La gestion des déchets hospitaliers, industriels, plastiques constitue un sérieux problème pour les pouvoirs publics. Pour apporter une réponse à la question, le Comité sénégalais pour la chimie (Csc) s’est réuni hier autour du thème : «Problématique du traitement des déchets industriels et ménagers : Rôle du chimiste.»
Durant les débats, les membres du Csc ont réfléchi sur le traitement des «200 à 260 T /jour» de déchets fournis par les abattoirs de la Sogas, située dans la banlieue dakaroise, en vue de leur transformation en biogaz. Le Professeur Serigne Amadou Ndiaye, président du Csc, soutient que «le traitement qui a été proposé ne traite que 30% et ces 30% parviennent à fournir 30% de l’énergie consommée par les chambres froides de la Sogas».
Pour mieux montrer l’importance du recyclage des déchets, il a donné cité l’exemple de la Norvège qui est aujourd’hui un importateur de ce «produit». Dans le même registre, le Csc a annoncé que les «décharges à ciel ouvert» comme Mbeumbeuss doivent disparaître car elles constituent un problème de santé publique.
Stagiaire
Durant les débats, les membres du Csc ont réfléchi sur le traitement des «200 à 260 T /jour» de déchets fournis par les abattoirs de la Sogas, située dans la banlieue dakaroise, en vue de leur transformation en biogaz. Le Professeur Serigne Amadou Ndiaye, président du Csc, soutient que «le traitement qui a été proposé ne traite que 30% et ces 30% parviennent à fournir 30% de l’énergie consommée par les chambres froides de la Sogas».
Pour mieux montrer l’importance du recyclage des déchets, il a donné cité l’exemple de la Norvège qui est aujourd’hui un importateur de ce «produit». Dans le même registre, le Csc a annoncé que les «décharges à ciel ouvert» comme Mbeumbeuss doivent disparaître car elles constituent un problème de santé publique.
Stagiaire
4 Commentaires
Anonyme
En Novembre, 2015 (08:47 AM)j'ai envie de dire à ce conseil de chimiste de pousser les portes , deplacez des murs s'il le faut parce que les déchets sont une source d'énergie énorme pour des pays comme le notre , il ne faut pas s'arreter à l'étape de coloc ou réunion d'information il faut insiter et faire integrer la valorisation des déchets ménagères en énergie dans le plan sénégal émérgent. Avec toute laproduction de déchet de dakar et les région voisine , il est possible de recolter 300 à 400 tonnes /jour de déchet . Avec cette tonnage vous avez pas moins de 10MW electrique net to grid à produire , c'est une occasion de se liberer des energies fossil et une occasion de rendre nos ville plus propre ;
Fan Du Recyclage
En Novembre, 2015 (09:51 AM)Quand on sait que l’Afrique est plombée par le manque d’énergie, toutes les pistes doivent être explorées pour réduire ce gap.
La relance de l’agriculture en Afrique peut également bénéficier de l’apport en fertilisant plus propre et moins cher avec le recyclage des ordures.
De nouvelles industries de transformation du plastique peuvent naitre et sauver ainsi à nos mers et fleuves pollués par le plastique.
Dans ce monde, où certaines sociétés mettent en vente même les urines, nous devons être inventifs pour avancer.
Le rôle de l’université est d’ouvrir de nouvelles voies pour le développement, lancer des idées nouvelles, vulgariser les résultats de leurs recherches, mais surtout atteindre la masse en investissant les médias qui ont fini de polluer les cerveaux des sénégalais.
J’invite le professeur NDIAYE à s’approprier ces idées et lancer la réflexion .
Aaaaaa
En Novembre, 2015 (10:43 AM)Participer à la Discussion