Constater la situation d’un bon nombre de Sénégalais vivant au Gabon. Avec la conjoncture économique du pays, les contrôles de police intensifs, il devient de plus en plus difficile pour ces jeunes, ces pères et mères de familles sénégalaises vivant au Gabon de s’en sortir dignement. La difficulté est d’autant plus grande, qu’ils peinent même à rentrer au pays. Ce sont des personnes qui ont beaucoup fait pour leurs familles et leur pays. Il est temps que ce pays tant chéri leur tende une perche !
C’est ainsi que nous lançons un appel au Président de la République du Sénégal, son excellence Macky Sall, afin qu’il puisse mettre en place un dispositif pour aider ces Sénégalais à rentrer au bercail a conclu Oumar Sow, responsable Cojer Gabon.
10 Commentaires
Pffff
En Mai, 2016 (15:05 PM)Le Critique
En Mai, 2016 (15:05 PM)Beaucoup des pays où vont nos compatriotes envient les Sénégalais pour la sécurité, la stabilité, les libertés, connues a notre pays, mais non, nos compatriotes eux vont se fourguer dans le pétrin,
Certes, en toutes circonstances , nous devons aide et assistance a nos compatriotes, mais disons nous et surtout disons leur la vérité : lorsque l'Etat du Sénégal leur vient en aide, pour un rapatriement et tout ce qui peut leur etre donné, c'est avec l'argent des contribuables Sénégalais c'est a dire ceux qui sont restés au pays, travaille, trime, pour que l'Etat puissent dégager les ressources nécessaires pour faire face a cela et au détriment d'autres charges.
Quand bien ce seraient, comme l'on pense trop souvent, sur les fonds politiques de la Présidence de la République ou sur le budget meme de la Présidence, ce n'est pas , en tout cas, la magnanimité du Président de la République, parceque ce n'est pas de son salaire, mais c'est bien la sueur des contribuables restes au pays.
En dehors de ces cas douloureux, il y a toute une démagogie entretenue par nos professionnels de la politique et vis à vis de nos compatriotes expatriés : la réalité objective et économique est lorsque l'on est expatrie, on contribue a l'enrichissement du pays ou l'on vit, en y payant les impôts et taxes, de son salaire, de son loyer, de ses consommations!
A contrario donc, on ne paie strictement rien pour son pays d'origine dont on ne participe pas donc a son développement : ceci est valable pour tout expatrié de tout pays et de tout continent.
Alors lorsque l'on voit certaines demandes, de certains de nos compatriotes, et je ne parle pas de cas de détresse, de cette demande de secours, mais de demandes de terrains, de logements, de fonds pour investir et que nos professionnels de la politique, pour des raisons électoralistes, écoutent, entendent sans faire la mise au point nécessaire, la leçon ou en tout cas la clarification, on comprend qu'il y ait constamment malentendu !
Il faut mettre un terme à la démagogie et faire de la pédagogie le plus souvent possible : éduquer son peuple est œuvre utile et salutaire.
Anonymerew
En Mai, 2016 (15:46 PM)Le Baron
En Mai, 2016 (16:38 PM)Anonymerew
En Mai, 2016 (17:47 PM)Anonyme
En Mai, 2016 (21:31 PM)Anonyme
En Mai, 2016 (07:27 AM)Vous faites vos affaires, c'est bien et essayez de nourrir vos familles. C'est toujours bien.
Lors de vos séjours, vous insultez les ambassadeurs, consuls généraux, ministres, directeurs qui viennent à votre rencontre.
Quand ça pète, vous cherchez refuge et exiger que l'Etat organise votre retour, vous indemnise et vous assiste.
Bande de cons, débrouillez vous. L'Etat gère ceux qui sont au pays.
Par ailleurs, c'est le moment de signaler l'échec de l'Etat dans sa politique d'assistance des émigrés. Aller chercher ailleurs, et demander à son gouvernement des financements, c'est fou.
On aurait compris des mesures d'incitation à l'exportation telles que des subventions et autres, mais un sénégalais de l'Extérieur qui est incapable de se payer du pain beurré est un microbe.
Quand ça pète, vos familles vous chassent et vous traitent comme des diables au retour.
Hm1
En Mai, 2016 (14:01 PM)Un petit souci : le Somaliland et le Puntland ont chacun signé des contrats d’exploration sur cette zone frontalière, occupée par le sous-clan des Dolbahante.
Bataille juridique en vue également : le gouvernement somalien avait accordé des zones de prospection à plusieurs sociétés pétrolières durant les années 80. Certaines ont disparu du secteur, mais d’autres (Chevtex, Amoco) restent à l’affût, attendant les jours plus tranquilles pour faire valoir leurs droits EFFET MIROIR HM1
Le Somaliland, ancien protectorat britannique, s’est auto-proclamé indépendant le 18 mai 1991 après une guerre longue et violente contre le dictateur Mohamed Siad Barré. Aucun pays n’a reconnu le Somaliland, mais l’Ethiopie y dispose d’un consulat, et le Danemark d’une mission diplomatique fin hm1
Anonyme
En Mai, 2016 (15:13 PM)Anonyme
En Mai, 2016 (17:53 PM)Participer à la Discussion