
Sous l’égide de Amnesty international, ces Centrafricains ont manifesté leur inquiétude face à l’escalade de la violence dans leur pays. Couchés à même le sol, observant un silence assez long, ils ont véhiculé des messages visibles sur des pancartes brandies : « Il faut protéger de toute urgence les civils ». Ou encore : L’Union européenne et l’Union africaine ne doivent pas manquer à leurs obligations envers les populations civiles en Centrafrique », entre autres invites.
(Texte : Le Quotidien)
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