"Depuis 2004, je suis adhérant à la Sodav. Quand je sors un album, j'achète un hologramme. Quand j'organise des concerts, je paie. Je suis en règle avec eux. Mais, je ne pourrais pas en dire autant de leur part. Quand, je les interpelle, il me rabâche "On fait le tour. On va voir. Ils me servent des bla-bla qui n'en finissent pas. Nous avons besoin d'informations. Ce n'est pas normal, ce qui se passe à la Sodav", dénonce le reggae man.
L'auteur de l'album "Lettre du Continent", qui tenait un point de presse à l'occasion de l'inauguration du studio Khidma Music Group Entertainment, assure qu'au niveau de la Sodav, il y a une gestion à deux vitesses.
"Il y a un problème de gros et de petits poissons à la Sodav. Nous sommes les petits poissons. J'interpelle le Président, en lui disant que nous les petits poissons, nous ne ressentons pas le travail de la Sodav", persiffle MamJ Ras Soul.
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