«Ces mouvements d’humeur se répertorient négativement dans l’enseignement. Les cours sont bafoués. Les profs ne terminent jamais les programmes», fustige un étudiant de l’Ucad, en réaction au bras de fer entre le Saes et le gouvernement à l’origine de la grève qui empêche les cours à l’université. «C’est nous qui en payons les pots cassés, avec des cartouchards à n’en point finir», déplore l’étudiant dont les propos sont recueillis dans le quotidien L’Observateur, ce matin.
Si lui et ses camarades désirent retrouver le chemin des amphis, il va leur falloir prendre leur mal en patience, le temps que le gouvernement et le Syndicat autonome des enseignants du supérieur accordent leurs violons.
«Leurs fils vivent tous en Europe, ce sont nous, les enfants de pauvres, n’ayant pas les moyens de payer nos études à l’étranger, qui sommes sacrifiés», a-t-il déploré.
23 Commentaires
Jo
En Mars, 2015 (11:54 AM)Vos professeurs grands "khar mateurs" ne se soucient pas de celà. Revendication à droite, grève à gauche; Non de grâce arrêtez. Nous avons tous besoin d'une indemnité de logements comme vous. Si tout le monde en réclamait nous serions dans quelle situation ?
Allez travailler pour mériter ce que vous gagnez xay.Tiakhane bakhoul.
Rama
En Mars, 2015 (11:58 AM)Mdl
En Mars, 2015 (12:02 PM)Lux
En Mars, 2015 (12:11 PM)Sud Quotidien: Monsieur le Président, quelles sont les quatre ou cinq priorités que vous pourriez indiquer aux Sénégalais et sur lesquelles vous souhaiteriez être jugé dans trois ou quatre ans ?
Macky Sall : Vous savez, nous avons plusieurs priorités aujourd’hui, compte tenu des urgences, mais les urgences ne doivent pas faire oublier l’essentiel. Les quatre ou cinq priorités que je voudrais lister ici et que j’ai déjà développées lors de ma campagne sont, en premier lieu, l’agriculture qui va apporter la réponse à la question de la sécurité et de l’autosuffisance alimentaires. J’aimerais, d’ici quatre à cinq ans, au terme de mon mandat, que nous puissions évaluer l’évolution de la production agricole au Sénégal, l’enrichissement des paysans par rapport au moment où je prenais fonction, et toutes les transformations structurelles dans le secteur d’ici à cette période. Bien entendu, on ne peut pas, en une année, définir des politiques de réforme, les mettre en œuvre et voir les résultats.
Le deuxième secteur-clé pour le Sénégal, reste l’énergie. D’un point de vue structurel, la question de l’énergie doit être revue pour que notre système de production soit un système moins onéreux, pour une maîtrise conséquente des énormes subventions de l’Etat au secteur. Il faut savoir que cette année, nous injectons autant d’argent que le budget du ministère de la Santé, rien que pour maintenir le prix de l’électricité à son niveau actuel ; ce n’est pas viable. Il nous faut trouver des solutions, et nous sommes en train de nous y atteler à travers le mix énergétique, la diversification des sources : en privilégiant le gaz naturel aujourd’hui, mais également le charbon, tout comme les énergies fossiles, et en ayant toujours à l’esprit, les nouveaux développements des énergies renouvelables, notamment le solaire et toutes les énergies annexes. Sur l’énergie donc, j’aimerais être jugé au terme de mon mandat.
La troisième priorité, c’est l’emploi, particulièrement celui des jeunes. Bien entendu, le développement de l’agriculture va être un facteur important, puisque c’est un secteur qui, bien entretenu, géré et modernisé, générera le plus d’emplois.
La quatrième priorité, ce sont les infrastructures. Parce qu’elles assurent les bases du développement, il y’aura les routes, les Chemins de fer que je compte reprendre et les pistes de production qui devront être les nervures qui vont retrouver le squelette structurant les grandes routes, ainsi que des autoroutes. Le projet autoroute a démarré ; j’entends le poursuivre sur les deux axes majeurs que sont : l’axe Diamniadio – Thiès – Touba, et l’axe Mbour – Kaolack – Tambacounda, plus tard.
J’ai également l’honneur d’avoir été désigné par mes pairs africains, pour diriger le NEPAD. Et là aussi, nous parlons des mêmes priorités, à savoir les infrastructures, chemins de fer, routes, énergie et agriculture, donc la sécurité alimentaire.
Je pense que, autour de l’agriculture, de l’énergie, de l’emploi des jeunes et du monde rural de façon générale, nous pourrons créer un environnement favorable qui fera que l’investissement privé va rejoindre nos efforts en matière d’investissements publics. C’est cela qui devrait à terme, marquer notre croissance.
Dom Rewimi
En Mars, 2015 (12:33 PM)Sana
En Mars, 2015 (12:36 PM)Paco
En Mars, 2015 (12:42 PM)Un-parent D'éléves
En Mars, 2015 (12:45 PM)Xeme
En Mars, 2015 (13:12 PM)Jo
En Mars, 2015 (13:25 PM)Kidal
En Mars, 2015 (13:59 PM)C le vieux monstre et macaque A Wade qui est à la base de tout.
Youssouu
En Mars, 2015 (14:13 PM)Souteneurs5
En Mars, 2015 (14:21 PM)Tchey, défendez votre patron tout en posant sur la table des arguments recevables.
Macky Saboteur
En Mars, 2015 (14:28 PM)Watt
En Mars, 2015 (15:32 PM)Watt
En Mars, 2015 (15:42 PM)Nbnjkk
En Mars, 2015 (17:28 PM)Un Parent
En Mars, 2015 (17:57 PM)Antinafekh
En Mars, 2015 (19:06 PM)Cheikh T Sall
En Mars, 2015 (21:37 PM)Sw
En Mars, 2015 (01:04 AM)Nana
En Mars, 2015 (08:13 AM)Nderboy
En Mars, 2015 (11:59 AM)il ya un autre probleme:c 'est moi ou presonne d'autre.NUL N'EST INDISPENSABLE.il faut sanctionner.s'ils vont en grve,ils ne percoivent pas de salaire.ils ne tiendront pas le coup car ils sont obnibules par l'argent....mais je reconnais que pour cela il faut avoir des corps de controle qui travaillent aussi(CONTROLER)et ce n'est pas le cas.
Participer à la Discussion