Exclusivement composé de femmes, le groupe des « Seck sisters » a marqué les années 90. Aujourd’hui, les quatre sœurs (Anta, Khady, Koura et Ndickou) mène chacune sa carrière solo en Europe. L’Observateur a retrouvé l’une des sœurs de la diva Coumba Gawlo Seck. Il s’agit de Ndickou Bamba Seck. Qui vit en Allemagne depuis 2014. L’ancienne soliste et guitariste du groupe qui a implosé en 2005 se confie sur sa nouvelle vie :
« Avant je vivais en Espagne où je m’étais installée en 2001. En 2009, j’ai quitté ce pays pour revenir au Sénégal entretenir un business. Je faisais venir des conteneurs avec diverses marchandises à revendre. J’avoue que ce n’était pas facile. Le commerce n’était pas rentable. »
En Allemagne où elle est établie en compagnie de son époux et leurs cinq enfants, Ndickou est plutôt touche à tout. « En pure Yaye Fall, je travaille comme je peux. J’allie ma passion qu’est la musique et mon travail dans le domaine hôtelier. Quand j’ai le temps, j’effectue mes spectacles et mes répétitions », explique-t-elle avant de poursuivre :
« Ici, hiver rime avec léthargie. Côté musique, on ne fait pratiquement rien. Alors qu’en été, c’est attractif. D’ailleurs, à cette période, je preste beaucoup dans des festivals en Allemagne et en Suisse. Je fais aussi du commerce. Je suis également dans la restauration et la gastronomie. »
Évoquant ses projets d’avenir, Ndickou révèle qu’avec ses sœurs, elles sont en train de travailler pour la reconstitution du groupe :« Nous travaillons dans ce sens. Seulement, ce n’est pas aussi facile qu’on le pense, compte tenu de la distance qu’il y a entre nous. »
De son côté, avoue-t-elle, « il m’est très difficile de venir au Sénégal pour rendre visite à ma mère et au reste de ma famille. Il faut que je prenne en compte mes enfants. Si je ne peux pas les amener avec moi, il me faut les faire garder. »
Ndickou rappelle que leur défunt père Laye Bamba Seck « avait décidé de dissoudre le groupe après de multiples disputes entre elles. »
« Avant je vivais en Espagne où je m’étais installée en 2001. En 2009, j’ai quitté ce pays pour revenir au Sénégal entretenir un business. Je faisais venir des conteneurs avec diverses marchandises à revendre. J’avoue que ce n’était pas facile. Le commerce n’était pas rentable. »
En Allemagne où elle est établie en compagnie de son époux et leurs cinq enfants, Ndickou est plutôt touche à tout. « En pure Yaye Fall, je travaille comme je peux. J’allie ma passion qu’est la musique et mon travail dans le domaine hôtelier. Quand j’ai le temps, j’effectue mes spectacles et mes répétitions », explique-t-elle avant de poursuivre :
« Ici, hiver rime avec léthargie. Côté musique, on ne fait pratiquement rien. Alors qu’en été, c’est attractif. D’ailleurs, à cette période, je preste beaucoup dans des festivals en Allemagne et en Suisse. Je fais aussi du commerce. Je suis également dans la restauration et la gastronomie. »
Évoquant ses projets d’avenir, Ndickou révèle qu’avec ses sœurs, elles sont en train de travailler pour la reconstitution du groupe :« Nous travaillons dans ce sens. Seulement, ce n’est pas aussi facile qu’on le pense, compte tenu de la distance qu’il y a entre nous. »
De son côté, avoue-t-elle, « il m’est très difficile de venir au Sénégal pour rendre visite à ma mère et au reste de ma famille. Il faut que je prenne en compte mes enfants. Si je ne peux pas les amener avec moi, il me faut les faire garder. »
Ndickou rappelle que leur défunt père Laye Bamba Seck « avait décidé de dissoudre le groupe après de multiples disputes entre elles. »
0 Commentaires
Participer à la Discussion