Dans cet entretien accordé à Seneweb, Fatimata Ngaïdé, mandataire de la coalition BBY en Normandie, appelle la diaspora à s’engager résolument en faveur du candidat Amadou Ba. Elle met notamment en garde contre les “discours populistes et utopiques d’une certaine opposition violente et agressive”.
On vous retrouve sur tous les fronts durant cette campagne. Pouvez-vous revenir sur votre parcours ?
Je suis une cadre dans le secteur privé. J’ai évolué durant plus de 10 ans dans les secteurs de l’énergie, du pétrole et du gaz et aujourd’hui dans l’automobile. Je suis également engagée en politique à Elbeuf, mandataire de la coalition BBY en Normandie dont je remercie toute la coordination sous la houlette de Demba Diack pour cet honneur. Je suis également vice-Coordinatrice des jeunes républicains de France (Cojer) tout en remerciant notre coordinateur Ousseynou Gassama. Enfin, je suis la fondatrice des Amazones de Macky en Normandie (Amen) depuis 6 ans. Côté social, je suis très engagée sur le développement de projets franco-sénégalais. A travers mon association, je propose des formations sur l’agriculture et à l’entrepreneuriat aux jeunes binationaux.
Vous êtes très active sur les réseaux sociaux. Qu’est-ce qui explique que vous vous investissiez autant sur ces plateformes ?
J’ai créé un grand collectif, Jammu Sénégal pour répondre à un phénomène des « fake News » en politique. Jammu Sénégal est composé de cadres, de créateurs de contenus et d’influenceurs basés en majorité dans la diaspora. Notre collectif rassemble plus d’1,5 millions de followers (progression de 30% depuis 6 mois). Notre stratégie est de publier, organiser des lives sans pour autant montrer notre appartenance à un groupe. Et ça fonctionne très bien. Vous savez, nous sommes à l’ère du numérique et la politique sans réseau social est vouée à l’échec. Si nous voulons capter notre cible jeune et la masse de manière générale, nous devons nous adapter. J’apprécie particulièrement les débats avec l’opposition, c’est par ce biais que nous rétablissons la vérité à la fois sur notre candidat Amadou Ba, que nous vulgarisons le bilan 2012-2024 et que nous communiquons sur nos programmes PSE révisés et renforcés par le nouveau programme Prospérité Partagée.
“Nous nous battons ensuite pour que le bilan élogieux du Président Macky Sall ne soit pas réduit à des affaires judiciaires qui ne le lient ni de près ni de loin”
Quels sont les thèmes que vous abordez lors de vos débats ?
On touche à plusieurs thèmes comme la démocratie, les réalisations sous l’ère Macky Sall, la géopolitique, le phénomène de l’émigration ou encore la xénophobie d’une certaine opposition violente qui stigmatise les étrangers. Des sujets comme le pétrole et le gaz, la dette et la justice reviennent toujours. Nous nous battons ensuite pour que le bilan élogieux du Président Macky Sall ne soit pas réduit à des affaires judiciaires qui ne le lient ni de près ni de loin.
Quelle est votre stratégie pour atteindre et convaincre votre cible ?
Notre règle est très simple, nous essayons d’argumenter en apportant toujours des preuves comme les textes, les chiffres ou encore les vidéos. Je vous donne un exemple. La plupart du temps, l’opposition manipule la masse sur les retombées du pétrole et du gaz en affirmant qu’elles profitent en majorité aux Européens et que l’Etat du Sénégal récupère 10% sur les bénéfices. C’est tout simplement archi-faux. L’article 22 du code pétrolier que nous partageons très souvent prouve le contraire. Nous sensibilisons aussi pour que les jeunes apprennent à sourcer les informations par eux-mêmes.
“Ne nous laissons pas berner par des discours populistes et utopiques d’une certaine opposition violente et agressive”
Aujourd’hui quel message souhaitez-vous adresser aux Sénégalais ?
