Le préident de l’Assemblée nationale du Sénégal, Moustapha Niasse, et son homologue du Parlement de la Fédération de Wallonie-Bruxelles, Philippe Courard, ont pris vendredi l’engagement de travailler au renforcement de la protection juridique des mineurs dans leurs deux pays.
" L’avenir, c’est la jeunesse, elle doit être protégée, la protection juridique des mineurs fait partie des axes essentiels de l’investissement de ce régime actuel", a déclaré Moustapha Niasse.
Il s’exprimait au deuxième jour du comité mixte entre le
Parlement de la communauté française de Belgique/Fédération de Wallonie-Bruxelles et l’Assemblée nationale du Sénégal. Cette rencontre se poursuit jusqu’à dimanche, à Dakar.
" Ce sera mentionné dans le protocole d’accord que nous allons signer. Il y a l’intérêt en termes d’accompagnement, de protection de leurs droits’’ en vue d’en faire "des citoyens et citoyennes conscients de leurs responsabilités et bénéficiant de leurs droits", a encore souligné M. Niasse.
Selon le président du Parlement de la Fédération Wallonie-Bruxelles, Philippe Courard, " les enfants, que ce soit au Sénégal ou en Belgique, c’est notre priorité ". " Il est important que leur protection juridique soit renforcée. C’est pourquoi tous les professionnels qui s’occupent d’eux doivent être formés et sensibilisés", a-t-il dit.
Le projet de renforcement de la protection juridique des mineurs, fruit de la coopération entre les deux parties, a a été inscrit à l’ordre du jour de ce comité mixte.
Il a été présenté aux députés par le directeur du Centre de formation judiciaire (CFJ), Mamadou Diakhaté, en charge de sa gestion.
Ce projet a été mis en place en 2002, "dans un contexte de défaut de formation spécialisée dans la prise en charge des mineurs en conflit avec la loi ou en danger", a expliqué M. Diakhaté.
Il cible "les magistrats, les éducateurs spécialisés, les officiers de police, les gendarmes, les assistants sociaux avec des axes de formation sur le cadre normatif de la protection des mineurs, la justice des mineurs, les aspects médico-psychosociaux de la prise en charge des enfants et le rôle des acteurs dans cette prise en charge", a-t-il précisé.
Depuis 2002, a-t-il conlu, "l’interdisciplinarité a été développée entre les différents acteurs et en perspective, ce projet ambitionne de promouvoir la médiation comme règlement amiable
des conflits familiaux".
SKS/BK
" L’avenir, c’est la jeunesse, elle doit être protégée, la protection juridique des mineurs fait partie des axes essentiels de l’investissement de ce régime actuel", a déclaré Moustapha Niasse.
Il s’exprimait au deuxième jour du comité mixte entre le
Parlement de la communauté française de Belgique/Fédération de Wallonie-Bruxelles et l’Assemblée nationale du Sénégal. Cette rencontre se poursuit jusqu’à dimanche, à Dakar.
" Ce sera mentionné dans le protocole d’accord que nous allons signer. Il y a l’intérêt en termes d’accompagnement, de protection de leurs droits’’ en vue d’en faire "des citoyens et citoyennes conscients de leurs responsabilités et bénéficiant de leurs droits", a encore souligné M. Niasse.
Selon le président du Parlement de la Fédération Wallonie-Bruxelles, Philippe Courard, " les enfants, que ce soit au Sénégal ou en Belgique, c’est notre priorité ". " Il est important que leur protection juridique soit renforcée. C’est pourquoi tous les professionnels qui s’occupent d’eux doivent être formés et sensibilisés", a-t-il dit.
Le projet de renforcement de la protection juridique des mineurs, fruit de la coopération entre les deux parties, a a été inscrit à l’ordre du jour de ce comité mixte.
Il a été présenté aux députés par le directeur du Centre de formation judiciaire (CFJ), Mamadou Diakhaté, en charge de sa gestion.
Ce projet a été mis en place en 2002, "dans un contexte de défaut de formation spécialisée dans la prise en charge des mineurs en conflit avec la loi ou en danger", a expliqué M. Diakhaté.
Il cible "les magistrats, les éducateurs spécialisés, les officiers de police, les gendarmes, les assistants sociaux avec des axes de formation sur le cadre normatif de la protection des mineurs, la justice des mineurs, les aspects médico-psychosociaux de la prise en charge des enfants et le rôle des acteurs dans cette prise en charge", a-t-il précisé.
Depuis 2002, a-t-il conlu, "l’interdisciplinarité a été développée entre les différents acteurs et en perspective, ce projet ambitionne de promouvoir la médiation comme règlement amiable
des conflits familiaux".
SKS/BK
2 Commentaires
Titen
En Novembre, 2015 (20:26 PM)Loumo
En Novembre, 2015 (15:32 PM)Participer à la Discussion