
Encore des révélations après les exécutions par Banjul de prisonniers condamnés à mort. Un soldat qui appartiendrait, selon le site www.freedomnewspaper.com, à la garde rapprochée de Yahya Jammeh, a fait de terribles révélations sur la tuerie de la prison de Mile 2.
A en croire sa version, les neuf soldats n’ont pas été fusillés. Ils sont morts par injection létale. « Il est très pénible d’expliquer comment les victimes ont été torturées avant l’injection létale. Seule une autopsie complète peut raconter l’histoire », a-t-il confié au site animé par le journaliste gambien, Pa Ndéry Mbai, basé aux Etats-Unis, avant d’indiquer que le président gambien aurait fait appel à des Cubains pour cette tâche. « A ce stade, le Dr Mbowe et trois Cubains ont administré l’injection létale. Il est quasi-impossible de récupérer les corps des personnes exécutées. Elles ont été jetées dans un grand puits situé dans le jardin du dictateur Jammeh», peut-on lire dans les colonnes du Populaire qui reprend le site gambien. Ce jardin, indique la source, « est fortement gardée par des soldats totalement fidèles au dictateur ».
Ne s’arrêtant pas là, le soldat révèle que « Jammeh dictateur a besoin de quelques parties intimes de ces cadavres pour ses Jalangs et ses marabouts ».
En effet, après leur exécution, les condamnés auraient vu certaines de leurs parties du corps sectionnées. « Nous avons vu Solo Bojang (un des aides de camp de Yahya Jammeh) avec un sac en plastic noir. Il y avait dedans la langue d’une des victimes ainsi que sa poitrine. Il y avait aussi des parties intimes d’hommes dans un autre sac», a-t-il témoigné.
A en croire sa version, les neuf soldats n’ont pas été fusillés. Ils sont morts par injection létale. « Il est très pénible d’expliquer comment les victimes ont été torturées avant l’injection létale. Seule une autopsie complète peut raconter l’histoire », a-t-il confié au site animé par le journaliste gambien, Pa Ndéry Mbai, basé aux Etats-Unis, avant d’indiquer que le président gambien aurait fait appel à des Cubains pour cette tâche. « A ce stade, le Dr Mbowe et trois Cubains ont administré l’injection létale. Il est quasi-impossible de récupérer les corps des personnes exécutées. Elles ont été jetées dans un grand puits situé dans le jardin du dictateur Jammeh», peut-on lire dans les colonnes du Populaire qui reprend le site gambien. Ce jardin, indique la source, « est fortement gardée par des soldats totalement fidèles au dictateur ».
Ne s’arrêtant pas là, le soldat révèle que « Jammeh dictateur a besoin de quelques parties intimes de ces cadavres pour ses Jalangs et ses marabouts ».
En effet, après leur exécution, les condamnés auraient vu certaines de leurs parties du corps sectionnées. « Nous avons vu Solo Bojang (un des aides de camp de Yahya Jammeh) avec un sac en plastic noir. Il y avait dedans la langue d’une des victimes ainsi que sa poitrine. Il y avait aussi des parties intimes d’hommes dans un autre sac», a-t-il témoigné.
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