« Notre continent risque de vendre ses terres à d’autres
pays plus riches et à des multinationales qui vont y développer l’agriculture » :
ces propos sont du président de la République Macky Sall, par ailleurs président
du Nepad, de retour du sommet du G8 qui s'est tenu en Irlande. Le chef de l'Etat qui a donné une
communication sur la transaction foncière, s’est fait le porte-voix de tout un continent :
« La terre doit être équitablement partagée (…) les terres doivent
servir au développement », a préconisé, dans les colonnes du quotidien Le
Soleil, le président Sall qui s’est félicité de compter dans sa délégation le président de la
Commission nationale de Réforme foncière, Me Doudou Ndoye.
32 Commentaires
Khel
En Juin, 2013 (10:14 AM)Diaw
En Juin, 2013 (10:19 AM)Fana
En Juin, 2013 (10:20 AM)Diop
En Juin, 2013 (10:24 AM)Kenzo34000
En Juin, 2013 (10:26 AM)X
En Juin, 2013 (10:29 AM)Dxb
En Juin, 2013 (10:36 AM)Diayouma , abalé wouma ,
Bayiléen sunu souf
Sunu suuf sunu bakane.
Fanaay néna mo bagne.
Affaire Bou Graw
En Juin, 2013 (10:41 AM)Alphaone
En Juin, 2013 (10:42 AM)Mais ça ne marche que dans un état, qui n’a pas signé de traités commerciaux internationaux.
Les promoteurs avais trouvé la parade, fonder une société de droit Suisse qui achète le terrain, puis revends des parts de société aux plus offrants.
C'est légal et inattaquable.
Ou alors compter sur le patriotisme des politiques et des citoyens, mais là ...... !
Déjà avec la législation CDEAO ce n'est pas vraiment faisable, surtout si, il s'agit de fortes sommes d'argent.
Anta
En Juin, 2013 (10:49 AM)Dom Rewimi
En Juin, 2013 (10:54 AM)Coumbistar
En Juin, 2013 (11:23 AM)27
En Juin, 2013 (11:27 AM)Pepes
En Juin, 2013 (11:37 AM)Naby Laye
En Juin, 2013 (11:40 AM)Citoyen
En Juin, 2013 (12:14 PM)@nationalisme Senegalais
En Juin, 2013 (12:20 PM)Peuls,
En Juin, 2013 (12:28 PM)Peuls,
En Juin, 2013 (13:20 PM)Le Digne Fils D'afrique
En Juin, 2013 (14:04 PM)SEM Laurent GBAGBO, président de la république de Côte-d'Ivoire injustement détenu à la haye par les intérêts mafieux occidentaux qui ont installé la marionnette ouattara.
Sétou Bour
En Juin, 2013 (14:21 PM)Le Senegal Avec Gbagbo
En Juin, 2013 (15:32 PM)Selon des experts américains: La Côte d’Ivoire vers la faillite
Selon des experts américains: La Côte d’Ivoire vers la faillite
« La Côte d'Ivoire 2013 est en état de banqueroute et la faillite aux portes du pays ». Telle est la terrible conclusion à laquelle viennent d’aboutir les études d’experts américains sur l’économie des pays africains dits émergeants. Selon les conclusions de ces études, notre pays occupe le 24ème rang sur 48 en termes d’indice d’«attractivité des investissements », juste après la Lybie (23ème) et avant le Sénégal (25ème). L‘Afrique su Sud étant le 1er pays « attractif ». En termes de « Risques pays pour les investisseurs », la Côte d’Ivoire s’octroie 12 points et occupe le 26ème rang sur 54, ce qui signifie un risque très élevé…
C’est sur la base des données de l’année 2012 que ces experts américains de l’Economie mondiale ont donné la catastrophique nouvelle sur la Côte d’Ivoire. Pour justifier cette grave révélation pour l’économie ivoirienne, ces experts brandissent des notations très techniques appliquées à notre pays. Ainsi, selon ces experts, en termes « d’Attractivité d'investissements », la Côte d’Ivoire est notée CC. Dans leur jargon, cette note équivaut à « une pauvre image » ; En termes de « Risques d’investissement », la Côte d’Ivoire est sanctionnée de la notation DDD, ce qui équivaut à « un risque élevé, voire « un état de banqueroute ».
Pour juger de l’attractivité de l’économie, l’observation, par ces experts américains, a pris en compte les facteurs suivants : « l'état de la liberté et de l'éthique publique ; l'efficacité du gouvernement ; l’indépendance de la magistrature ; l'éthique des affaires, les établissements publics de qualité ; l'éducation de base et la santé des populations ; la qualité professionnelle du travail », etc. Enfin, pour juger du risque investissement, ils ont pris en compte les facteurs d’indignité que sont « la Corruption ; la Division élite ; la cohésion sociale ; la population de pression (sic) ; les antagonismes communautaires ; l’insécurité ; la bureaucratie et l’inefficacité gouvernementales ; le taux de chômage des jeunes », etc. Autant de boulets d’indignité que traînent le gouvernement de « ADO-La Solution » à tous nos problèmes, depuis plus de deux ans.
Les experts qui font ces révélations sur l’économie de notre pays appartiennent, selon la note dont Notre Voie a obtenu copie, à l’organisme américain dénommé Global Rating Services. C’est une agence de notation basée aux Etats-Unis et qui vient de publier le premier classement sur la perception de l’attractivité et du risque d’investissement dans 48 des 54 pays que compte le continent africain (voir tableaux joints). Toujours selon cette note, l'indice d'évaluation de Global Rating Services dans le domaine de « l’attractivité des investissements directs étrangers et des facteurs de risque des pays émergents africains » est une vue perspicace opérée sur l’économie de ces pays par les investisseurs internationaux. Le travail prendrait en compte une analyse approfondie et objective des divers facteurs de risque et la confiance des investisseurs dans l'économie de ces pays dits de l'Afrique émergente.
Ce qu’il convient d’en retenir est que quand il s'agit de pays africains émergents, même s'ils offrent un rendement élevé des investissements, la confiance des investisseurs internationaux et les facteurs de risque sont principalement déterminants pour une vision pré-analytique du système économique et politique de ces pays, ainsi que pour la qualité à la fois de leur leadership politique et de leur gouvernance pratique. Cette perception des Investissements étrangers directs en rapport avec l’attractivité est d'une importance capitale dans le processus de prise de décision par un investisseur étranger avant d'engager son argent dans les affaires du pays concerné. Il en va de même pour les fonctionnaires nationaux de pays chargés de la promotion des investissements afin de mieux comprendre et de corriger les obstacles aux investissements directs étrangers dans leurs économies émergentes respectives. Les indices publiés dans ce rapport éclairent utilement sur ces défis à relever pour les décideurs des pays épinglés.
Mulatresse
En Juin, 2013 (15:33 PM)Bams
En Juin, 2013 (18:22 PM)Leuk
En Juin, 2013 (18:47 PM)Je Vous Previens
En Juin, 2013 (18:56 PM)Ridicule
En Juin, 2013 (18:57 PM)Leuk
En Juin, 2013 (19:10 PM)Le Senegal Digne
En Juin, 2013 (19:26 PM)Borodee
En Juin, 2013 (21:10 PM)Mane Moussa
En Juin, 2013 (22:13 PM)Kaab Bin Malik
En Juin, 2013 (00:15 AM)Participer à la Discussion