Le président de la République a appelé samedi lors d’une rencontre des enseignants de son parti, les acteurs de l’école à un consensus dans le but de trouver des solutions à la crise scolaire.
Le président de l’Alliance pour la République, par ailleurs Chef de l’Etat a présidé la cérémonie officielle de la rencontre. Le thème de cette année portait sur : "comment sortir de la crise scolaire pour une école de rupture et un enseignement de qualité au Sénégal".
5 Commentaires
Modlo
En Février, 2013 (00:18 AM)Maths
En Février, 2013 (17:41 PM)Corbeau 3496
En Février, 2013 (11:25 AM)Selon moi , il faut avoir le courage de l"affronter car le mal se trouve dans la politisation du systeme scolaire , des Universitees aux lycees.
IL faudrait que les politiciens quittent ce secteur non pas qu"ils renoncent a faire de la politique mais en dehors de cette frange de la population.
Interdire ces mouvements de soutient, ces etudiants et eleves affilier a des partis qui pour lutter contre le gouvernement utilisent cette jeunesse pour acceder a leurs fin.
Ce sont eux qui bloquent toutes les sorties de crise, qui forces ceux qui veulent etudier a aller en greve de force parceque leurs partis le veulent.
Une mesure draconnienne de ne plus les legaliser quitte a retirer le recipise du parti qui s"oppose.
L"enseignement doit etre au devant de tous pays qui pense au devolloppement ,je me rappelle un certain Leader qui disait : dis-moi qu"elle jeunesse tu et je te dirais qu"elle pays tu as.
Mais un peuple si la population ne parvient pas a etudier ni a former des cadres avec un bon niveau ce peuple ne sera jamais un peuple libre et ne pourra jamais acceder aux developpement.
Je crie tous haut partis au pouvoir comme opposition d"aller chercher leurs militants en dehors des amphies et de laisser cette jeunesse etudier et de bien se former.
En plus je voudrais aussi porter l"attention de MACKY sur la sante du senegal car nous assistons que les hopitaux senegalais sont malades.
Et pourtant selon moi il suffisait peu pour chaque hopital de region car inadmissible qu"une personne malade ne peut pas se soigner car il n"a pas les moyens.
Plus precisement dans le cas de la maladie du cancer du sein qui therorise nos soeurs qui sont obligees de payer de sommes entre 300 et 400 milles francs pour une intervention.
Chose inadmissible pour un pays d"ou le niveau de vie est comme la notre.
Arreter un peu les depences gigantesque de l"etat .
ARRETER d"acheter de nouvelles voitures pour LA PRESIDENCE ,MINISTRES ET DEPUTES et penser a depenser au moins du materiels pour nos hopitaux qui ne ressembles plus qu"a des depots de morts.
S"il vous plait MONSIEUR LE PRESIDENT aider nos soeurs contre ce fleau , founisser les hopitaux de nouveaux materielles ,aider les senegalais a se soigner
El Hadji Assane Ndiaye
En Février, 2013 (16:36 PM)Pourquoi s'alarmer M.Le Président. L'argent injecté dans le système s'élève à plus de 400 milliards de francs. Cherchez au moins et avant tout à savoir ou va cette manne financière ? Trop de missions fictives et de séminaires. Vérifiez le tout au niveau des services du contrôle financier et vous verrez les directions qui passent tout leur temps en mission au lieu de s'occuper des écoles. Voila ou va l'argent. Trop de biens mal acquis à ce niveau. A bon entendeur, salut.
Fastef
En Février, 2013 (17:42 PM)Il y a beaucoup de gens qui sont intéressés par le diplôme. tout le monde sait que le Sénégal a toujours besoin d'enseignants formés. Combien de villages ont besoin de collèges, de deuxième collèges, de lycées, et de deuxième lycées ?
Au moment où le ministre dit qu'il y a un surnombre d'enseignants, un enseignant tient deux classe à l'élémentaire, certaines classes compte près de 100 élèves, il y a des enseignants font la navette entre deux établissements. Que la FASTEF affiche nos résultats de la formation payante. Il y a des gens qui veulent faire la formation même si l'état, dans son hypocrisie, ne veut pas recruter des enseignants formés. Il y a beaucoup d'écoles privées qui ont besoin d'enseignants formés. Affichez les résultats ou rendez notre argent.
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