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En service à la Direction de l’environnement et des établissements classés (Deec), Mme Sarr, une des panélistes, a profité de la rencontre pour tirer la sonnette d’alarme et prévenir les autorités étatiques. Mais aussi sensibiliser surtout la population sur les impacts négatifs que vont entrainer les changements climatiques au Sénégal, si des mesures conservatoires ou alternatives ne sont pas mises en œuvre, le plus rapidement.
L’eau va être un problème dans les années à venir pour notre région
D’avis que les activités de l’homme sont en train de changer le fonctionnement des climats, Mme Sarr prévient : «Il va faire de plus en plus chaud. (…). Au niveau du Sénégal, il est clair qu’il y aura un déficit hydrique. Prévenir la pluie est complexe. On ne maitrise pas les effets des changements climatiques», a affirmé la dame. Elle en veut pour preuve qu’il y a des incertitudes de plus en plus prononcées dans tout ce qui est précipitation.
L’eau va être un problème dans les années à venir pour notre région
D’avis que les activités de l’homme sont en train de changer le fonctionnement des climats, Mme Sarr prévient : «Il va faire de plus en plus chaud. (…). Au niveau du Sénégal, il est clair qu’il y aura un déficit hydrique. Prévenir la pluie est complexe. On ne maitrise pas les effets des changements climatiques», a affirmé la dame. Elle en veut pour preuve qu’il y a des incertitudes de plus en plus prononcées dans tout ce qui est précipitation.
La température et la précipitation connaissent, pour leur part, une tendance baissière. Il va faire de plus en plus chaud. Les gens ne sont pas pessimistes. On aura de plus en plus besoin de la climatisation, s’il n’y a pas de solution pour palier au réchauffement de la terre. Et si on continue d’utiliser la climatisation, le problème sera toujours là», dit-elle. Mme Sarr note que «les conséquences, on les voit déjà. Il nous faut trouver des moyens pour avoir des microclimats. L’eau va être un problème dans les années à venir pour notre région. La mer monte, la température aussi. Il faut analyser cette combinaison. On veut émerger. On veut se développer. Mais cela entraine des impacts socioéconomiques. Pour prévenir tous ces problèmes, elle avance qu’«il y a des batteries de solutions qu’il faut mettre en œuvre rapidement». Surtout quand l’on sait que «les pays chauds vont être davantage chauds”. “Il faut de nouvelles formes de comportements, une adaptation. Il y a des événements externes, on risque d’avoir des pertes en vies humaines. Cela on doit le préparer», avertit Mme Sarr.
16 Commentaires
Homme Noir Et Fier
En Juillet, 2015 (19:31 PM)Anonyme
En Juillet, 2015 (20:11 PM)Zcit!
En Juillet, 2015 (20:33 PM)Malheureusement, je n'ai pas le temps de developper, je dois rentrer............................
A plus+
Atypico
En Juillet, 2015 (20:36 PM)Anonyme Curieux
En Juillet, 2015 (22:37 PM)D'après une étude menée par la Royal Astronomical Society, un organisme de recherche astronomique britannique, l'activité du Soleil pourrait brutalement chuter de 60% d'ici les années 2030-2040, provoquant une baisse de température généralisée comme de 1645 à 1715. Une période appelée «Minimum de Maunder», se traduisant par un nombre de taches solaires - de petites régions sombres où la température est plus basse que celle de son environnement - très faible
Donc, dans environ 15 ans il fera plutôt beaucoup plus froid et on on aura moins de problème d'eau de surface.
Qui a raison ou qui a tort? Dieu seul sait
Anonyme
En Juillet, 2015 (22:45 PM)Il faut DONC plutot se préparer au grand froid dans moins de dix ans qu'à une chaleur excessive
Irregular Heartbeat Of The Sun
En Juillet, 2015 (22:57 PM)It is 172 years since a scientist first spotted that the Sun’s activity varies over a cycle lasting around 10 to 12 years. But every cycle is a little different and none of the models of causes to date have fully explained fluctuations. Many solar physicists have put the cause of the solar cycle down to a dynamo caused by convecting fluid deep within the Sun. Now, Zharkova and her colleagues have found that adding a second dynamo, close to the surface, completes the picture with surprising accuracy.
“We found magnetic wave components appearing in pairs, originating in two different layers in the Sun’s interior. They both have a frequency of approximately 11 years, although this frequency is slightly different, and they are offset in time. Over the cycle, the waves fluctuate between the northern and southern hemispheres of the Sun. Combining both waves together and comparing to real data for the current solar cycle, we found that our predictions showed an accuracy of 97%,” said Zharkova.
Anonyme
En Juillet, 2015 (23:12 PM)A new model of the Sun's solar cycle is producing unprecedentedly accurate predictions of irregularities within the Sun's 11-year heartbeat. The model draws on dynamo effects in two layers of the Sun, one close to the surface and one deep within its convection zone. Predictions from the model suggest that solar activity will fall by 60 per cent during the 2030s to conditions last seen during the 'mini ice age' that began in 1645
Donc c'est clair et net: il faut revoir les copies à la DIrection de l'environnement de Dakar;
= reset your basic fondamentals assumptions
Papa
En Juillet, 2015 (00:50 AM)1/ le centre d'enfouissement technique de DIASS dont vous avais donné l'autorisation après avoirs consulter son étude d'impacte environnemental au quelle le promoteur na pas respecter les code l'environnement du Sénégal minimum ces genre d'installation doive être minimum a 500m des route principale et ces pas le cas vous le savais et pourtant vous avais autorisé
2/ la SOCOCIM qui nuis gravement la santé des habitant de Bargnie
3/ les cimenterie DANGOTE dont vous avais autoriser l'implantation de ces puis pour le système de refroidissement de son centrale a charbons sans que les études d'impacte soit faite et que Le Ministre nous dit que ces le rapport des études impacte qui rester d'être explicite comme si que vous êtes interdit de faire une retour de cette rapport pour demander d'autre plus détaillé.
SVP Mme nous savons se qui se passe vous êtes des travailleur qui connais bien votre
Mais se qui se passe ces que vos ministre de tutelle fait toujours des autorisation sans études d'impact environnemental.
IL VOUS RESPECTE ET VOUS LAISSE TRAVAILLER
Sociologue De L'environnement
En Juillet, 2015 (00:57 AM)Foxx Pikine
En Juillet, 2015 (01:16 AM)il faut commmencer par la solution la plus facile
Senbiliser les senegalais contre l'insalubrité. Pour moi au senegal quand un fonctionnaire de l'environnement ne fait pas cas de l'insalubrité, c'est qu'il n'a rien compris.
Anonyme
En Juillet, 2015 (13:03 PM)Anonyme
En Juillet, 2015 (14:34 PM)Anonyme
En Juillet, 2015 (18:49 PM)Anonyme
En Juillet, 2015 (04:59 AM)Anonyme
En Juillet, 2015 (05:06 AM)Participer à la Discussion