Depuis trois ans, la fille du ministre de l’Éducation nationale étudie sans payer à Yavuz Selim. Elle est élève en classe de 4e B au collège Sultan. «L’enfant de Serigne Mbaye Thiam bénéficiait gratuitement de la scolarité», révèle Mamadou Kébé, président de l’Association des parents d’élèves du groupe Yavuz Selim. De l’avis de Kébé, le ministre «ne devait pas accepter une gratuité de la scolarité de sa fille pendant trois ans dans cet établissement qu’il veut sacrifier».
D’autant que, souligne-t-il, l’école lui avait juste fait un crédit. «On lui a demandé de payer selon sa disponibilité financière, il ne l’a pas fait pendant trois ans. C’est grave», s’exclame le président de l’Association des parents d’élèves de Yavuz Selim.
51 Commentaires
Anonyme
En Septembre, 2017 (11:36 AM)Indignees
En Septembre, 2017 (11:37 AM)Anonyme
En Septembre, 2017 (11:39 AM)Anonyme
En Septembre, 2017 (11:40 AM)Eclairage???
En Septembre, 2017 (11:45 AM)Quels hommes d'affaires sérieux ont pris ce risque insensé???
Anonyme
En Septembre, 2017 (11:46 AM)Anonyme
En Septembre, 2017 (11:49 AM)Anonyme
En Septembre, 2017 (11:51 AM)Anonymacky
En Septembre, 2017 (11:52 AM)Anonyme
En Septembre, 2017 (11:54 AM)Anonyme
En Septembre, 2017 (12:02 PM)Anonyme
En Septembre, 2017 (12:06 PM)Anonyme
En Septembre, 2017 (12:17 PM)Anonyme
En Septembre, 2017 (12:22 PM)Anonyme
En Septembre, 2017 (12:30 PM)Anonyme
En Septembre, 2017 (12:30 PM)Anonymous Boy
En Septembre, 2017 (12:34 PM)Anonyme
En Septembre, 2017 (12:42 PM)Anonymile
En Septembre, 2017 (12:56 PM)Anonyme
En Septembre, 2017 (12:57 PM)A quand l obligation pour nos autorités de mettre leurs enfants dans l ecole publique?
A quand la fin des privilèges accordés aux enfants d 'officiers pour le concours d 'ntrée au Prytanée?
La Présidence, ainsi que la Primature, ne se sont pas privées pour se tailler une bonne partie de ce budget et faire croitre leurs ressources. Le budget de la Présidence de la République pour la gestion 2016 est arrêté à la somme de 72,2 milliards de FCFA contre 64 milliards de FCFA en 2015. Soit une hausse de 8,2 milliards de francs FCFA. Les dépenses de personnel y engloutissent 7,4 milliards de FCFA alors que le fonctionnement occupe 10 milliards de FCFA.
Mais, la hausse la plus spectaculaire a été notée à la primature. De 20,4 milliards de FCFA en 2015, la primature a vu son budget exploser à 61,2 milliards de FCFA. Et a presque triplé. L’Assemblée nationale, quant à elle, n’aura pas connu une aussi forte hausse de son budget qui est voté à 14,13 milliards de FCFA contre 14,12 milliards de FCFA en 2015.
Le Conseil économique social environnemental a bénéficié pour sa part de 9,1 milliards de FCFA de budget contre 9,3 milliards en 2015. Et au total, ces quatre institutions réunies, vont absorber 156,7 milliards de francs FCFA des 3022 milliards de Cfa de budget.
Toute Honte Bue
En Septembre, 2017 (13:07 PM)MBAYE+THIAM...marrant tout est il dit dans les patronymes ?
Ce pauvre individu devrait raser les murs..
Le français a une très belle expression : "toute honte bue"
Moralité, les cafards n'ont honte de rien..
Anonyme
En Septembre, 2017 (13:12 PM)Anonyme
En Septembre, 2017 (13:13 PM)Doit-on faire confiance en un système éducatif en lequel même notre Ministre de l'Éducation n'a pas confiance puisqu'il n'y met pas son propre enfant ?
Un Ministre de l'Éducation doit-il entamer des négociations avec les syndicats de l'enseignement alors même que, quelle qu’en soit leur issue, son enfant n'en souffrira pas ?
La question est valable dans le cas du Ministre mais également dans le cas du syndicaliste.
Anonyme
En Septembre, 2017 (13:18 PM)Mouride
En Septembre, 2017 (13:29 PM)Allez vous renseigner, vous tomberez des nues ; mais c'est la vie.
Battez vous chers compatriotes (Sénégal bi ci souf disait Gaston) pour votre réussite, c'est mieux que de se prendre la tète pour des détails.
