
La gestion des déchets hospitaliers, industriels, plastiques constitue un sérieux problème pour les pouvoirs publics. Pour apporter une réponse à la question, le Comité sénégalais pour la chimie (Csc) s’est réuni hier autour du thème : «Problématique du traitement des déchets industriels et ménagers : Rôle du chimiste.»
Durant les débats, les membres du Csc ont réfléchi sur le traitement des «200 à 260 T /jour» de déchets fournis par les abattoirs de la Sogas, située dans la banlieue dakaroise, en vue de leur transformation en biogaz. Le Professeur Serigne Amadou Ndiaye, président du Csc, soutient que «le traitement qui a été proposé ne traite que 30% et ces 30% parviennent à fournir 30% de l’énergie consommée par les chambres froides de la Sogas».
Pour mieux montrer l’importance du recyclage des déchets, il a donné cité l’exemple de la Norvège qui est aujourd’hui un importateur de ce «produit». Dans le même registre, le Csc a annoncé que les «décharges à ciel ouvert» comme Mbeumbeuss doivent disparaître car elles constituent un problème de santé publique.
Stagiaire
Durant les débats, les membres du Csc ont réfléchi sur le traitement des «200 à 260 T /jour» de déchets fournis par les abattoirs de la Sogas, située dans la banlieue dakaroise, en vue de leur transformation en biogaz. Le Professeur Serigne Amadou Ndiaye, président du Csc, soutient que «le traitement qui a été proposé ne traite que 30% et ces 30% parviennent à fournir 30% de l’énergie consommée par les chambres froides de la Sogas».
Pour mieux montrer l’importance du recyclage des déchets, il a donné cité l’exemple de la Norvège qui est aujourd’hui un importateur de ce «produit». Dans le même registre, le Csc a annoncé que les «décharges à ciel ouvert» comme Mbeumbeuss doivent disparaître car elles constituent un problème de santé publique.
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