La musique ngoyane, qui fait partie du patrimoine culturel du Saloum, aurait perdu de sa valeur. Raison pour laquelle les fils de ce terroir veulent la faire renaître. Sous l’égide du conseil régional de Kaolack, le Festival international des arts et traditions du Saloum (Fint’arts) en a fait son cheval de bataille cette année. L’information est donnée par les organisateurs, lors d’une conférence de presse à la Maison de la Culture Douta Seck.
(Texte : Enquête)
0 Commentaires
Participer à la Discussion