
Toutefois, ce dernier qui a présidé, hier, la monnaie officielle de cette signature de convention, a tenu à attirer l’attention sur les deux faces que comportent les technologies de l’information et de la communication, précisément l’Internet. Reconnaissant d’emblée que « à travers les Tic, l’enfant vit déjà dans deux mondes, un monde réel et un monde virtuel, et il est de plus en plus appelé à intégrer ces données de l’information dans son mode de vie quotidien qui sera, en ce 21e siècle, son environnement adulte », il a aussi souligné que « l’information véhiculée est à la fois riche, diversifiée et plurielle ».
S’expliquant ainsi sur ces propos avancés, il a indiqué que « ladite information constitue une source immense de savoir et de connaissances, facilement accessible et exploitable par les enfants, comme elle peut être un facteur d’aliénation, voire de dépravation des enfants à travers les modèles de vie, les antivaleurs et les contre-valeurs qu’elle charrie ».
(source : Libération)
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