La société chinoise CRSG Automobile livre sa part de vérité. Dans cette affaire d’évasion fiscale portant sur 9,031 milliards de F CFA, elle s’est lavée à grande eau.
C’est ainsi qu’elle a fait une «déclaration de clarification» afin de démentir les informations relayées ce lundi 13 septembre par plusieurs médias et s’expliquer sur les tenants et les aboutissants de ce dossier.
D’emblée, les responsables de l’entreprise ont fait savoir, pour le regretter : «Aujourd’hui, la réputation de CRSG Automobile a été gravement endommagée par des déclarations fausses sur certaines informations dans la presse écrite et en ligne. Il est urgent de clarifier les faits. Les nouvelles selon lesquelles ‘’CRSG Automobile a été épinglée par la douane concernant 9,031 milliards F CFA qu'elle aurait transférés pour échapper à l'impôt’’ sont fausses».
A les en croire, ce montant total représente la somme des comptes débiteurs impayés, en sus du montant des comptes créditeurs non-recouverts. «L’origine précise est la suivante : la douane considère que la société CRSG Automobile n’a pas réglé tous les paiements des matériels importés aux fournisseurs chinois dans les 30 jours, avec un montant accumulé, soit six milliards F CFA et aussi n’a pas reçu tous les paiements dus de ses clients dans les 30 jours avec un montant accumulé, soit trois milliards F CFA», soutiennent-ils.
Avant de poursuivre : «Les reportages dans la presse écrite et en ligne selon lesquels ‘’le directeur adjoint Xin Zhao a reconnu s'être livré à une évasion fiscale, avant de solliciter, par écrit, un règlement transactionnel’’, est faux. La réalité est que notre directeur adjoint, Xin Zhao, a été menacé de signer le procès-verbal sans avoir été autorisé à en connaître le contenu.»
De plus, dira CRSG Automobile, «les douaniers lui ont interdit de quitter la salle, de téléphoner et de contacter notre avocat pendant cette période. Et la copie du procès-verbal nous a été remise en échange de la saisie du passeport de Xin Zhao. Par la suite, nous avons envoyé d’urgence une lettre de dénonciation aux douanes».
D’ailleurs, fait-elle noter dans ladite déclaration, «notre société a fermement nié ce qui concerne le "blanchiment d’argent" mentionné dans les actualités en ligne. Toutes les activités de la société CRSG Automobile respectent la loi et la réglementation du Sénégal».
Et d’arguer : «Nous sommes une société d’investissement. Nous avons créé de nombreuses opportunités d’emplois dans les dernières années, surtout dans les deux dernières années de Covid-19. En outre, elle a également contribué de manière significative dans la lutte contre l’épidémie en persistant à rémunérer nos employés pendant cette période.»
Pour finir, l’entreprise a laissé entendre qu’afin «de protéger nos droits légitimes, nous nous réservons d’autres moyens légaux pour défendre nos droits légitimes». «Nous le déclarons par la présente !», signe la CRSG Automobile.
C’est ainsi qu’elle a fait une «déclaration de clarification» afin de démentir les informations relayées ce lundi 13 septembre par plusieurs médias et s’expliquer sur les tenants et les aboutissants de ce dossier.
D’emblée, les responsables de l’entreprise ont fait savoir, pour le regretter : «Aujourd’hui, la réputation de CRSG Automobile a été gravement endommagée par des déclarations fausses sur certaines informations dans la presse écrite et en ligne. Il est urgent de clarifier les faits. Les nouvelles selon lesquelles ‘’CRSG Automobile a été épinglée par la douane concernant 9,031 milliards F CFA qu'elle aurait transférés pour échapper à l'impôt’’ sont fausses».
«Notre directeur adjoint, Xin Zhao, a été menacé de signer le procès-verbal sans avoir été autorisé à…»
A les en croire, ce montant total représente la somme des comptes débiteurs impayés, en sus du montant des comptes créditeurs non-recouverts. «L’origine précise est la suivante : la douane considère que la société CRSG Automobile n’a pas réglé tous les paiements des matériels importés aux fournisseurs chinois dans les 30 jours, avec un montant accumulé, soit six milliards F CFA et aussi n’a pas reçu tous les paiements dus de ses clients dans les 30 jours avec un montant accumulé, soit trois milliards F CFA», soutiennent-ils.
Avant de poursuivre : «Les reportages dans la presse écrite et en ligne selon lesquels ‘’le directeur adjoint Xin Zhao a reconnu s'être livré à une évasion fiscale, avant de solliciter, par écrit, un règlement transactionnel’’, est faux. La réalité est que notre directeur adjoint, Xin Zhao, a été menacé de signer le procès-verbal sans avoir été autorisé à en connaître le contenu.»
De plus, dira CRSG Automobile, «les douaniers lui ont interdit de quitter la salle, de téléphoner et de contacter notre avocat pendant cette période. Et la copie du procès-verbal nous a été remise en échange de la saisie du passeport de Xin Zhao. Par la suite, nous avons envoyé d’urgence une lettre de dénonciation aux douanes».
«Afin de protéger nos droits légitimes, nous nous réservons d’autres moyens légaux pour défendre nos droits légitimes»
D’ailleurs, fait-elle noter dans ladite déclaration, «notre société a fermement nié ce qui concerne le "blanchiment d’argent" mentionné dans les actualités en ligne. Toutes les activités de la société CRSG Automobile respectent la loi et la réglementation du Sénégal».
Et d’arguer : «Nous sommes une société d’investissement. Nous avons créé de nombreuses opportunités d’emplois dans les dernières années, surtout dans les deux dernières années de Covid-19. En outre, elle a également contribué de manière significative dans la lutte contre l’épidémie en persistant à rémunérer nos employés pendant cette période.»
Pour finir, l’entreprise a laissé entendre qu’afin «de protéger nos droits légitimes, nous nous réservons d’autres moyens légaux pour défendre nos droits légitimes». «Nous le déclarons par la présente !», signe la CRSG Automobile.