Fou amoureux de sa femme du nom de A. A. B. qui lui demande le divorce depuis deux ans, P. S. N. ne veut rien entendre.
Selon des sources du journal L'AS, P. S. N., âgé de 42 ans, et A. A. B., âgée de 25 ans, se sont connus, il y a 4 ans, avant de se marier.
De cette union, ils ont eu deux enfants. Mais, maladivement jaloux, P. S. N. ne cesse de battre sa femme.
Lasse d’être malmenée, la dame déserte le domicile conjugal, pour retourner chez ses parents à l’Unité 19 des Parcelles Assainies, et demande le divorce.
Une demande dont P. S. N. ne veut surtout pas entendre parler. Mieux, il continue de fréquenter la maison de ses beaux-parents dans l’espoir de convaincre sa femme.
Il venait souvent voir ses enfants, tout en suppliant son épouse de rejoindre le domicile conjugal. Ce que cette dernière ne veut plus entendre.
Ayant eu marre de cette situation, P .S. N. débarque nuitamment au domicile de ses beaux-parents.
La fenêtre de la chambre de sa femme et des enfants donnant directement sur la rue, P. S. N. y verse un bidon d’essence pour mettre le feu à la maison.
Des habitants du quartier, qui ont aperçu la scène, interviennent très rapidement pour circonscrire le feu et l'alpaguer.
Alertés, les hommes du Commissaire Khouma débarquent sur les lieux et interpellent le mis en cause.
Interrogé sur ses agissements délictuels, P. S. N. reconnaît les faits, mais déclare avoir agi ainsi pour manifester son amour à sa femme.
Suffisant alors pour qu’il soit déféré au parquet pour menaces de mort, tentative d’incendie d’un véhicule et de lieu habité.
Selon des sources du journal L'AS, P. S. N., âgé de 42 ans, et A. A. B., âgée de 25 ans, se sont connus, il y a 4 ans, avant de se marier.
De cette union, ils ont eu deux enfants. Mais, maladivement jaloux, P. S. N. ne cesse de battre sa femme.
Lasse d’être malmenée, la dame déserte le domicile conjugal, pour retourner chez ses parents à l’Unité 19 des Parcelles Assainies, et demande le divorce.
Une demande dont P. S. N. ne veut surtout pas entendre parler. Mieux, il continue de fréquenter la maison de ses beaux-parents dans l’espoir de convaincre sa femme.
Il venait souvent voir ses enfants, tout en suppliant son épouse de rejoindre le domicile conjugal. Ce que cette dernière ne veut plus entendre.
Ayant eu marre de cette situation, P .S. N. débarque nuitamment au domicile de ses beaux-parents.
La fenêtre de la chambre de sa femme et des enfants donnant directement sur la rue, P. S. N. y verse un bidon d’essence pour mettre le feu à la maison.
Des habitants du quartier, qui ont aperçu la scène, interviennent très rapidement pour circonscrire le feu et l'alpaguer.
Alertés, les hommes du Commissaire Khouma débarquent sur les lieux et interpellent le mis en cause.
Interrogé sur ses agissements délictuels, P. S. N. reconnaît les faits, mais déclare avoir agi ainsi pour manifester son amour à sa femme.
Suffisant alors pour qu’il soit déféré au parquet pour menaces de mort, tentative d’incendie d’un véhicule et de lieu habité.
14 Commentaires
Sèttal Lii Rek !
En Mars, 2022 (17:09 PM)Justinbars
En Mars, 2022 (17:33 PM)@ Pas Dans Tous Les Cas
En Mars, 2022 (17:56 PM)Reply_author
En Mars, 2022 (19:00 PM)Reply_author
En Mars, 2022 (23:16 PM)Un Conseil Aux Hommes Désespér
En Mars, 2022 (17:29 PM)Mariage Forcé = Haine
En Mars, 2022 (17:58 PM)Reply_author
En Mars, 2022 (17:54 PM)Chercheur Scientif
En Mars, 2022 (18:59 PM)AL HAMDOU LILLAH, il n' y a eu que qlq dégats matériels. -dans le désespoir total, il a mieux fait q l' autre, le toubib-
Reply_author
En Mars, 2022 (19:57 PM)Tangue Kholl
En Mars, 2022 (20:05 PM)Choqué
En Mars, 2022 (09:47 AM)Premièrement, pourquoi pensez vous qu'il s'agit d'un mariage forcé. Il n'en a pas été fait état dans cet article. Ou bien il y a de véritables devins ou des as de la psychologie, quoi que, même la psychologie ne nous apprend pas la divination.
Deuxièmement, il a mis le FEU à la maison, thé fire. Le feu tue, si vous vous en doutiez. C'est un acte criminel puni par la loi, vous ne pensez pas qu'il est abject dans ce cas de figure de parler de circonstances atténuantes. D'autant plus que d'après l'article, il serait un homme violent envers sa femme.
Et justement la femme, on en parle ou pas. A moins qu'elle soit une citoyenne de seconde zone. Ce qu'elle a vécu comme violence durant son mariage, cette violence qui la poursuit jusqu'à cet acte criminel d'une ordure.
Recentrons le débat sur les violences faites aux femmes. Ceci doit cesser et cela passe par un changement de mentalité. La femme est un humain et non une bête qui doit tout supporter et s'en contenter.
Femmes, refusez certains traitements et battez vous. Aucun homme n'a le droit d'être violent envers vous. Mariage oui mais pas dans la violence.
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