Poursuivi pour coups et blessures volontaires ayant entraîné 15 jours d'incapacité temporaire de travail, A. Ndoye a comparu, hier, devant le tribunal des flagrants délits de Dakar.
Après avoir convolé en secondes noces avec sa patronne, le chauffeur avait demandé à sa première épouse, A. Sèye, de la rejoindre dans la chambre qu'il avait louée à la Cité Bata de Rufisque.
Ce que la mère de famille de deux enfants n'avait pas tardé à faire. Mais, dès que son conjoint lui a annoncé la mauvaise nouvelle, la tension est montée d'un cran.
En effet, rapporte Rewmi Quotidien, Mme Ndoye, qui aurait détruit, le poste téléviseur et le ventilateur de son mari, a été sévèrement rudoyée.
"Il avait menacé de tuer tous ceux qui tenteront de s'opposer à cette nouvelle union. Lorsqu'il m'a giflée, je suis tombée. Il a continué à me donner des coups de poing au visage. Je saignais du nez et de la bouche. Je l'ai mordu au bras pour sortir de son emprise en vain", a expliqué la partie civile qui a fait six ans de mariage avec son époux.
À l'en croire, celui-ci a tenté ensuite de l'étouffer avec un t-shirt de couleur bleue.
"A moitié consciente, je l'ai entendu parler au téléphone avec ma coépouse. J'ai essayé de crier mais je n'avais plus de force. Une de ses voisines a toqué à la porte à deux reprises pour s'enquérir de la situation, mais il répondait toujours que tout allait bien. C'est au moment où, il me conduisait chez moi que je me suis évanouie dans la voiture de son collègue, avant de me réveiller à l'hôpital", lâche-t-elle, avec mépris.
Toutefois, A. Sèye a révélé que son mari lui avait assuré qu'il allait se séparer de sa rivale au bout de six mois de mariage.
"Celle-ci lui avait promis un voyage en Europe. Avant leur union, il m'avait demandé de l'aider à dépouiller la dame (elle est commerçante). Ce que j'ai toujours refusé. Il m'avait aussi rapporté qu'elle lui proposait des parties de jambes en l'air", a-t-elle confié.
Des accusations que le prévenu a balayées d'un revers de main.
Né en 1988, il affirme qu'il avait demandé à sa dulcinée de rentrer lorsqu'elle a commencé à saccager ses biens.
Mais, cette dernière lui avait opposé un niet catégorique avant de le mordre.
"J'ai tiré ma main et elle est tombée. Soudain, elle commence à piquer une crise. J'ai appelé un ami pour la conduire chez elle, à Keur Mbaye Fall. Après l'avoir déposée, je suis rentré chez moi avec mon fils", a-t-il raconté.
L'avocat de la partie civile a réclamé 1 million FCFA, à titre de dommages et intérêts.
Estimant que les faits sont constants, la parquetière a requis un mois d'emprisonnement ferme.
D'après Me Ousseynou Gaye, c'est la deuxième femme qui faisait le pied de grue chez les oncles du prévenu pour que le mariage soit scellé.
"La partie civile aurait dû avoir une autre attitude que d'aller porter plainte. Mon client n'a jamais eu l'intention de porter la main sur elle", a-t-il relevé.
Au terme de sa plaidoirie, le président du tribunal a condamné le prévenu à sept jours de prison ferme et à payer 500 000 francs à la victime.
Une peine que le chauffeur a déjà purgée. Il a été placé sous mandat de dépôt le 28 décembre 2021.
Après avoir convolé en secondes noces avec sa patronne, le chauffeur avait demandé à sa première épouse, A. Sèye, de la rejoindre dans la chambre qu'il avait louée à la Cité Bata de Rufisque.
Ce que la mère de famille de deux enfants n'avait pas tardé à faire. Mais, dès que son conjoint lui a annoncé la mauvaise nouvelle, la tension est montée d'un cran.
En effet, rapporte Rewmi Quotidien, Mme Ndoye, qui aurait détruit, le poste téléviseur et le ventilateur de son mari, a été sévèrement rudoyée.
"Il avait menacé de tuer tous ceux qui tenteront de s'opposer à cette nouvelle union. Lorsqu'il m'a giflée, je suis tombée. Il a continué à me donner des coups de poing au visage. Je saignais du nez et de la bouche. Je l'ai mordu au bras pour sortir de son emprise en vain", a expliqué la partie civile qui a fait six ans de mariage avec son époux.
À l'en croire, celui-ci a tenté ensuite de l'étouffer avec un t-shirt de couleur bleue.
"A moitié consciente, je l'ai entendu parler au téléphone avec ma coépouse. J'ai essayé de crier mais je n'avais plus de force. Une de ses voisines a toqué à la porte à deux reprises pour s'enquérir de la situation, mais il répondait toujours que tout allait bien. C'est au moment où, il me conduisait chez moi que je me suis évanouie dans la voiture de son collègue, avant de me réveiller à l'hôpital", lâche-t-elle, avec mépris.
Toutefois, A. Sèye a révélé que son mari lui avait assuré qu'il allait se séparer de sa rivale au bout de six mois de mariage.
"Celle-ci lui avait promis un voyage en Europe. Avant leur union, il m'avait demandé de l'aider à dépouiller la dame (elle est commerçante). Ce que j'ai toujours refusé. Il m'avait aussi rapporté qu'elle lui proposait des parties de jambes en l'air", a-t-elle confié.
Des accusations que le prévenu a balayées d'un revers de main.
Né en 1988, il affirme qu'il avait demandé à sa dulcinée de rentrer lorsqu'elle a commencé à saccager ses biens.
Mais, cette dernière lui avait opposé un niet catégorique avant de le mordre.
