
Porté sur les fonts baptismaux, le Rassemblement des travailleurs du Sénégal (Rts) regroupe plus de 3000 travailleurs. Ces derniers, repris par Enquête, se disent tous «licenciés abusivement par le nouveau régime».
Boubacar Fall, le coordonnateur du Rts, et Cie rejettent les raisons invoquées par leur employeur. «Plus de 3000 salariés licenciés déjà répertoriés dans différentes structures étatiques et privées sous le fallacieux motif de licenciement économique. Si ces managers n’arrivent pas à trouver des solutions outre que le licenciement, c’est qu’ils ne sont pas à la bonne place ou ils veulent simplement faire de la politique», crache l'ancien agent de Dakar Dem Dikk (Ddd).
Fall d'embrayer : «Licencier pour recruter des militants de Pastef. Quelle déshumanisation ! Dans d’autres pays, l’État se glorifie du plein emploi et de la réduction du taux de chômage, ici c’est le contraire. Ce nouveau régime est là depuis bientôt un an, le seul record battu est le taux de licenciement.»
Parmi les personnes concernées, liste-t-il, il y a «le Port de Dakar, la Lonase, Saf Industries, la Sapco, le Fongip, la Promise, Ddd, le Fera, l’Onas, Efd (Base française), la Cdc-habitat, le ministère des Mines et du Pétrole, la Direction de l’emploi», entre autres.
Hors de lui, Fall relève que «l'Aibd compte licencier 500 travailleurs».
Boubacar Fall, le coordonnateur du Rts, et Cie rejettent les raisons invoquées par leur employeur. «Plus de 3000 salariés licenciés déjà répertoriés dans différentes structures étatiques et privées sous le fallacieux motif de licenciement économique. Si ces managers n’arrivent pas à trouver des solutions outre que le licenciement, c’est qu’ils ne sont pas à la bonne place ou ils veulent simplement faire de la politique», crache l'ancien agent de Dakar Dem Dikk (Ddd).
Fall d'embrayer : «Licencier pour recruter des militants de Pastef. Quelle déshumanisation ! Dans d’autres pays, l’État se glorifie du plein emploi et de la réduction du taux de chômage, ici c’est le contraire. Ce nouveau régime est là depuis bientôt un an, le seul record battu est le taux de licenciement.»
Parmi les personnes concernées, liste-t-il, il y a «le Port de Dakar, la Lonase, Saf Industries, la Sapco, le Fongip, la Promise, Ddd, le Fera, l’Onas, Efd (Base française), la Cdc-habitat, le ministère des Mines et du Pétrole, la Direction de l’emploi», entre autres.
Hors de lui, Fall relève que «l'Aibd compte licencier 500 travailleurs».
6 Commentaires
c est fini ça
Irving
il y a 3 heures (13:08 PM)Dj Khimeur
il y a 3 heures (13:15 PM)Wangrin Poulo
il y a 1 heure (14:55 PM)- Dans quelle conditions ils ou elles sont recruté(es) , y a-t-il eu un appel à candidatures dans les médias ?
- Est ce les postes qu'ils occupent sont utiles aux entreprises concernées ( question d'efficience)
- Est-ce que chacun/e occupe un poste en lien avec ses compétences?
- Est-ce que la personne est qualifiée pour le poste qu'elle occupe ?
- Quelles sont ces performances ?
C'est à l'aune de l'examen de ces questions et d'autres que l'occupant (e) d'un poste est maintenu(e) ou viré(e)
Dans les cas d'espèce, le mal que le gros des "travailleurs" est recruté sur une base:
- politicienne
- népotique et/ou corruption
- de cuisses ( recrutement canapé)
Et, alors pour ces cas toxiques, il faut s'en débarrasser pour le bien de l'entreprise de l'institution du Senegal tout court.
Participer à la Discussion