Je voudrais m’adresser à toute la diaspora et particulièrement aux jeunes binationaux ou franco-sénégalais. Bien que sur la voie de l’émergence et faisant l’exception dans la sous-région ouest-africaine, le Sénégal est à la croisée des chemins. Nous sommes entourés d’une ceinture de feu et faisons l’objet de tentatives de déstabilisation à l’heure où notre pays devient producteur de pétrole et de gaz. Il est évident que notre futur Président déterminera l’avenir du pays. Ne nous laissons pas berner par des discours populistes et utopiques d’une certaine opposition violente et agressive. Le Sénégal a besoin du meilleur profil connaissant l’appareil de l’Etat, maîtrisant les enjeux géopolitiques et géostratégiques. Nous avons également besoin d’un candidat fédérateur pour réconcilier notre peuple et surtout employable pour une prise de poste directe dès la passation de pouvoir. Le candidat Amadou Ba est un choix de raison et non de cœur, disait le Président Macky Sall. J’ajouterais qu’il est un choix de sécurité pour la paix et le maintien de la stabilité au Sénégal. Et comme Cheikh Anta Diop disait si bien, « la sécurité précède le développement ». Soyons réalistes, une grande majorité des candidats n’est pas présidentiable. De ce fait, ils ne rassurent ni le peuple, ni les investisseurs et bailleurs de fonds internationaux. Nous n’avons pas le droit de laisser le pouvoir à des novices qui ont besoin de coaching ou un temps d’adaptation de 6 à 12 mois avant de pouvoir se mettre au travail. Voter utile ou voter pour la continuité de l’émergence, c’est voter pour le candidat Amadou Ba.
On vous retrouve sur tous les fronts durant cette campagne. Pouvez-vous revenir sur votre parcours ?
Je suis une cadre dans le secteur privé. J’ai évolué durant plus de 10 ans dans les secteurs de l’énergie, du pétrole et du gaz et aujourd’hui dans l’automobile. Je suis également engagée en politique à Elbeuf, mandataire de la coalition BBY en Normandie dont je remercie toute la coordination sous la houlette de Demba Diack pour cet honneur. Je suis également vice-Coordinatrice des jeunes républicains de France (Cojer) tout en remerciant notre coordinateur Ousseynou Gassama. Enfin, je suis la fondatrice des Amazones de Macky en Normandie (Amen) depuis 6 ans. Côté social, je suis très engagée sur le développement de projets franco-sénégalais. A travers mon association, je propose des formations sur l’agriculture et à l’entrepreneuriat aux jeunes binationaux.
Vous êtes très active sur les réseaux sociaux. Qu’est-ce qui explique que vous vous investissiez autant sur ces plateformes ?
J’ai créé un grand collectif, Jammu Sénégal pour répondre à un phénomène des « fake News » en politique. Jammu Sénégal est composé de cadres, de créateurs de contenus et d’influenceurs basés en majorité dans la diaspora. Notre collectif rassemble plus d’1,5 millions de followers (progression de 30% depuis 6 mois). Notre stratégie est de publier, organiser des lives sans pour autant montrer notre appartenance à un groupe. Et ça fonctionne très bien. Vous savez, nous sommes à l’ère du numérique et la politique sans réseau social est vouée à l’échec. Si nous voulons capter notre cible jeune et la masse de manière générale, nous devons nous adapter. J’apprécie particulièrement les débats avec l’opposition, c’est par ce biais que nous rétablissons la vérité à la fois sur notre candidat Amadou Ba, que nous vulgarisons le bilan 2012-2024 et que nous communiquons sur nos programmes PSE révisés et renforcés par le nouveau programme Prospérité Partagée.
“Nous nous battons ensuite pour que le bilan élogieux du Président Macky Sall ne soit pas réduit à des affaires judiciaires qui ne le lient ni de près ni de loin”
Quels sont les thèmes que vous abordez lors de vos débats ?
