Dans le but de raffermir les liens et de permettre à certaines familles démunies de circoncire leurs enfants, la 2e édition du «leul» collectif a été effectuée, samedi dernier, à Sakal, une commune de la région de Louga. Ils sont ainsi 85 enfants pris en charge lors de cette journée sociale.
‘’Nous avons circoncis, dans le cadre de cette journée, 85 enfants, âgés entre 2 et 8 ans. Elle s'inscrit dans notre programme d'accompagnement des enfants et des jeunes, mais également dans le souci d'une cohésion sociale’’, a fait savoir Idrissa Diagne, Président du mouvement Ande Taxawou Sakal, initiateur de cette activité.
En plus de ces activités sociales, Idrissa Diagne appelle les populations de Sakal à s’engager pour le développement de leur commune.
‘’L’heure a sonné pour la jeunesse. Il est temps de prendre le relais, de mutualiser nos forces pour faire de Sakal la commune phare du département de Louga. En effet, dans un monde en perpétuelle mutation où nos certitudes et nos espoirs sont quotidiennement bousculés, Sakal a besoin de femmes et d’hommes engagés et prêts à relever le défi du développement’’, soutient-il.
5 Commentaires
Volai414
En Juillet, 2021 (15:08 PM)NOM DE DIEU !
Au moment où partout dans le monde on essaie de minimiser la taille des foules, pour éviter les cas contact, nous on fait le contraire. Je pensais que nous n'étions qu'indisciplinés. Maintenant je demeure persuadé que nous souffrons d'une autre pathologie mais je ne sais vraiment plus laquelle.
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J'ignore qui a débuté cette pratique qui devient une routine mais c'est un grand n'importe quoi. Ceux qui pratiquent les.circoncisions dans ces campagnes sont presque toujours des infirmiers qui ne sont pas qualifiés pour, même s'ils se debrouillent. En cas d'accident ce sera la cata et c'est déjà arrivé. Parfois les enfants sont hémophiles et ils sont pas outillés pour les gérer. Il faut que l'État arrête ça, la circoncision est un acte chirurgical qu'il faut sécuriser.
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En Juillet, 2021 (15:43 PM)Hé!
En Juillet, 2021 (15:46 PM)Je me rappelle un grand charlatan qui le pratiquait à Louga au début des années 80. Cette pratique lui permettait de collecter du sang humain en grande quantité que lui exigeaient ses fétiches.
N'enrolez pas vos enfants dans ces sacrifices qui ne disent pas leur nom.
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