Woodside a revu ses plans. L’opérateur australien, qui exploite le champ pétrolier de Sangomar, à 100 km au sud de Dakar, avait prévu de produire le premier baril de pétrole du Sénégal fin 2023. Désormais, l’échéance est fixée à juin 2024.
Dans un communiqué, largement repris par la presse, notamment Les Échos, Woodside explique que l’ajustement de son calendrier est dû à des travaux de réparation, nécessaires, sur un FPSO (Flottant de production, de stockage et de déchargement) du projet.
«Nous avons pris la décision prudente de faire effectuer les travaux de réparation pendant que le FPSO reste en chantier naval de Singapour. Cela minimise l’impact sur le calendrier du projet car il est plus sûr, plus efficace et plus rentable que d’entreprendre les travaux au large du Sénégal», assure le PDG de Woodside, Meg O’Neill dans le communiqué.
Ce changement entraîne une hausse de 7% à 13% des coûts du projet, d’après la compagnie australienne. Ceux-ci risquant de passer, selon la même source, de 4,6 milliards de dollars (2686 milliards F CFA) à 4,9 (2868 milliards F CFA) voire 5,2 milliards de dollars (3036 milliards F CFA).
Cependant, rassure Woodside, les prévisions de production ne changent pas. Elles restent à 230 millions de barils.
Le projet global est achevé à 88% au 30 juin dernier. La campagne d’installation sous-marine était accomplie, à la même date, à 76% tandis que la portée des travaux sous-marins se situait à 95%.
Dans un communiqué, largement repris par la presse, notamment Les Échos, Woodside explique que l’ajustement de son calendrier est dû à des travaux de réparation, nécessaires, sur un FPSO (Flottant de production, de stockage et de déchargement) du projet.
«Nous avons pris la décision prudente de faire effectuer les travaux de réparation pendant que le FPSO reste en chantier naval de Singapour. Cela minimise l’impact sur le calendrier du projet car il est plus sûr, plus efficace et plus rentable que d’entreprendre les travaux au large du Sénégal», assure le PDG de Woodside, Meg O’Neill dans le communiqué.
Ce changement entraîne une hausse de 7% à 13% des coûts du projet, d’après la compagnie australienne. Ceux-ci risquant de passer, selon la même source, de 4,6 milliards de dollars (2686 milliards F CFA) à 4,9 (2868 milliards F CFA) voire 5,2 milliards de dollars (3036 milliards F CFA).
Cependant, rassure Woodside, les prévisions de production ne changent pas. Elles restent à 230 millions de barils.
Le projet global est achevé à 88% au 30 juin dernier. La campagne d’installation sous-marine était accomplie, à la même date, à 76% tandis que la portée des travaux sous-marins se situait à 95%.
14 Commentaires
Diop
En Juillet, 2023 (07:20 AM)Reply_author
En Juillet, 2023 (07:30 AM)Tant Mieux
En Juillet, 2023 (08:49 AM)Reply_author
En Juillet, 2023 (09:28 AM)Les ivoiriens l'ont bien compris. A des moments historiques ils ont gardé un Président très compétent qui est entrain de changer rapidement et radicalement le visage de la Côte d'Ivoire de façon extraordinaire.
Mais ici, les plus méchants ce sont surtout ces intellectuels et autres professionnels des universités.
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En Juillet, 2023 (10:15 AM)Reply_author
En Juillet, 2023 (08:55 AM)Reply_author
En Juillet, 2023 (08:46 AM)Fall
En Juillet, 2023 (07:41 AM)Reply_author
En Juillet, 2023 (09:08 AM)M. M. Nd
En Juillet, 2023 (08:08 AM)les mecanismes de contröle doivent se tenir en alerte.....
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En Juillet, 2023 (08:17 AM)Des Amateurs !!
En Juillet, 2023 (08:17 AM)Reply_author
En Juillet, 2023 (08:49 AM)Anonyme
En Juillet, 2023 (08:29 AM)ISS Mechanical Engineer.
,
Zne
En Juillet, 2023 (09:09 AM)Tito
En Juillet, 2023 (09:39 AM)Participer à la Discussion