
C'est à Ziguinchor que le secrétaire général national du syndicat de l'éducation physique et sportive s'est prononcé devant ses camarades. Occasion pour lui de dresser selon lui, " le bilan partiel en ce qui concerne leur corps de métier, les dernières négociations entre le gouvernement et leurs représentations syndicales.
Selon Khalifa Ababakar Ndiaye, secrétaire général national du syndicat de l'éducation physique et sportive, "les maîtres d'éducation physique bénéficient d'un droit d'emploi correspondant à leurs compétences et non un droit de carrière". Il estime que dans le système éducatif sénégalais, les maîtres d'éducation physique et sportive sont les seuls enseignants du moyen-secondaire qui n'ont aucune opportunité de plan de carrière dans les filières de l'enseignement depuis la réforme de 1979.
Ces maîtres d'EPS affirment que la quintessence de la réforme qui a abouti aux accords de 2018 a été biaisé, par "les services du ministère des Sports sous le regard laxiste presque complice des structures syndicales".
Le secrétaire général national du syndicat de l'éducation physique et sportive de rappeler que cette réforme, portant signature du décret du 30 avril 2018 a été occultée. Elle a été portée par les maîtres d'EPS, des enseignants qui disent ne plus retrouver les valeurs qui les ont portés quand ils avaient choisi de faire ce métier. Par la voix de leur secrétaire national, ils comptent porter eux-mêmes à bras le corps leur combat. Et déplorent le fait que par manque de plan de carrière, leurs anciens élèves deviennent leurs supérieurs hiérarchiques. Cet échec est à mettre de côté de l'État.
Ils manifestent leur ferme engagements à boycotter toutes les activités relatives à leur métier au sein des établissements. Boycott des inter-classes, participation au déroulement des activités du sport scolaire, participation aux cellules pédagogiques, ainsi que les évaluations du 1er semestre.
Selon Khalifa Ababakar Ndiaye, secrétaire général national du syndicat de l'éducation physique et sportive, "les maîtres d'éducation physique bénéficient d'un droit d'emploi correspondant à leurs compétences et non un droit de carrière". Il estime que dans le système éducatif sénégalais, les maîtres d'éducation physique et sportive sont les seuls enseignants du moyen-secondaire qui n'ont aucune opportunité de plan de carrière dans les filières de l'enseignement depuis la réforme de 1979.
Ces maîtres d'EPS affirment que la quintessence de la réforme qui a abouti aux accords de 2018 a été biaisé, par "les services du ministère des Sports sous le regard laxiste presque complice des structures syndicales".
Le secrétaire général national du syndicat de l'éducation physique et sportive de rappeler que cette réforme, portant signature du décret du 30 avril 2018 a été occultée. Elle a été portée par les maîtres d'EPS, des enseignants qui disent ne plus retrouver les valeurs qui les ont portés quand ils avaient choisi de faire ce métier. Par la voix de leur secrétaire national, ils comptent porter eux-mêmes à bras le corps leur combat. Et déplorent le fait que par manque de plan de carrière, leurs anciens élèves deviennent leurs supérieurs hiérarchiques. Cet échec est à mettre de côté de l'État.
Ils manifestent leur ferme engagements à boycotter toutes les activités relatives à leur métier au sein des établissements. Boycott des inter-classes, participation au déroulement des activités du sport scolaire, participation aux cellules pédagogiques, ainsi que les évaluations du 1er semestre.
7 Commentaires
Pour le respect de nos droits
Pour le bien de tous
Moi j'avais toujours en EPS une note inférieure à la moyenne. Ce qui ne m'a jamais empeché d'être le premier de ma classe. Ce qui frustrait beaucoup mon prof de EPS lors des conseils de classe. Il ne pouvait pas concevoir un élève qui sape son cours tout en étant brillant dans toutes les autres matières. Pourtant j'étais bon footballeur et handballeur.
Moi Aussi
En Décembre, 2022 (11:12 AM)Cap
En Décembre, 2022 (11:43 AM)Participer à la Discussion