Pour son geste, il a été condamné par le tribunal de Mbour. Compte rendu du procès.
Un pêcheur du nom de Mor Ndiaye, âgé de 21 ans, s’est retrouvé à la barre du tribunal de première instance de Mbour pour coups et blessures volontaires sur la personne de Sophia Sarr. Selon le journal Bès Bi, Mor Ndiaye n’a pas supporté que la dame le traite de bâtard. En réaction, il a tout simplement fracassé le nez de celle-ci .
Devant la barre du tribunal des flagrants délits, Mor Ndiaye est revenu sur les circonstances de l'incident : « La balle est tombée sur le linge de Sophie qu'elle séchait. Elle s’est emportée et s’est mise à nous insulter. Elle m’a traité de bâtard, ce que je n’ai pas supporté ».
Des arguments qui n’ont pas convaincu le juge qui a estimé qu’ « il ne faut pas se faire justice soi-même”. “Tu aurais pu en parler à ses parents. Ce n’est pas bon d’agir sous l’emprise de la colère. Tu aurais pu, par cet acte, te retrouver en chambre criminelle et purger une peine de 20 ans et tu gâcherais ainsi ta vie”, l’a réprimandé le Magistrat..
De son côté, l’avocat de la défense a plaidé pour la clémence du tribunal. ”Ce jeune je l’ai vu naître et grandir, a-t-il raconté. Cette affaire malheureuse oppose deux familles qui ont été en bon voisinage. Mon client a tort d’avoir agi de la sorte. Je suis foncièrement contre la violence. Il a compris qu’on ne doit pas se faire justice soi-même.C'est pourquoi, je sollicite la clémence du tribunal”.
Mor Ndiaye a, finalement, écopé d’une peine de deux mois assortis du sursis.
Un pêcheur du nom de Mor Ndiaye, âgé de 21 ans, s’est retrouvé à la barre du tribunal de première instance de Mbour pour coups et blessures volontaires sur la personne de Sophia Sarr. Selon le journal Bès Bi, Mor Ndiaye n’a pas supporté que la dame le traite de bâtard. En réaction, il a tout simplement fracassé le nez de celle-ci .
Devant la barre du tribunal des flagrants délits, Mor Ndiaye est revenu sur les circonstances de l'incident : « La balle est tombée sur le linge de Sophie qu'elle séchait. Elle s’est emportée et s’est mise à nous insulter. Elle m’a traité de bâtard, ce que je n’ai pas supporté ».
Des arguments qui n’ont pas convaincu le juge qui a estimé qu’ « il ne faut pas se faire justice soi-même”. “Tu aurais pu en parler à ses parents. Ce n’est pas bon d’agir sous l’emprise de la colère. Tu aurais pu, par cet acte, te retrouver en chambre criminelle et purger une peine de 20 ans et tu gâcherais ainsi ta vie”, l’a réprimandé le Magistrat..
De son côté, l’avocat de la défense a plaidé pour la clémence du tribunal. ”Ce jeune je l’ai vu naître et grandir, a-t-il raconté. Cette affaire malheureuse oppose deux familles qui ont été en bon voisinage. Mon client a tort d’avoir agi de la sorte. Je suis foncièrement contre la violence. Il a compris qu’on ne doit pas se faire justice soi-même.C'est pourquoi, je sollicite la clémence du tribunal”.
Mor Ndiaye a, finalement, écopé d’une peine de deux mois assortis du sursis.
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