Le fait que la fille d'un ministre ne paie pas les frais de scolarité dans une école privée a une dimension vraiment très négligeable, comparé au chemin à parcourir pour arriver au sommet.
Merci
Anonyme
En Septembre, 2017 (13:31 PM)Anonyme
En Septembre, 2017 (14:22 PM)Anonyme
En Septembre, 2017 (14:35 PM)je suis vraiment désolé, mais si vous voulez vraiment une révolution .. continuez à toucher aux enfants d'autrui ..
dans ce putain de pays, il faut être fils de .. neveu de .. connaitre Monsieur .. pour trouver du boulot.
les écoles publiques ne valent rien du tout : faites un sondage, vous verrez que les fils de tous ceux qui nous dirigent ne sont pas dans les écoles publiques.. et ce sont leurs enfants qui ont les bourses aussi
de grace, arrested de foutre le bordel pour les pauvres gorgorlou qui gagnent de façon légale de maigres salaires et qui se serrent la ceinture pour payer les frais de scolarité de leurs enfants ... laisser au moins une petite chance pour leurs enfants ..
Anonyme Mane
En Septembre, 2017 (15:00 PM)M
En Septembre, 2017 (15:07 PM)Radar
En Septembre, 2017 (15:14 PM)La guerre entre le Ministre de l' Education Nationale et les parents d'élèves de Yavuz SELIM appuyés par la Direction de l'école est déclarée.
Tous les coups sont permis.
Le Ministre lui même, lui aussi va devoir inscrire sa fille dans une autre école.
La facture de scolarité est tirée par la Direction de l'école et présentée pour paiement aux parents. Soyons objectifs. Si la Direction de l'école a des impayés concernant la fille du Ministre, elle n'a qu'à les réclamer. Cela ne concerne en rien l'association des parents d'élèves.
Anonyme
En Septembre, 2017 (16:13 PM)Anonyme
En Septembre, 2017 (16:24 PM)Cest dommage.
Anonyme
En Septembre, 2017 (16:28 PM)Jean Bernard Diatta
En Septembre, 2017 (16:44 PM)Les seules oubliées des gouvernements de Son Excellence Monsieur Macky Sall, demeurent les populations du Kassa car:
- Elu depuis 2012, le Président de la République Macky Sall, malgré ses séjours en Casamance, n’a jamais jugé utile de se rendre à Oussouye ne se reste que pour remercier les populations du Kassa.
- D’ailleurs, à l’exception de Abdoul Mbaye ex-premier ministre, venu à inaugurer le port de Carabane, aucun des premiers ministres a l’instar de notre Président ne s’est pas préoccuper de venir constater et parler avec nos populations. Même la situation catastrophique du tourisme au Cap Skirring n’a pas pu les motiver.
- Avec ce quatrième gouvernement sous l’ère Macky Sall, nous venons de constater, encore une fois, la consécration du manque de reconnaissance réelle de notre département de ses cadres et responsables.
- Aucune audience n’a pas été enregistrée en faveur de nos responsables et jeunes y compris notre coordonnateur.
- Depuis 2012, en effet, nous n’avons noté, à Oussouye, aucune nomination digne de son nom.
Oussouye est le seul département de la région de Ziguinchor voire du Sénégal, à ne jamais être promu à des postes de responsabilité : ni ministres, ni Directeurs Généraux, ni chargés de missions.
Fort d’un tel constat, nous osons interpeler la direction de notre parti sur les points suivants :
- Oussouye est-il un département à part entière ou une succursale d’un autre département qui, donc, parle au nom de Oussouye ?
- Macky Sall a – t – il choisi de faire moins que ses prédécesseurs en terme de nominations et de capacitations de ses responsables et cadres du département de Oussouye ?
- En d’autres termes, Oussouye ne conte – t – il pas sur son dispositif électoral de 2019 en raison de sa petitesse ?
Si tel n'est pas le cas, alors nous attendons notre portefeuille ministériel et nos Directeurs Généraux dignes de leurs noms.
OUSSOUYE RECLAME SON MINISTERE
.
Anonyme
En Septembre, 2017 (16:57 PM)Merci
En Septembre, 2017 (17:31 PM)malgré les scandales PETROTIM, BIGTOGO et quelques autres,
la petite enveloppe à la fondation de qui vous savez : vous avez validé le référendum.
Vous m'avez encore félicité avec les législatives,
alors si je vous adorez que je vous la mette PROFOND avec la Caisse des dépôts
le fiasco de la radiothérapie, les clowns que j'embastille à tour de bras,
je vous remercie par avance pour les prochaines présidentielles...
QUI SUIS JE?
