Abdoulaye Diouf Sarr, ministre de la Gouvernance locale, du Développement, de l’Aménagement du territoire, dit être « convaincu que la résolution de la problématique de l’insalubrité de nos territoires passera par une restructuration, une professionnalisation et une modernisation du secteur. Cela passera également par le développement d’un partenariat public-privé (Ppp), en vue de la mise en place d’un système intégré de gestion et de valorisation des déchets solides, adossé aux principes du développement durable ».
Le ministre, qui présidait une rencontre, dans le cadre de la Journée mondiale du recyclage, a estimé que « pour y parvenir, beaucoup d’efforts restent à faire afin de convaincre tous les acteurs, plus particulièrement les populations et les patrons d’industrie à transformer plus intelligemment les déchets et à investir dans le marché du recyclage ».
« La gestion des déchets constitue une préoccupation majeure du gouvernement, car l’insalubrité et la dégradation du cadre de vie risquent de voir saper tous les efforts entrepris pour l’émergence de nos territoires. Et si en 1994, l’objectif de la journée mondiale du recyclage était de promouvoir la consommation de produits fabriqués à partir de matériaux recyclés, il en est autrement aujourd’hui. La réflexion actuelle sur le recyclage doit nous pousser plus loin du fait des énormes enjeux écologique, énergétique, sanitaire et économique. Cette technique qui consiste à réutiliser des produits usagers comme le plastique, le verre, le métal, les habits, les meubles, etc. pour fabriquer d’autres objets, permet de réduire l’utilisation des ressources naturelles en leur offrant une seconde vie. C’est également un moyen de préserver l’environnement en réduisant le taux de pollution et, enfin une source de création d’emplois », a déclaré le ministre.
Selon lui, le nouveau paradigme, porté par le gouvernement, cherche à valoriser le potentiel économique des déchets dans une perspective de développement harmonieux des territoires, conformément à la vision inscrite dans la réforme dite « Acte 3 de la décentralisation », à savoir « organiser le Sénégal en territoires viables, compétitifs et porteurs de développement durable», indique-t-il, en précisant que ladite journée a été organisée dans le cadre de la préparation de notre participation à la Cop21 (Conférence des parties) prévue dans une quinzaine de jours à Paris sur le climat.
« En effet, au niveau mondial, les émissions de gaz à effet de serre, associées aux déchets ménagers et assimilés, sont estimées à 1 460 millions de tonnes équivalent Co2 et représentent près de 5% des émissions totales ».
Youssoupha MINE
Le ministre, qui présidait une rencontre, dans le cadre de la Journée mondiale du recyclage, a estimé que « pour y parvenir, beaucoup d’efforts restent à faire afin de convaincre tous les acteurs, plus particulièrement les populations et les patrons d’industrie à transformer plus intelligemment les déchets et à investir dans le marché du recyclage ».
« La gestion des déchets constitue une préoccupation majeure du gouvernement, car l’insalubrité et la dégradation du cadre de vie risquent de voir saper tous les efforts entrepris pour l’émergence de nos territoires. Et si en 1994, l’objectif de la journée mondiale du recyclage était de promouvoir la consommation de produits fabriqués à partir de matériaux recyclés, il en est autrement aujourd’hui. La réflexion actuelle sur le recyclage doit nous pousser plus loin du fait des énormes enjeux écologique, énergétique, sanitaire et économique. Cette technique qui consiste à réutiliser des produits usagers comme le plastique, le verre, le métal, les habits, les meubles, etc. pour fabriquer d’autres objets, permet de réduire l’utilisation des ressources naturelles en leur offrant une seconde vie. C’est également un moyen de préserver l’environnement en réduisant le taux de pollution et, enfin une source de création d’emplois », a déclaré le ministre.
Selon lui, le nouveau paradigme, porté par le gouvernement, cherche à valoriser le potentiel économique des déchets dans une perspective de développement harmonieux des territoires, conformément à la vision inscrite dans la réforme dite « Acte 3 de la décentralisation », à savoir « organiser le Sénégal en territoires viables, compétitifs et porteurs de développement durable», indique-t-il, en précisant que ladite journée a été organisée dans le cadre de la préparation de notre participation à la Cop21 (Conférence des parties) prévue dans une quinzaine de jours à Paris sur le climat.
« En effet, au niveau mondial, les émissions de gaz à effet de serre, associées aux déchets ménagers et assimilés, sont estimées à 1 460 millions de tonnes équivalent Co2 et représentent près de 5% des émissions totales ».
Youssoupha MINE
3 Commentaires
Willy
En Novembre, 2015 (18:56 PM)Anonyme
En Novembre, 2015 (18:58 PM)Anonyme
En Novembre, 2015 (23:21 PM)Participer à la Discussion