
Après le succès de ses précédentes éditions, l’Africa Political Outlook revient à Bruxelles pour sa troisième mouture les 25 et 26 mars 2025. Ce sommet réunira des décideurs politiques, économiques, diplomatiques et industriels de haut vol. Au cœur des débats : la crise du multilatéralisme, la remilitarisation des puissances, l’avenir du développement international, les priorités du partenariat Europe-Afrique et les financements alternatifs face à la baisse des investissements solidaires.
Dans un monde marqué par une recomposition accélérée des alliances et des équilibres, l’Afrique doit tracer sa propre voie pour maintenir sa dynamique de transformation. « Le multilatéralisme tel que nous l’avons connu appartient au passé », martèle Adébissi Djogan, fondateur et directeur exécutif de l’Africa Political Outlook. « L’Afrique doit inventer ses propres modèles, affirmer sa voix et s’imposer souverainement dans ce nouvel ordre international pour continuer à peser », ajoute-t-il, face au désengagement progressif des grandes puissances, au retour de l’isolationnisme et à l’affaiblissement des cadres multilatéraux.
L’APO se veut un laboratoire de dialogue-action et de coalitions hybrides. Le 25 mars sera dédié au sommet, tandis que le 26 réunira, à huis clos, une trentaine de leaders pour aborder transformation économique et partenariats alternatifs dans un contexte de raréfaction des financements internationaux. Parmi les temps forts : un dialogue Nord-Sud entre gouvernements et institutions multilatérales, une discussion stratégique entre les Commissions de l’Union européenne et de l’Union africaine, un focus sur l’aide au développement avec des agences comme l’AFD, la GIZ et Enabel, ainsi que des échanges sur l’IA, l’énergie, les minéraux critiques, le conflit en RDC et l’essor des BRICS+.
L’événement accueillera des figures majeures : Younous Omarjee (vice-président du Parlement européen), Moussa Batraki (secrétaire général de l’OEACP), Najat Maalla M’jid (ONU), Ahmedou Ould-Abdallah (ex-ONU), Mamadou Tangara (Gambie), Jean Van Wetter (Enabel), Myriam Dossou (Togo), Albert Pahimi Padacké (ex-Tchad), Jean-Yves Ollivier (Fondation Brazzaville), Christophe Guilhou (France), Zinhle Mandela-Dlamini (Newshelf), Mathieu Briens (SEAE), Papa Amadou Sarr (AFD) et Sanoussi Bilal (ECDPM).
Dans un monde marqué par une recomposition accélérée des alliances et des équilibres, l’Afrique doit tracer sa propre voie pour maintenir sa dynamique de transformation. « Le multilatéralisme tel que nous l’avons connu appartient au passé », martèle Adébissi Djogan, fondateur et directeur exécutif de l’Africa Political Outlook. « L’Afrique doit inventer ses propres modèles, affirmer sa voix et s’imposer souverainement dans ce nouvel ordre international pour continuer à peser », ajoute-t-il, face au désengagement progressif des grandes puissances, au retour de l’isolationnisme et à l’affaiblissement des cadres multilatéraux.
L’APO se veut un laboratoire de dialogue-action et de coalitions hybrides. Le 25 mars sera dédié au sommet, tandis que le 26 réunira, à huis clos, une trentaine de leaders pour aborder transformation économique et partenariats alternatifs dans un contexte de raréfaction des financements internationaux. Parmi les temps forts : un dialogue Nord-Sud entre gouvernements et institutions multilatérales, une discussion stratégique entre les Commissions de l’Union européenne et de l’Union africaine, un focus sur l’aide au développement avec des agences comme l’AFD, la GIZ et Enabel, ainsi que des échanges sur l’IA, l’énergie, les minéraux critiques, le conflit en RDC et l’essor des BRICS+.
L’événement accueillera des figures majeures : Younous Omarjee (vice-président du Parlement européen), Moussa Batraki (secrétaire général de l’OEACP), Najat Maalla M’jid (ONU), Ahmedou Ould-Abdallah (ex-ONU), Mamadou Tangara (Gambie), Jean Van Wetter (Enabel), Myriam Dossou (Togo), Albert Pahimi Padacké (ex-Tchad), Jean-Yves Ollivier (Fondation Brazzaville), Christophe Guilhou (France), Zinhle Mandela-Dlamini (Newshelf), Mathieu Briens (SEAE), Papa Amadou Sarr (AFD) et Sanoussi Bilal (ECDPM).
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