Certaines banques travaillent à mettre en place des modèles économiques qui entraînent une amélioration du bien-être humain et de l’équité sociale tout en réduisant de manière significative les risques environnementaux et la pénurie de ressources. C’est le cas de la Banque Africaine de Développement qui veut jouer un rôle d’avant-garde dans la lutte contre le changement climatique sur le continent. « Pour aider le continent à tenir ses promesses, le Conseil d'administration de la BAD a approuvé une Stratégie décennale (SD) pour la période 2013- 2022, visant à stimuler la capacité du continent à s’inscrire dans une dynamique de croissance inclusive et à amorcer la transition vers une croissance verte », lit-on dans les termes de références d’un atelier sur la finance verte et l’engagement de la Bad.
Il s'agit, mentionne le document, de s’appuyer sur cinq priorités. Entre autres, éclairer et fournir de l’énergie, nourrir, industrialiser, intégrer l’Afrique, et améliorer la qualité de vie des Africains. L’idée étant de leur permettre de s’adapter au changement climatique tout en réduisant les émissions des gaz à effet de serre par le biais d’un certain nombre d’actions concrètes. En effet, la BAD s’est clairement prononcée sur sa volonté d’investir davantage sur les énergies renouvelables en Afrique et héberge plusieurs fonds et initiatives sur le climat.
A titre illustratif, la part des financements de la BAD dans la lutte contre les changements climatiques est passée de 9 % à 35 % entre 2016 et 2019 pour atteindre 40 % en 2021. En outre, sa contribution à la lutte contre le changement et l’adaptation climatiques est passée de 32 % en 2018 à 63 % 2020. En 2019, elle s’est engagée à abandonner le financement du charbon et a considérablement réorienté ses investissements dans les énergies renouvelables.
Enfin, la banque s’est engagée à investir 25 milliards de dollars dans le financement de la lutte contre les changements climatiques dans les quatre prochaines années.
Il s'agit, mentionne le document, de s’appuyer sur cinq priorités. Entre autres, éclairer et fournir de l’énergie, nourrir, industrialiser, intégrer l’Afrique, et améliorer la qualité de vie des Africains. L’idée étant de leur permettre de s’adapter au changement climatique tout en réduisant les émissions des gaz à effet de serre par le biais d’un certain nombre d’actions concrètes. En effet, la BAD s’est clairement prononcée sur sa volonté d’investir davantage sur les énergies renouvelables en Afrique et héberge plusieurs fonds et initiatives sur le climat.
A titre illustratif, la part des financements de la BAD dans la lutte contre les changements climatiques est passée de 9 % à 35 % entre 2016 et 2019 pour atteindre 40 % en 2021. En outre, sa contribution à la lutte contre le changement et l’adaptation climatiques est passée de 32 % en 2018 à 63 % 2020. En 2019, elle s’est engagée à abandonner le financement du charbon et a considérablement réorienté ses investissements dans les énergies renouvelables.
Enfin, la banque s’est engagée à investir 25 milliards de dollars dans le financement de la lutte contre les changements climatiques dans les quatre prochaines années.
3 Commentaires
Merci
En Octobre, 2021 (22:05 PM)Ababacar Sadikh Niang Substit
En Octobre, 2021 (07:01 AM)pour la réalité, c'est juste le contraire
Sur le continent africain, on ignore ce que veut dire la propreté, la modération
c'est dégueulasse partout
les promesses n'engagent que ceux qui les font.
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