Depuis quelque temps, beaucoup de violences ont été notées dans le sud du pays. Une situation qui préoccupe aussi Amnesty International.
Ainsi, sur les exactions perpétrées par des groupes armés, le directeur de la section sénégalaise d’Amnesty International condamne ces actes de violence. «Nous déplorons la mort d’une personne. Il faut protéger les populations civiles», a affirmé Seydi Gassama, ce mercredi 7 avril, lors d’une conférence de presse relative à la présentation du rapport 2020-2021 d’Amnesty International.
Se faisant plus explicite, il détaille : «La Casamance a connu une reprise des violences. En août, Hamidou Diémé, un ancien combattant du groupe armé du Mouvement des forces démocratiques de la Casamance (Mfdc) a été exécuté par des hommes armés non-identifiés à Diégoune, dans la région de Ziguinchor.»
Seydi Gassama de renseigner pour s’en désoler que «jusqu’à présent, personne n’avait été traduit en justice pour cet homicide volontaire».
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Humain
En Avril, 2021 (19:15 PM)Participer à la Discussion