
Entre les frais d’inscription, l’achat de fournitures, de vêtements et de chaussures, l'ardoise est salée pour les parents d'élèves avec la rentrée des classes. Un seul enfant peut coûter plus de 25 000 F CFA, estime Bès Bi Le Jour.
«Cette rentrée est très salée pour nous. Avec mes quatre enfants, j’ai dépensé plus de 100 000 CFA pour les inscriptions et les tenues, sans compter les frais de transport. C’est très difficile car les temps sont durs avec la conjoncture»,
se lamente Ndèye Ba, interrogée par le journal.
La mère de famille d'ajouter : "Nous venons aussi de sortir des fêtes de tabaski et des événements religieux comme le Magal de Touba et le Gamou. Nous sommes des ‘’gorgoorlu’’ qui joignons difficilement les deux bouts."
Elle souligne que "l’État devrait mettre en place une politique de gratuité" pour "soulager les parents" d’autant plus que "la majorité est issue des couches vulnérables".
«Cette rentrée est très salée pour nous. Avec mes quatre enfants, j’ai dépensé plus de 100 000 CFA pour les inscriptions et les tenues, sans compter les frais de transport. C’est très difficile car les temps sont durs avec la conjoncture»,
se lamente Ndèye Ba, interrogée par le journal.
La mère de famille d'ajouter : "Nous venons aussi de sortir des fêtes de tabaski et des événements religieux comme le Magal de Touba et le Gamou. Nous sommes des ‘’gorgoorlu’’ qui joignons difficilement les deux bouts."
Elle souligne que "l’État devrait mettre en place une politique de gratuité" pour "soulager les parents" d’autant plus que "la majorité est issue des couches vulnérables".
7 Commentaires
Nabil
En Octobre, 2023 (09:07 AM)Reply_author
En Octobre, 2023 (10:41 AM)Gora
En Octobre, 2023 (12:35 PM)École Publique Abandonnée
En Octobre, 2023 (09:48 AM)Regardez dans quel état sont nos écoles publiques et les conditions dans lesquelles nos enfants apprennent? Regardez tout ces abris provisoires dans le pays y compris dans la banlieue de Dakar où les enfants s'assoient par terre et utilisent des briques de ciment volées sur des chantiers pour servir de supports où poser leurs cahiers et ardoises pour écrire. Des classes sans toitures où les enfants étudient sous le soleil le vent et la pluie, des écoles et classes inondées ou occupées par des populations sinistrées. Nos 2 alternoces ont été de lamentables échecs et ont produit plus de misères pour les sénégalais que de richesses. Bref nos gouvernants ont abandonné l'école publique car leurs enfants n'y sont pas inscrits, leurs enfants n'y étudient pas, leurs enfants sont inscrits dans les écoles privées ou sont envoyés étudiés à l'étranger en France ou aux US ou au Canada.
Mor
En Octobre, 2023 (10:20 AM)Ce qui est une urgence absolue dans ce monde de crise et de compétition, c'est l'instruction et l'éducation des enfants qui n'ont pas demandé à naitre.
Sénégalais, réveillez-vous !!!!!! Il se fait tard.
Participer à la Discussion