L’UFR/LSH rafle la mise 2024
L’amphithéâtre de l'UFR CRAC de l'université Gaston Berger a abrité, samedi dernier, la finale des joutes oratoires “Débattons”. Une compétition qui a regroupé les huit unités de formation et de recherche (UFR) et deux instituts de l’UGB sur l’accès aux données du secteur extractif au Sénégal.
Pour le club OHADA/UGB, initiateur du tournoi, les résultats sont très satisfaisants. Il a permis aux étudiants d'approfondir leurs recherches dans le cadre des ressources extractives au Sénégal.
La question des ressources extractives est d'actualité au Sénégal, d'où la nécessité de s'informer auprès de bonne source pour éviter la désinformation et la manipulation. Pour les initiateurs de la compétition “Débattons”, l'objectif de la compétition est de sensibiliser et d'impliquer les étudiants, les universitaires, les jeunes et les femmes dans les questions cruciales de gouvernance des industries extractives au Sénégal.
Pour le leader du club OHADA/UGB, les étudiants participants des huit UFR et des deux instituts de l’UGB ont effectué des recherches dans le domaine des industries extractives. Des fouilles qui leur ont permis de se familiariser avec les enjeux de la gouvernance des industries extractives et de s'impliquer dans le débat public. “Les huit semaines de compétition ont permis aux participants de se familiariser avec les données et les questions clés liées au secteur extractif au Sénégal”, a soutenu le président du club OHADA/UGB, Ali Ousmane Hafiz.
Selon le juriste des affaires, cette compétition, en partenariat avec le programme USAID/TRACES, prépare les étudiants à jouer un rôle actif dans la promotion de la transparence et de la redevabilité dans la gouvernance des ressources extractives. Pour Mamadou Yéro Baldé, chef du projet Seytou Momel à l’USAID/TRACES, le partenariat avec l’UGB a facilité l'accès des étudiants à des informations fiables et à jour concernant les données des ressources extractives. “Les résultats du partenariat sont déjà très satisfaisants parce que nous avons vu des débats très engagés entre les différentes équipes. Le secteur extractif est un milieu où il y a beaucoup de désinformation concernant le pétrole, le gaz et les mines. Mais la compétition a permis aux étudiants d'aller à la bonne source, d'obtenir des données fiables pour pouvoir se forger leur propre opinion sur le secteur extractif,” a déclaré Mamadou Yéro Baldé.
Venue représenter le recteur de l'UGB, la directrice de la DCM, Khady Niang Diop, a salué la forte mobilisation de la communauté estudiantine et la qualité des débats durant toute la compétition. Pour elle, cet engouement démontre que les étudiants sont très solidaires et que de telles activités les intéressent, car elles contribuent à leur formation. “Ce que nous avons vécu est rassurant et démontre que l’UGB est véritablement une université d'excellence. C'est pourquoi j'ai dit aux étudiants qu’il n’y a ni vainqueur ni vaincu parce que tout le monde a été à la hauteur”, a-t-elle signalé.
1 Commentaires
Toute occasion est bonne pour pour le SANGNSE !!!
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Nos stylistes devraient pour une fois créer des tenues de travail Africaines.
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En Juillet, 2024 (06:20 AM)Pour la première fois !!!
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