Bigtogo
En Septembre, 2017 (17:41 PM)Après la décision du Président Macky Sall d’instaurer le système des visas biométriques, l'ancien banquier dit avoir convoqué une réunion interministérielle à l’issue de laquelle la proposition d’un tarif de 625 francs CFA a été faite. « Ces propositions furent présentées à l’Autorité, sans suite », révèle Abdoul Mbaye. Le tarif finalement retenu sera de plus de 30 000 francs CFA, selon l’ancien chef du gouvernement.
Qui ajoute que lorsqu’on lui a présenté pour signature un document qui dispensait Bictogo du versement de la part de l’État pour chaque visa délivré (50%), il a réclamé les détails du contrat « au ministre initiateur ». Il ne recevra pas de réponse. Il sera limogé juste après. Abdoul Mbaye n’a pas manqué de rappeler dans son communiqué que le contrat de concession entre l’État du Sénégal et Bictogo a été signé « sans avoir reçu au préalable l’approbation du Premier ministre »
Cfa
En Septembre, 2017 (17:45 PM)Tout est parti des révélations des confrères «Le Rendez-vous» et «Liberté» qui ont évoqué, dans un dossier, un détournement de 10 milliards F CFA. Très rapidement, les deux confrères sont assignés en justice par le ministre de l’Économie et des Finances d’alors, Adji Otèth Ayassor et Ninsao Gnofam, pour diffamation. Les journalistes sont harcelés, traînés pendant des jours dans les couloirs de la DCPJ (Direction Centrale de la Police Judiciaire) et les couloirs de la justice.
Ces intimidations, loin d’éteindre ce scandale, n’ont fait qu’encourager l’opinion à y voir clair surtout que le chantier était carrément abandonné par l’entreprise en charge des travaux, CECO BTP malgré le déblocage de 26 milliards F CFA sur les 36 milliards au total.
Invité à des questions orales à l’Assemblée nationale, Ninsao Gnofam a déclaré, devant des députés sidérés, que cette entreprise avait utilisé une partie des fonds en question pour acheter des engins, et de promettre que la route sera livrée avant la fin de l’année 2016. Passé cet exercice, rien n’a bougé sur le terrain et CECO BTP s’est aussi murée dans un silence jusqu’à ce jour.
Le 20 décembre 2016, ce fut au tour du Premier ministre, Selom Komi Klassou, de se rendre sur le chantier pour promettre la reprise des travaux par une entreprise chinoise, notamment China Road and Bridge Corporation. « Le chef de l’Etat a procédé depuis plusieurs mois au lancement des travaux de la construction de cette route (Lomé-Vogan-Anfoin, Ndlr). Malheureusement, les travaux ont été arrêtés, pénalisant beaucoup les usagers. Nos populations ont souffert et continuent de souffrir de l’état actuel de la route. Aujourd’hui, c’est une entreprise chinoise, qui a fait ses preuves dans notre pays, qui a repris l’aménagement de la route confié au départ à une autre entreprise, pour une durée de 30 mois », avait déclaré le Premier ministre, et d’ajouter : « Cette route relie des zones avec beaucoup de ressources agricoles et minières. Le souci du chef de l’Etat est que cette route soit aménagée dans les normes requises. Nous encourageons à cet effet l’entreprise chinoise, mais aussi et surtout le bureau de contrôle, qui doit jouer sa partition. Car il y aura des comptes à rendre s’il y a défaillance notoire dans l’exécution de ces travaux ».
Plus de sept (7) mois après cette nouvelle promesse du Premier ministre, rien n’a bougé sur le terrain.
Selon des sources bien introduites, les Chinois et l’État togolais n’arrivaient pas à accorder leurs violons sur les modalités du nouveau financement, étant donné que les 26 milliards F CFA précédemment décaissés sur les 36 milliards prévus ont disparu dans la nature. Acculé tous les jours par la presse, les riverains, les associations de la société civile dont le mouvement Nubueké qui a organisé un jogging pour dénoncer l’abandon du chantier, le ministre Ninsao Gnofam s’est précipité de publier un communiqué bidon le 4 juillet dernier annonçant la reprise des travaux le lendemain. Quelques jours après ce communiqué, les travaux peinaient à reprendre.
Le ministre des Infrastructures et des Transports n’est pas un homme qui abandonne, surtout en matière de promesses non tenues. Alors il s’est invité sur une radio de la place pour donner des explications sur le chantier et les modalités de la reprise, de même que le nouveau coût, il n’a pas hésité, dans son arrogance habituelle, à renvoyer l’accusation de détournement dans le camp de ses détracteurs. Au cours de cette sortie, on apprend finalement que la nouvelle reprise des travaux coûtera 31 milliards de francs cfa. Ninsao Gnofam ne précise d’ailleurs pas la source de financement. Pour un chantier de 61 km facturé au départ à 36 milliards, ce qui s’apparentait déjà à une surfacturation, selon les spécialistes, on passe donc à 57 milliards de francs cfa.
