Tafsir Mamour Bâ est dans tous ses états. Ce vacataire au département Lettres modernes de l’UCAD crie au scandale après le choix du titulaire du poste d’enseignant-chercheur en Littérature française, spécialiste du 16e siècle, pour l’université Amadou Makhtar Mbow de Diamniadio. Un appel à candidatures a été lancée et il avait postulé. Mais à l’arrivée, le choix a été porté sur quelqu’un qui, selon lui, n’est pas taillé pour l’emploi.
«À la surprise générale, la candidate qui est proposée au recrutement ne répond même pas le profil du poste. Elle est titulaire d’un doctorat en littérature française du 17e siècle», pointe Tafsir Mamour Bâ dans une lettre ouverte consultée par Bés Bi. Ce dernier, qui se décrit spécialiste de la littérature française du 16e siècle, accuse le comité de sélection d’avoir pris une «décision scandaleuse». «C’est honteux, injuste et scandaleux dans un milieu comme l’université où le mérite et la compétence doivent primer», martèle-t-il.
Faute d’avoir pu recueillir la réaction officielle de l’université Amadou Makhtar Mbow, Bés Bi s’est contenté d’une «source bien informée». Cette dernière assure que «tout s’est déroulé dans la transparence».
Tafsir Mamour Bâ ne l’entend pas de cette oreille. Il a déposé un recours sur la table du recteur de l’université implantée à Diamniadio et n’écarte pas de saisir la Cour suprême.
«À la surprise générale, la candidate qui est proposée au recrutement ne répond même pas le profil du poste. Elle est titulaire d’un doctorat en littérature française du 17e siècle», pointe Tafsir Mamour Bâ dans une lettre ouverte consultée par Bés Bi. Ce dernier, qui se décrit spécialiste de la littérature française du 16e siècle, accuse le comité de sélection d’avoir pris une «décision scandaleuse». «C’est honteux, injuste et scandaleux dans un milieu comme l’université où le mérite et la compétence doivent primer», martèle-t-il.
Faute d’avoir pu recueillir la réaction officielle de l’université Amadou Makhtar Mbow, Bés Bi s’est contenté d’une «source bien informée». Cette dernière assure que «tout s’est déroulé dans la transparence».
Tafsir Mamour Bâ ne l’entend pas de cette oreille. Il a déposé un recours sur la table du recteur de l’université implantée à Diamniadio et n’écarte pas de saisir la Cour suprême.
17 Commentaires
Door Marteau
En Janvier, 2024 (10:23 AM)On Est Où Là?
En Janvier, 2024 (10:27 AM)Oui
En Janvier, 2024 (10:42 AM)Reply_author
En Janvier, 2024 (12:27 PM)- Litterature/ Histoire arabe du 6. siecle
- Litterature francaise du 14 au 20. siecle
- Litterature Juif du 5. Siecle
Le seul specialiste de la Litterature et histoire qui pouvait nous sortir de ce complexe a ete aneanti par son peuple. Cheick Anta est aux oubliettes
Véridique
En Janvier, 2024 (11:20 AM)Allys
En Janvier, 2024 (11:20 AM)Yaakaar Bou Tass
En Janvier, 2024 (12:03 PM)Euskey
En Janvier, 2024 (14:15 PM)1) La mise en place d'un manuel de procédure claire pour toutes les universités
2) Un appel à candidature sans ambiguité publié dans tous les canaux d'information au max
3) La mise en place d'un jury constitué de 2/3 d'externes (y compris ceux qui sont à l'international) et de 1/3 des locaux.
4) Tout membre de la commission ayant publié ou encadré un candidat de quitter la commission devrecrutement.
On passe à coté de très bons candidats qui méritent leur place dans les universités sénégalaises et c'est DOMMAGE.
Alerte
En Janvier, 2024 (14:31 PM)Dans cette université un artiste plasticien est devenu enseignant chercher sans aucune competences ni cursus complementaires
Ooh
En Janvier, 2024 (20:48 PM)Abdourahmane Sylla
En Janvier, 2024 (12:29 PM)Ndeye Coumba
En Janvier, 2024 (02:36 AM)Participer à la Discussion