Désormais, les nouveaux bacheliers ne seront plus accueillis. Après ses menaces, la Fédération des établissements privés d'enseignement supérieur (Fepes) est passée à l’acte.
«On ne parvient pas à payer nos locations, nos enseignants et le personnel. On doit de l’argent à des institutions financières, décrète Daour Niang, membre de la Fepes, interrogé par la Tfm. Face à toutes ces difficultés, on ne peut continuer.»
Dans une lettre adressée dernièrement au ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, Mary Teuw Niane, la Fepes relevait «qu’elle n’en peut plus de supporter des charges sans aucune contrepartie financière venant de l’Etat», réclamant aux autorités «de libérer, dans les meilleurs délais, les trois milliards déjà votés dans la loi de finance rectificative (Lfr) 2018».
7 Commentaires
Anonyme
En Octobre, 2018 (22:08 PM)Anonyme
En Octobre, 2018 (23:12 PM)Zami
En Octobre, 2018 (08:34 AM)Zami
En Octobre, 2018 (08:34 AM)Anonyme
En Octobre, 2018 (08:46 AM)Si les ecoles privees ne font pas payer maintenant elles risquent de pas entrer dans leurs fonds car apres les elections les caisses ne seront plus pleines et l'arrogance et les menaces vont arriver.
Ok
En Octobre, 2018 (13:26 PM)Sportif
En Octobre, 2018 (18:19 PM)Participer à la Discussion