Du simple au double, sans qu’aucune responsabilité ne soit située; pire, le ministre au cœur de ce scandale continue de multiplier les déclarations méprisantes sur fond d’ironie envers l’opinion. Si le très controversé préposé au gouvernement continue de se comporter de la sorte et est toujours au gouvernement malgré ce scandale, c’est sûr et certain que ceux qui devraient le sanctionner, sont aussi mouillés dans cette histoire.
Le scandale qui entoure cette route Lomé-Vogan-Anfoin sera toujours d’actualité et symbolisera l’impunité qui caractérise la gestion de Faure Gnassingbé depuis 12 ans où les milliardaires sont sortis de terre comme des fleurs.
Anonyme
En Septembre, 2017 (18:16 PM)Anonyme
En Septembre, 2017 (19:02 PM)Anonyme
En Septembre, 2017 (19:07 PM)Quant à moi, la question que je me pose, elle est celle-ci: comment un parent d'élève peut concevoir de chercher à salir une fille, une élève et à l'humilier au plus profond de son être (ton père, quand bien même il est ministre ne paye pas ta scolarité)..
M. Kébé, il faut être d'une grand bassesse morale pour se conduire ainsi; même si on est dans le désarroi, l'indignité a des limites...
Anonyme
En Septembre, 2017 (20:16 PM)Anonyme
En Septembre, 2017 (20:51 PM)Luc
En Septembre, 2017 (21:40 PM)Les éclairages apportés justifient cette dispense de paiement par les brillants résultats scolaires enregistrés par la fille de Monsieur le Ministre. À partir de ce moment a-t-on besoin donc de fixer un moratoire pour des frais de scolarité sensés être pris en charge par l'institution scolaire.
Au delà même de cette "faveur" accordée aux meilleurs élèves et à supposer que la fille de ce responsable en fasse partie de par ses mérites, le meilleur exemple à donner aurait été pour Mr le Ministre de renoncer volontairement à un tel avantage et de proposer à l'école de l'attribuer à un ou une autre élève dont les parents ont de faibles revenus.
Lorsqu'on est prompt à chasser et faire la guerre à certaines pratiques illicites tout à fait répréhensibles (si elles sont avérées) , on doit se tenir à l'écart de tout ce qui pourrait être compromettant ou être assimilé à des conflits d'intérêts
Anonyme
En Septembre, 2017 (22:20 PM)CELA N A RIEN À VOIR AVEC LE PROBLÈME ACTUEL
C EST CE MINISTRE QUI N AURAIT JAMAIS DÛ ACCEPTER D ÊTRE EXONÉRÉ
QUESTION D ÉTHIQUE ET DE DIGNITÉ
MAIS AVEC MAKY SALL IL NE FAUT S ÉTONNER DE RIEN
Anonyme
En Septembre, 2017 (05:50 AM)UNE FAMILLE SIMPLE AURAIT VU SON REJETON A LA PORTE ESPECE DE FUMIER CE KEBE
Anonyme
En Septembre, 2017 (07:07 AM)Anonyme
En Septembre, 2017 (07:29 AM)A quand l obligation pour nos autorités de mettre leurs enfants dans l ecole publique?
A quand la fin des privilèges accordés aux enfants d 'officiers pour le concours d 'ntrée au Prytanée?
La Présidence, ainsi que la Primature, ne se sont pas privées pour se tailler une bonne partie de ce budget et faire croitre leurs ressources. Le budget de la Présidence de la République pour la gestion 2016 est arrêté à la somme de 72,2 milliards de FCFA contre 64 milliards de FCFA en 2015. Soit une hausse de 8,2 milliards de francs FCFA. Les dépenses de personnel y engloutissent 7,4 milliards de FCFA alors que le fonctionnement occupe 10 milliards de FCFA.
Mais, la hausse la plus spectaculaire a été notée à la primature. De 20,4 milliards de FCFA en 2015, la primature a vu son budget exploser à 61,2 milliards de FCFA. Et a presque triplé. L’Assemblée nationale, quant à elle, n’aura pas connu une aussi forte hausse de son budget qui est voté à 14,13 milliards de FCFA contre 14,12 milliards de FCFA en 2015.
Le Conseil économique social environnemental a bénéficié pour sa part de 9,1 milliards de FCFA de budget contre 9,3 milliards en 2015. Et au total, ces quatre institutions réunies, vont absorber 156,7 milliards de francs FCFA des 3022 milliards de Cfa de budget.
Anonyme
En Septembre, 2017 (10:31 AM)- il a eu la gratuité pour sa fille avec votre complicité
- il ferme aujourd'hui l'école
c'est vous les perdants, lui il a tous bénef
Anonyme
En Septembre, 2017 (13:03 PM)Participer à la Discussion