Dans le cadre de «mesures conservatoires» prises après le scandale des notes falsifiées au département de Lettres modernes de l'Université Cheikh Anta Diop de Dakar (Ucad), Pr Alioune Badara Kandji, le Doyen de la Faculté des Lettres et des Sciences humaines (Flsh), contacté par Le Soleil, annonce le gel des inscription des étudiants impliqués dans l'affaire.
«J'ai été saisi, explique-t-il, par le chef du département de Lettres modernes sur une affaire de notes gonflées impliquant un secrétaire. Il avait falsifié les notes contre de l'argent ou des faveurs sexuelles. Une dizaine d'étudiantes sont concernées.»
L'interlocuteur du journal confie qu'«après la plainte adressée à la Division spéciale de la cybersécurité (Dsc), une entité de la Police nationale, le contrat du principal mis en cause a été [également] rompu». Mais, ce dernier est en fuite.
Son complice, un étudiant en Master 2, «qui lui dénichait ses clientes», a, lui, été cueilli à l'Aibd.
«Cet étudiant complice se trouvait hors du pays, lors de l'éclatement de l'affaire. Quand nous avons reçu l'information de son implication, nous avons saisi l'université d'accueil [en Allemagne] pour lui demander de rompre le partenariat et de le faire revenir. Lui aussi, son inscription a été gelée», détaille Kandji. Qui tient à rassurer l'opinion.
«Les notes ont toujours été bien sécurisées au sein de notre faculté. D'ailleurs, c'est ce qui nous a permis de découvrir ce scandale. Nous faisons régulièrement des vérifications», garantit-il.
«J'ai été saisi, explique-t-il, par le chef du département de Lettres modernes sur une affaire de notes gonflées impliquant un secrétaire. Il avait falsifié les notes contre de l'argent ou des faveurs sexuelles. Une dizaine d'étudiantes sont concernées.»
L'interlocuteur du journal confie qu'«après la plainte adressée à la Division spéciale de la cybersécurité (Dsc), une entité de la Police nationale, le contrat du principal mis en cause a été [également] rompu». Mais, ce dernier est en fuite.
Son complice, un étudiant en Master 2, «qui lui dénichait ses clientes», a, lui, été cueilli à l'Aibd.
«Cet étudiant complice se trouvait hors du pays, lors de l'éclatement de l'affaire. Quand nous avons reçu l'information de son implication, nous avons saisi l'université d'accueil [en Allemagne] pour lui demander de rompre le partenariat et de le faire revenir. Lui aussi, son inscription a été gelée», détaille Kandji. Qui tient à rassurer l'opinion.
«Les notes ont toujours été bien sécurisées au sein de notre faculté. D'ailleurs, c'est ce qui nous a permis de découvrir ce scandale. Nous faisons régulièrement des vérifications», garantit-il.
13 Commentaires
Leral
il y a 2 jours (08:37 AM)Loup
il y a 2 jours (08:41 AM)Confiez ce dossier tous les membres de BBY en fuite , ilba les extrader
Lbilo
il y a 2 jours (08:44 AM)Il travaille discrètement
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il y a trop d'étudiant-e-s dans les sections lettres et sociologie qui n'apportent strictement rien au développement du pays mais plombe le budget annuel. Ds fainéanats attardés qui avec leur bourse entretiennent leurs familles.
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Signalier
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il y a 2 jours (12:08 PM)Les sections techniques et scientifiques elles, contribuent à former de futurs employeurs, professeurs.
Kekeneo
il y a 2 jours (08:53 AM)Xxx
il y a 2 jours (09:08 AM)Xoloo
il y a 2 jours (09:27 AM)Niitte
il y a 2 jours (10:10 AM)Diouldé Thiam/ Ucad
il y a 2 jours (10:49 AM)Les agents de l’administration et les enseignants vacataires ne doivent pas saisir les notes sur la plate-forme. C’est honteux à la faculté de lettre.
Bakary
il y a 2 jours (10:56 AM)Véridique
il y a 1 jour (12:46 PM)Participer à la Discussion