"J'ai tiré ma main et elle est tombée. Soudain, elle commence à piquer une crise. J'ai appelé un ami pour la conduire chez elle, à Keur Mbaye Fall. Après l'avoir déposée, je suis rentré chez moi avec mon fils", a-t-il raconté.
L'avocat de la partie civile a réclamé 1 million FCFA, à titre de dommages et intérêts.
Estimant que les faits sont constants, la parquetière a requis un mois d'emprisonnement ferme.
D'après Me Ousseynou Gaye, c'est la deuxième femme qui faisait le pied de grue chez les oncles du prévenu pour que le mariage soit scellé.
"La partie civile aurait dû avoir une autre attitude que d'aller porter plainte. Mon client n'a jamais eu l'intention de porter la main sur elle", a-t-il relevé.
Au terme de sa plaidoirie, le président du tribunal a condamné le prévenu à sept jours de prison ferme et à payer 500 000 francs à la victime.
Une peine que le chauffeur a déjà purgée. Il a été placé sous mandat de dépôt le 28 décembre 2021.
20 Commentaires
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En Janvier, 2022 (06:33 AM)Perte 10 , Perte Lestek …
En Janvier, 2022 (07:01 AM)Reply_author
En Janvier, 2022 (07:51 AM)Reply_author
En Janvier, 2022 (18:25 PM)"Pour étouffer par avance toute révolte, il ne faut surtout pas s’y prendre de manière violente. Les méthodes archaïques comme celles d’Hitler sont nettement dépassées.
Il suffit de créer un conditionnement collectif si puissant que l’idée même de révolte ne viendra même plus à l’esprit des hommes.
L’idéal serait de formater les individus dès la naissance en limitant leurs aptitudes biologiques innées...
Ensuite, on poursuivrait le conditionnement en réduisant de manière drastique le niveau & la qualité de l’éducation, pour la ramener à une forme d’insertion professionnelle.
Un individu inculte n’a qu’un horizon de pensée limité et plus sa pensée est bornée à des préoccupations matérielles, médiocres, moins il peut se révolter.
Il faut faire en sorte que l’accès au savoir devienne de plus en plus difficile et élitiste... Que le fossé se creuse entre le peuple et la science, que l’information destinée au grand public soit anesthésiée de tout contenu à caractère subversif. Surtout pas de philosophie.
Là encore, il faut user de persuasion et non de violence directe : on diffusera massivement, via la télévision, des divertissements abrutissants, flattant toujours l’émotionnel, l’instinctif.On occupera les esprits avec ce qui est futile et ludique. Il est bon avec un bavardage et une musique incessante, d’empêcher l’esprit de s'interroger, penser, réfléchir.
On mettra la sexualité au premier rang des intérêts humains.
Comme anesthésiant social, il n’y a rien de mieux. En général, on fera en sorte de bannir le sérieux de l’existence, de tourner en dérision tout ce qui a une valeur élevée, d’entretenir une constante apologie de la légèreté ; de sorte que l’euphorie de la publicité, de la consommation deviennent le standard du bonheur humain et le modèle de la liberté.
Le conditionnement produira ainsi de lui-même une telle intégration, que la seule peur (qu’il faudra entretenir) sera celle d’être exclus du système et donc de ne plus pouvoir accéder aux conditions matérielles nécessaires au bonheur.
L’homme de masse, ainsi produit, doit être traité comme ce qu’il est : un produit, un veau, et il doit être surveillé comme doit l’être un troupeau.
Tout ce qui permet d’endormir sa lucidité, son esprit critique est bon socialement, ce qui risquerait de l’éveiller doit être combattu, ridiculisé, étouffé… Toute doctrine remettant en cause le système doit d’abord être désignée comme subversive et terroriste et ceux qui la soutiennent devront ensuite être traités comme tels".
Günther Anders « L’obsolescence de l’homme » 1956
Tempo
En Janvier, 2022 (07:19 AM)Le prophète Mahomet (PSL) était l'employé de Khadija. Son épouse était beaucoup plus âgée que lui ( plus de 15 ans).
Défenseur
En Janvier, 2022 (07:47 AM)Thiey
En Janvier, 2022 (08:22 AM)Ya une voisine qui trainait par là au moment de la bagarre...
C'est quoi cette histoire encore ?
Mes Pensées Douloureuses
En Janvier, 2022 (09:30 AM)Reply_author
En Janvier, 2022 (11:04 AM)Facts Only
En Janvier, 2022 (10:04 AM)Alain
En Janvier, 2022 (10:23 AM)Nous sommes au XXIème siècle, les femmes d'aujourd'hui pour la plupart sont instruites et ne veulent plus se laisser manipuler par un mâle détenteur d'un harem comme au temps du prophète.
Pour posséder 4 femmes dans son cheptel, il faut assumer financièrement , viennent ensuite les gamins à la chaîne .
Au lieu de nous enquiquinez avec la loi sur l'homosexualité , l'Etat devrait en proposé une sur le droit légitme des femmes d'être mises au courant d'une nouvelle union de son insatiable étalon.
Dans ce combat douloureux, les imams sont les premiers fautifs, ils unissent des couples polygames sachant pertinement les dégâts collatéraux qui suivront.
Reply_author
En Janvier, 2022 (13:18 PM)Dites nous : le fait que l'épouse soit informée du prochain mariage de son mari change Quoi ? Est ce que c'est vraiment important ?
Toutes les femmes musulmanes doivent s'attendre à avoir une co-épouse. Ce n'est pas à elles de décider du moment.
Ce journaliste n’a pas le niveau de CM2.
Il a dû payer son diplôme. Il faut porter plainte contre son école de formation.
Observateur
En Janvier, 2022 (10:52 AM)Anonyme
En Janvier, 2022 (13:58 PM)