L’introduction des langues nationales requiert la formation des enseignants (ministre)

10 Commentaires

1. 

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   En Septembre, 2014 (07:25 AM)

   toujours des dilatoires...mais soyez surs que sans l'introduction des Langues nationales dans les ecoles l'ecole senegalaise restera toujours un Corps etranger dans la societe ...C pas diable de former les enseignants dans les Langues nationales (sa demande au plus 2 semaines) pour savoir ecrire et acquerir les elements de grammaire...Pour les manuels il ya des structures specialisees pour cela...il suffit simplement de levouloir...En plus sa va creer des emplois et generer de la plus value...regarder le Rwanda....Les peuples se battent pour avoir le droit d'être enseignes dans leurs Langues (kurdes, catalans, basques....) etc....Et nous on a nos Langues mais on a peur de les utiliser....Même si tout le monde sait que le système educatif senegalais a lamentablement ´´echoue....Le Maroc a reussi aussi une bonne Integration de larabe Avec le francais et le berbere...Mais non vous attendez la permission de la France...!!!Il faut pas saboter encore une fois ce projet              

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Thierry12
En Septembre, 2014 (07:46 AM)
vous n’êtes même pas capable d'avoir un taux de réussite de 50% au certificat d’études, certains centres se sont retrouvé avec 0 réussite. Vous ferez mieux de réorganiser le système éducatif et recruter des enseignants valable, au lieu de nous parler de réintroduction des langues nationale dans l’éducation nationale, ce qui n'a aucun intérêt. arrêtez de nous divertir
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@fans
En Septembre, 2014 (07:51 AM)
Parlez de choses que vous maitrisez...Oui, le ministre a raison. Certes, auncun pays ne s'est développé en ayant comme langue d'enseignement une langue étrangere cependant, il faut s'y préparer et ne pas faire dans la précipitation. Le Rwanda, que vous citez c'est une catastrophe, les rwandais ne parlent plus bien anglais ni francais, demander aux spécialistes de l'Education du Rwanda. Quant au Maroc, c'est encore pire. L'arabisation precipitée a été néfaste pour ce pays au point que ce pays a mis en place un plan d'urgence pour l'Education. De plus, l'arabisation est tellement une réussite, que tous ceux qui en ont les moyens envoient leurs enfants dans le privé avec en premier choix les écoles de la mission francaises nombreuses dans ce pays. Comment voulez vous que des enseignants qui ne sont pas formés soient de bons formateurs?
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Peuls Foutu
En Septembre, 2014 (07:54 AM)
Il faut enseigner en wolof au fouta
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@ministre
En Septembre, 2014 (08:27 AM)
Le ministre a raison.

Pas de précipitations il y'a des préalables qu'il faut engager



Il faut la formation des formateur et surtout il faut des dictionnaires :

- dans chacune des langues nationales elle même (équivalent du dictionnaire français)

- de la langue nationale vers les langues étrangères internationales (anglais, français, ...)
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Soul
En Septembre, 2014 (10:14 AM)
décision très salutaire!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
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Joobajubba
En Septembre, 2014 (10:27 AM)
Ce ministre travaille bien peut-être, mais il n'a rien compris à la problématique de l'enseignement des langues nationales.

D'abord, il ne s'agit pas d'enseigner ces langues jusqu'à l'université, ni d'enseigner que le wolof dans tout le territoire... Il s'agit juste de montrer aux enfants comment les mots se forment, comment faire du calcul... Et cet enseignement devrait durer deux ans au maximum pour après s'orienter vers le français.

L'expérience de la Télévision Scolaire du Sénégal a été très probante. Elle a duré six ans dont les deux premières étaient en wolof et elle concernait dix classes réparties dans le territoire... Faites des recherches sur ce projet...

Autre avantage, les classes expérimentales recevaient ces leçons en cassettes que les enseignants exploitaient après... Dommage que beaucoup de sénégalais ne connaissent pas ce projet innovant.
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Moda
En Septembre, 2014 (15:28 PM)
Je regrette que le Président Macky Sall ait parlé "jeté" cette sonde des langues nationales, au lieu de laisser le soin à une équipe technique de réfléchir murement la question. Car c'est une question extrêmement complexe. Il y a une illusion très répandue: qu'avec les langues nationales, les enfants comprendraient mieux. Demandez aux français, aux belges, partout où ils enseignent dans leur langue, si les enfants sont meilleurs avec ça. Pas évident. Un concept mathématique est complexe en lui - même dans sa construction opératoire. Ce n'est pas un problème de langue. Quelle langue pour quelle région ou quel département? Il faut éviter d'enfermer les citoyens dans des ghettos linguistiques, et de compromettre l'unité nationale.
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Partage
En Septembre, 2014 (15:31 PM)
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Moda
En Septembre, 2014 (17:17 PM)
Un fonctionnaire sérère dont les enfants apprendraient en sérère, il ferait comment pour aller travailler au Fouta où on enseignerait en poulaar? Il serait obligé de rester dans son Sine. Les Toucouleurs au Fouta, les mandingues à Sédhiou, les Sarakholés a Bakel... Les problèmes de l'école sont ailleurs.
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