On touche à plusieurs thèmes comme la démocratie, les réalisations sous l’ère Macky Sall, la géopolitique, le phénomène de l’émigration ou encore la xénophobie d’une certaine opposition violente qui stigmatise les étrangers. Des sujets comme le pétrole et le gaz, la dette et la justice reviennent toujours. Nous nous battons ensuite pour que le bilan élogieux du Président Macky Sall ne soit pas réduit à des affaires judiciaires qui ne le lient ni de près ni de loin.
Quelle est votre stratégie pour atteindre et convaincre votre cible ?
Notre règle est très simple, nous essayons d’argumenter en apportant toujours des preuves comme les textes, les chiffres ou encore les vidéos. Je vous donne un exemple. La plupart du temps, l’opposition manipule la masse sur les retombées du pétrole et du gaz en affirmant qu’elles profitent en majorité aux Européens et que l’Etat du Sénégal récupère 10% sur les bénéfices. C’est tout simplement archi-faux. L’article 22 du code pétrolier que nous partageons très souvent prouve le contraire. Nous sensibilisons aussi pour que les jeunes apprennent à sourcer les informations par eux-mêmes.
“Ne nous laissons pas berner par des discours populistes et utopiques d’une certaine opposition violente et agressive”
Aujourd’hui quel message souhaitez-vous adresser aux Sénégalais ?
Je voudrais m’adresser à toute la diaspora et particulièrement aux jeunes binationaux ou franco-sénégalais. Bien que sur la voie de l’émergence et faisant l’exception dans la sous-région ouest-africaine, le Sénégal est à la croisée des chemins. Nous sommes entourés d’une ceinture de feu et faisons l’objet de tentatives de déstabilisation à l’heure où notre pays devient producteur de pétrole et de gaz. Il est évident que notre futur Président déterminera l’avenir du pays. Ne nous laissons pas berner par des discours populistes et utopiques d’une certaine opposition violente et agressive. Le Sénégal a besoin du meilleur profil connaissant l’appareil de l’Etat, maîtrisant les enjeux géopolitiques et géostratégiques. Nous avons également besoin d’un candidat fédérateur pour réconcilier notre peuple et surtout employable pour une prise de poste directe dès la passation de pouvoir. Le candidat Amadou Ba est un choix de raison et non de cœur, disait le Président Macky Sall. J’ajouterais qu’il est un choix de sécurité pour la paix et le maintien de la stabilité au Sénégal. Et comme Cheikh Anta Diop disait si bien, « la sécurité précède le développement ». Soyons réalistes, une grande majorité des candidats n’est pas présidentiable. De ce fait, ils ne rassurent ni le peuple, ni les investisseurs et bailleurs de fonds internationaux. Nous n’avons pas le droit de laisser le pouvoir à des novices qui ont besoin de coaching ou un temps d’adaptation de 6 à 12 mois avant de pouvoir se mettre au travail. Voter utile ou voter pour la continuité de l’émergence, c’est voter pour le candidat Amadou Ba.
13 Commentaires
Citoyen Concerné
En Mars, 2024 (16:00 PM)Kane
En Mars, 2024 (16:04 PM)Amara Diouf
En Mars, 2024 (16:14 PM)votez Amadou Ba dimanche
Wassalam.
Contre Diomaye Reply_author
En Mars, 2024 (20:05 PM)les autres sont des acteurs de Cirque
Pour La Paix Et Stabilité
En Mars, 2024 (20:08 PM)Saly N’diaye
En Mars, 2024 (05:26 AM)Alomgui
En Mars, 2024 (06:28 AM)Cos
En Mars, 2024 (06:35 AM)Faaa
En Mars, 2024 (11:37 AM)La Brumeuse Unique
En Mars, 2024 (15:40 PM)Le bon choix c'est amadou Ba
Ba poula,nioune yaw laniou beugue yalla defnako baparé...
Don't Ragal.....
Ndogou jubilé rekkkk
La Brumeuse Unique
En Mars, 2024 (15:40 PM)Le bon choix c'est amadou Ba
Ba poula,nioune yaw laniou beugue yalla defnako baparé...
Don't Ragal.....
Ndogou jubilé rekkkk
Sweet Beauty
En Mars, 2024 (16:21 PM)Participer à la Discussion