
La critique cinématographique africaine doit se ‘’faire entendre’’ dans l’écosystème du 7e art devenu davantage commercial, a souligné le journaliste et critique de cinéma français Michel Amarger.
‘’Le premier défi aujourd’hui de la critique cinématographique est de se faire entendre et se faire respecter, parce qu’elle a droit de cité et de parole’’, a-t-il indiqué samedi lors d’un webinaire.
Il s’agissait d’une rencontre virtuelle organisée par la Fédération africaine de la critique cinématographique en collaboration avec la structure ‘’Noo’cultures’’. Elle était en prélude à la 27e édition du Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (Fespaco).
Elle avait pour thème ‘’quels défis aujourd’hui pour la critique africaine dans l’écosystème du secteur cinéma’’.
Spécialiste du cinéma africain, Michel Amarger, estime qu’avec le développement de l’industrie du cinéma devenue de plus en plus commerciale, ‘’on a plus besoin de gens qui s’occupent de la promotion que de critique’’.
‘’La diversification des moyens audiovisuels peut aider à l’expression et à la visibilité des critiques des pays africains confrontés à la mobilité’’, a fait valoir le journaliste.
Il a insisté sur le fait qu’il était plus difficile de sensisbiliser les gens par un discours critique afin de les inciter à voir un film qui ne dure pa souvent sur les écrans. Il a ainsi estimé que le cinéma avait besoin moins de critique que de promotion et de publicité.
‘’Le rôle de la critique doit être militant, détecter les nouvelles tendances, prendre en compte le contexte de fabrication des films devant un contexte cinématographique difficile en Tunisie’’, a de son côté estimé la critique tunisienne Narjes Torchani.
Elle milite pour une critique ‘’diversifiée’’ qu’elle soit universitaire ou informative.
Ces critiques de cinéma recommandent ainsi la mise en place d’un statut de la critique pour une plus grande reconnaissance du métier.
‘’Il faut se mettre ensemble pour mener des actions communes, mettre en place un modèle économique pour la mobilité des critiques sur le continent et ailleurs dans le monde’’, indique le critique béninois Espéra Donouvossi spécialiste en développement et gestion de projets culturels.
‘’Le premier défi aujourd’hui de la critique cinématographique est de se faire entendre et se faire respecter, parce qu’elle a droit de cité et de parole’’, a-t-il indiqué samedi lors d’un webinaire.
Il s’agissait d’une rencontre virtuelle organisée par la Fédération africaine de la critique cinématographique en collaboration avec la structure ‘’Noo’cultures’’. Elle était en prélude à la 27e édition du Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (Fespaco).
Elle avait pour thème ‘’quels défis aujourd’hui pour la critique africaine dans l’écosystème du secteur cinéma’’.
Spécialiste du cinéma africain, Michel Amarger, estime qu’avec le développement de l’industrie du cinéma devenue de plus en plus commerciale, ‘’on a plus besoin de gens qui s’occupent de la promotion que de critique’’.
‘’La diversification des moyens audiovisuels peut aider à l’expression et à la visibilité des critiques des pays africains confrontés à la mobilité’’, a fait valoir le journaliste.
Il a insisté sur le fait qu’il était plus difficile de sensisbiliser les gens par un discours critique afin de les inciter à voir un film qui ne dure pa souvent sur les écrans. Il a ainsi estimé que le cinéma avait besoin moins de critique que de promotion et de publicité.
‘’Le rôle de la critique doit être militant, détecter les nouvelles tendances, prendre en compte le contexte de fabrication des films devant un contexte cinématographique difficile en Tunisie’’, a de son côté estimé la critique tunisienne Narjes Torchani.
Elle milite pour une critique ‘’diversifiée’’ qu’elle soit universitaire ou informative.
Ces critiques de cinéma recommandent ainsi la mise en place d’un statut de la critique pour une plus grande reconnaissance du métier.
‘’Il faut se mettre ensemble pour mener des actions communes, mettre en place un modèle économique pour la mobilité des critiques sur le continent et ailleurs dans le monde’’, indique le critique béninois Espéra Donouvossi spécialiste en développement et gestion de projets culturels.
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