MANDAT . N'obligez pas les sénégalis à lire à l'envers la constitution .
Sachez que le hold up de notre démocratie ne passera point . Nul n' a plus confiance aux bandits et la culpabilité inversée ne fonctionne plus . Les bandits ont été démasqués !!!!!!..... .
Du parlement européen , à Dakar , le monde entier exige le départ du locataire du palais qui ne peut pas briguer un 3 éme mandat conformément à la constitution . Respectez le peuple sénégalais !.
Force est de constater qu'il ya une rupture totale de confiance entre ce locataire du palais et le peuple sénégalais . Nul ne peut forcer un peuple à aimer des bandits qui tuent à balles réelles.
Non au 3 éme mandat , vive un nouveau SENEGAL avec une jeunesse déterminée , brillante , intelligente et talentueuse .
Sheikh Bi
En Juin, 2023 (00:06 AM)Zomet
En Juin, 2023 (00:32 AM)Il a un dossier lourd avec 4500 éléments de preuves.
Macky est fini ! Il ne pourra jamais échapper à la CPI parce que force restera à la loi internationale.
Focus procès des aperistes à la CPI
Foulbes!!!
En Juin, 2023 (10:58 AM)FOULBES!!!
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